Les enseignants stagiaires du Centre de formation pédagogique pour les arts et la culture (CFPAC),regroupés au sein d'un collectif, protestaient ce mardi au sein de l'Institut national supérieur des arts et de l'action culturelle (INSAC ) pour l'obtention de leurs primes de stage, avec à leur tête Valère Kassi et Marius To Bi,respectivement délégué général et délégué adjoint dudit collectif.
Selon ces jeunes enseignants, il est opportun de protester pour obtenir gain de cause parce que toutes les démarches entreprises pour trouver une solution idoine ont échoué.
Selon le collectif, les stagiaires éprouvent d'énormes difficultés sur le terrain, à savoir l'acquisition du matériel didactique, le payement des loyers et le transport .En réalité, ces primes qui s'élèvent à trente mille francs (30000) FCFA le mois devraient leur être versés tout le long de l'année 2008. Mais cette paye a connu un blocage au niveau de l'administration après plusieurs promesses.
Ainsi, pour une résolution à l'amiable de la crise, M. Antoine Lago, ex-directeur général de l'INSAAC, et Dr. Alex Kouao Koblan, directeur du CFPAC ont entretenu les jeunes. Ils ont reconnu le bien-fondé de la protestation de ceux-ci, avant de leur proposer le payement de trois mois de primes pour certains et quatre mois pour d'autres sur des critères qui leur sont personnels. Selon eux, ce retard de payement des stagiaires est lié au fait que l'INSAAC n'a pas de budget d'entrée et de service de production. L'administration s'appuie alors sur les inscriptions de ses étudiants qui ne sont pas en nombre suffisant pour régler ses problèmes immédiats.
Pour faire preuve de bonne fois, les stagiaires se sont soumis à la proposition de leurs maîtres, tout en souhaitant que le reste de ces primes leur soit versé dans un brefdélai.
Le payement qui s'étendra sur trois jours commencera vendredi prochain.
Cissé Moussafa (Stagiaire)
Selon ces jeunes enseignants, il est opportun de protester pour obtenir gain de cause parce que toutes les démarches entreprises pour trouver une solution idoine ont échoué.
Selon le collectif, les stagiaires éprouvent d'énormes difficultés sur le terrain, à savoir l'acquisition du matériel didactique, le payement des loyers et le transport .En réalité, ces primes qui s'élèvent à trente mille francs (30000) FCFA le mois devraient leur être versés tout le long de l'année 2008. Mais cette paye a connu un blocage au niveau de l'administration après plusieurs promesses.
Ainsi, pour une résolution à l'amiable de la crise, M. Antoine Lago, ex-directeur général de l'INSAAC, et Dr. Alex Kouao Koblan, directeur du CFPAC ont entretenu les jeunes. Ils ont reconnu le bien-fondé de la protestation de ceux-ci, avant de leur proposer le payement de trois mois de primes pour certains et quatre mois pour d'autres sur des critères qui leur sont personnels. Selon eux, ce retard de payement des stagiaires est lié au fait que l'INSAAC n'a pas de budget d'entrée et de service de production. L'administration s'appuie alors sur les inscriptions de ses étudiants qui ne sont pas en nombre suffisant pour régler ses problèmes immédiats.
Pour faire preuve de bonne fois, les stagiaires se sont soumis à la proposition de leurs maîtres, tout en souhaitant que le reste de ces primes leur soit versé dans un brefdélai.
Le payement qui s'étendra sur trois jours commencera vendredi prochain.
Cissé Moussafa (Stagiaire)
