Le président du PDCI RDA était hier lundi à Adiaké, troisième étape de sa tournée dans le Sud Comoé. Fanfare, danses traditionnelles, tapis rouge, liesse populaire, tout montrait que le sphinx de Daoukro était en territoire conquis, chez ses beaux parents. Aussi, Bédié ne s’est-il pas fait prier pour leur livrer un discours de renouveau et au-delà à toute la Côte d’Ivoire. Comme toujours, il a dressé un tableau sombre de la gestion du Fpi aux affaires depuis bientôt neuf ans, faute d’élections. Trois idées fortes auront marqué son discours d’Adiaké. Espoir, union et pardon. Avec ces « refondateurs qui sont sans ambition et sans vision », selon ses propres termes, « la Côte d’Ivoire se condamne à la misère et à la pauvreté » Et de rassurer, très enthousiaste ses militants en ces termes : « je veux mettre fin à cet état de choses e et redonner espoir à jeunes et à nos populations ». Pour ce faire, une seule chose à réaliser: aller aux élections pour « dire au Fpi notre refus de ce régime de malheur et de misère ». “Je demande pardon à ceux que j’aurais fait du tort ”
Dans cette dynamique, il lance un appel non seulement à l’union du PDCI, mais également à tous ceux qui ont été désillusionnés par le régime des refondateurs. « A tous les déçus de la refondation et de ses leaders à la virginité politique autoproclamée, je lance un appel à rejoindre la dynamique de l’espoir nouveau d’une Côte d’Ivoire d’espérance, la dynamique d’une Côte d’Ivoire qui rassemble dans la solidarité et le travail pour le développement ». N’Zuéba a affirmé sa volonté de « rassembler la Côte d’Ivoire, créer la synergie des intelligences, des compétences et des sensibilités pour la convergence de nos amours pour une nation aux populations arc-en-ciel ». Tout ceci, a-t-il dit ne peut se réaliser Que dans le pardon des offenses mutuelles. « J’ai constamment prôné le pardon des offenses tout en implorant le pardon et l’indulgence de ceux que, à mon insu, j’aurai offensés ou auxquels, malgré moi, j’aurais fait du tort ». Pour les reste, le candidat du Pdci à l’élection présidentielle a demandé à ses militants de se mobiliser afin d’obtenir leurs cartes d’électeurs, seul moyen, dira-t-il « d’opérer le changement radical auquel nous aspirons tous pour notre pays. Grâce à vos efforts, les élections sont maintenant à nos portée ». Bien avant, l’hôte de marque d’Adiaké a rappelé la contribution des cadres de la région d’une part à la lutte d’émancipation et d’autre part à la construction de la Côte d’Ivoire moderne. Bédié a aussi redu hommage à ces figures de proue du PDCI que furent Gabriel Dadier, Joseph Anoma, Jean Baptiste Mockey etc. Il n’a pas oublié de rappeler ce qu’il a fait pour Adiaké quand il était chef de l’Etat. Le maire de la ville d’Adiaké, Ahua Kassi s’est félicité de la visite de Bédié. A l’en ce jour de 12 janvier restera gravé dans la collective des populations d’Adiaké. Aussi, a-t-il exprimé l’indéfectible attachement de celle-ci aux idéaux du PDCI et à son président. « Vous représentez un espoir pour nos braves populations », car a-t-il ajouté « Avec les refondateurs au pouvoir, la Côte d’Ivoire marche à reculons sur la tête ». Ehui, Koutouan Bernard, délégué départemental du PDCI, a abondé dans le même sens. Il a affirmé que « le régime de Laurent Gbagbo est celui de Néron c’est-à-dire du sang ». Or a-t-il ajouté « L’Eternel a horreur du sang ». En conséquence, il a appelé les ivoiriens à « arracher le pouvoir au refondateurs ». Aujourd’hui, Bédié échangera avec les populations de Krindjabo
Ibrahima B. Kamagaté
(Envoyé spécial)
Dans cette dynamique, il lance un appel non seulement à l’union du PDCI, mais également à tous ceux qui ont été désillusionnés par le régime des refondateurs. « A tous les déçus de la refondation et de ses leaders à la virginité politique autoproclamée, je lance un appel à rejoindre la dynamique de l’espoir nouveau d’une Côte d’Ivoire d’espérance, la dynamique d’une Côte d’Ivoire qui rassemble dans la solidarité et le travail pour le développement ». N’Zuéba a affirmé sa volonté de « rassembler la Côte d’Ivoire, créer la synergie des intelligences, des compétences et des sensibilités pour la convergence de nos amours pour une nation aux populations arc-en-ciel ». Tout ceci, a-t-il dit ne peut se réaliser Que dans le pardon des offenses mutuelles. « J’ai constamment prôné le pardon des offenses tout en implorant le pardon et l’indulgence de ceux que, à mon insu, j’aurai offensés ou auxquels, malgré moi, j’aurais fait du tort ». Pour les reste, le candidat du Pdci à l’élection présidentielle a demandé à ses militants de se mobiliser afin d’obtenir leurs cartes d’électeurs, seul moyen, dira-t-il « d’opérer le changement radical auquel nous aspirons tous pour notre pays. Grâce à vos efforts, les élections sont maintenant à nos portée ». Bien avant, l’hôte de marque d’Adiaké a rappelé la contribution des cadres de la région d’une part à la lutte d’émancipation et d’autre part à la construction de la Côte d’Ivoire moderne. Bédié a aussi redu hommage à ces figures de proue du PDCI que furent Gabriel Dadier, Joseph Anoma, Jean Baptiste Mockey etc. Il n’a pas oublié de rappeler ce qu’il a fait pour Adiaké quand il était chef de l’Etat. Le maire de la ville d’Adiaké, Ahua Kassi s’est félicité de la visite de Bédié. A l’en ce jour de 12 janvier restera gravé dans la collective des populations d’Adiaké. Aussi, a-t-il exprimé l’indéfectible attachement de celle-ci aux idéaux du PDCI et à son président. « Vous représentez un espoir pour nos braves populations », car a-t-il ajouté « Avec les refondateurs au pouvoir, la Côte d’Ivoire marche à reculons sur la tête ». Ehui, Koutouan Bernard, délégué départemental du PDCI, a abondé dans le même sens. Il a affirmé que « le régime de Laurent Gbagbo est celui de Néron c’est-à-dire du sang ». Or a-t-il ajouté « L’Eternel a horreur du sang ». En conséquence, il a appelé les ivoiriens à « arracher le pouvoir au refondateurs ». Aujourd’hui, Bédié échangera avec les populations de Krindjabo
Ibrahima B. Kamagaté
(Envoyé spécial)