Les malades du Centre Hospitalier Régional (CHR) de Yamoussoukro ont eu une nuit agitée, à la limite du cauchemardesque. Un incendie s’est déclaré au petit matin du lundi 12 janvier 2009 aux urgences chirurgicales, créant une véritable panique au sein du personnel de service et parmi les nombreux malades hospitalisés.
Selon des informations recueillies auprès de M. Soro Vali, l’infirmier de garde, l’incendie serait parti de la salle de garde. «Nous étions dans la salle des soins, en train de nous occuper des accidentés que nous avons reçus depuis 21 heures…. Vers 5 heures du matin, on m’alerte de ce qu’il y a de la fumée dans la salle de garde… Le temps d’y arriver, la fumée avait tout envahi… », relate M. Soro. Qui ajoute que dès cet instant, une course contre la montre s’est engagée, pour mettre les malades hospitalisés et le matériel à l’abri. Un membre de l’équipe médicale, témoin des péripéties, explique que les pompiers étant injoignables dans les premiers moments de l’incendie, c’est l’ambulancier du CHR qui a été dépêché pour leur faire appel. Arrivés sur les lieux, les soldats du feu ont pu circonscrire l’incendie après environ 1h30 mn de lutte. Dans la salle de garde des urgences, tout a cramé. Les dossiers médicaux et/ou administratifs, le lit, les blouses du personnel, le réfrigérateur, le plafond et la toiture, le téléviseur etc., rien n’a résisté à la furia du feu, qui a tout réduit en cendres. Dans l’enceinte du CHR et à l’entrée principale, le spectacle était désolant. Des malades évacués du bloc et couchés à même le sol, des armoires sorties à la hâte traînant dans la cour, des ventilateurs et autres objets hétéroclites jonchant le sol… Heureusement, dans cet incendie où on enregistre beaucoup de dégâts matériels, il n’y a pas eu de perte en vie humaine. Hormis la salle de garde des urgences chirurgicales, qui a été ravagée, les autres services n’ont pas été touchés et fonctionnent normalement. Quoique affecté par ce qui venait d’arriver, le personnel médical est en place et vaque à ses occupations. Signalons que les premières hypothèses n’écartent pas la possibilité d’un court-circuit, vu l’enchevêtrement des câbles électriques qu’on a pu apercevoir à certains endroits du CHR.
Olivier Guédé
Selon des informations recueillies auprès de M. Soro Vali, l’infirmier de garde, l’incendie serait parti de la salle de garde. «Nous étions dans la salle des soins, en train de nous occuper des accidentés que nous avons reçus depuis 21 heures…. Vers 5 heures du matin, on m’alerte de ce qu’il y a de la fumée dans la salle de garde… Le temps d’y arriver, la fumée avait tout envahi… », relate M. Soro. Qui ajoute que dès cet instant, une course contre la montre s’est engagée, pour mettre les malades hospitalisés et le matériel à l’abri. Un membre de l’équipe médicale, témoin des péripéties, explique que les pompiers étant injoignables dans les premiers moments de l’incendie, c’est l’ambulancier du CHR qui a été dépêché pour leur faire appel. Arrivés sur les lieux, les soldats du feu ont pu circonscrire l’incendie après environ 1h30 mn de lutte. Dans la salle de garde des urgences, tout a cramé. Les dossiers médicaux et/ou administratifs, le lit, les blouses du personnel, le réfrigérateur, le plafond et la toiture, le téléviseur etc., rien n’a résisté à la furia du feu, qui a tout réduit en cendres. Dans l’enceinte du CHR et à l’entrée principale, le spectacle était désolant. Des malades évacués du bloc et couchés à même le sol, des armoires sorties à la hâte traînant dans la cour, des ventilateurs et autres objets hétéroclites jonchant le sol… Heureusement, dans cet incendie où on enregistre beaucoup de dégâts matériels, il n’y a pas eu de perte en vie humaine. Hormis la salle de garde des urgences chirurgicales, qui a été ravagée, les autres services n’ont pas été touchés et fonctionnent normalement. Quoique affecté par ce qui venait d’arriver, le personnel médical est en place et vaque à ses occupations. Signalons que les premières hypothèses n’écartent pas la possibilité d’un court-circuit, vu l’enchevêtrement des câbles électriques qu’on a pu apercevoir à certains endroits du CHR.
Olivier Guédé