Le guide de la révolution libyenne, Mouammar Kadhafi s'est félicité dimanche du retour dans le processus de paix au Mali de trois groupes de rebelles touareg, consécration de l'accord de paix d'Alger.
"Aujourd'hui, il y a un véritable pas qui vient de se produire au Mali. Mes frères touareg qui étaient dans les montagnes veulent revenir et abandonner les armes. Je salue cette initiative et l'encourage", a affirmé le colonel
Kadhafi à la radio nationale malienne.
Le dirigeant libyen a plaidé pour la paix, condamnant les mines posées par les rebelles dans le nord du pays, et qui ont dans le passé fait des victimes.
"Il vaut mieux planter des arbres, des céréales que des mines", a-t-il déclaré.
Une cérémonie d'accueil de plusieurs centaines de rebelles touareg favorables au processus de paix aura lieu lundi à Kidal (nord-est du Mali), a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
L'ambassadeur d'Algérie au Mali, médiateur en chef dans la crise au nord, et le ministre malien de l'administration territoriale, le général Kafougouna Koné, participeront à la cérémonie d'accueil.
Le groupe rebelle dirigé par Ibrahim Ag Bahanga, contre lequel l'armée malienne a affirmé vendredi avoir lancé une brève "offensive" dans le nord du pays, ne participe pas au processus de paix.
L'accord d'Alger de 2006 stipule que les Touareg ne doivent plus réclamer l'autonomie de leur région, tandis que Bamako doit accélérer le développement des régions du Nord.
"Nous encourageons vraiment ce processus de paix, dont l'Algérie est le médiateur", a déclaré à l'AFP Ali Triki, ministre libyen chargé des affaires africaines, écartant l'hypothèse d'une lutte d'influence entre Alger et Tripoli dans ce dossier.
Une réunion du comité de suivi de l'accord d'Alger s'est achevée dans la nuit de samedi à dimanche, pour fixer les modalités de retour des rebelles. Le comité est composé de représentants du gouvernement malien, d'ex-rebelles touareg et du médiateur algérien.
"Aujourd'hui, il y a un véritable pas qui vient de se produire au Mali. Mes frères touareg qui étaient dans les montagnes veulent revenir et abandonner les armes. Je salue cette initiative et l'encourage", a affirmé le colonel
Kadhafi à la radio nationale malienne.
Le dirigeant libyen a plaidé pour la paix, condamnant les mines posées par les rebelles dans le nord du pays, et qui ont dans le passé fait des victimes.
"Il vaut mieux planter des arbres, des céréales que des mines", a-t-il déclaré.
Une cérémonie d'accueil de plusieurs centaines de rebelles touareg favorables au processus de paix aura lieu lundi à Kidal (nord-est du Mali), a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
L'ambassadeur d'Algérie au Mali, médiateur en chef dans la crise au nord, et le ministre malien de l'administration territoriale, le général Kafougouna Koné, participeront à la cérémonie d'accueil.
Le groupe rebelle dirigé par Ibrahim Ag Bahanga, contre lequel l'armée malienne a affirmé vendredi avoir lancé une brève "offensive" dans le nord du pays, ne participe pas au processus de paix.
L'accord d'Alger de 2006 stipule que les Touareg ne doivent plus réclamer l'autonomie de leur région, tandis que Bamako doit accélérer le développement des régions du Nord.
"Nous encourageons vraiment ce processus de paix, dont l'Algérie est le médiateur", a déclaré à l'AFP Ali Triki, ministre libyen chargé des affaires africaines, écartant l'hypothèse d'une lutte d'influence entre Alger et Tripoli dans ce dossier.
Une réunion du comité de suivi de l'accord d'Alger s'est achevée dans la nuit de samedi à dimanche, pour fixer les modalités de retour des rebelles. Le comité est composé de représentants du gouvernement malien, d'ex-rebelles touareg et du médiateur algérien.