Le directeur général du Palais de la Culture, Sidiki Sijiri Bakaba, a du mérite. Il y a aujourd’hui huit ans que le Palais de la Culture fonctionne sous son autorité. Et il estime avoir fait et continue de faire son devoir en y mettant tout le talent que cela demande. Hier, au cours d’une conférence de presse qu’il a tenue dans la salle Jean-Marie Adiaffi du Palais, Sidiki Sijiri Bakaba a fait remarquer : “J’ai fait et bien fait mon devoir de mémoire. Il représente les jeunes gens que j’ai formés au sein de l’Actor Studio. Ces jeunes ont grandi et ils ont de la qualité. J’en suis fier. C’est vrai que je me suis totalement investi dans les arts, en particulier le théâtre et le cinéma. Je suis un homme de terrain, un homme d’action. L’Art a nourri et nourri ma passion. J’ai toujours démontré mon savoir-faire et montré mon talent. Mais, malheureusement, depuis 8 ans que je gère le Palais de la Culture, malgré la qualité de ma gestion, on n’a jamais reconnu mon mérite. Je demande tout simplement que justice soit rendue”.
Par ailleurs, le directeur général a mis l’accent sur sa part de responsabilité quant à l’installation du système de la billetterie automatique au Palais de la Culture. C’est avec l’accord signé de Sidiki Bakaba que la société IREC Ticketing Technology, dirigée par Erick Tomaszek, a lancé son projet, en présence de Mme Ayala Bakaba, administratrice générale du Palais de la Culture. Celle-ci, lors de la conférence de presse d’hier, a relevé que les ministère de la tutelle, à savoir le ministère de la Culture et de la Francophonie et celui des Finances, ne lui permettent pas de gérer de façon adéquate le Palais de la Culture. Depuis 8 ans, elle s’adresse aux différents responsables des institutions citées plus haut, mais le Palais de la Culture n’est toujours pas doté d’outil juridique. Or, a soutenu Mme Ayala Bakaba “aujourd’hui, il est absolument nécessaire, compte tenu de son rôle moteur dans le développement de la culture, d’élargir l’objet social du Palais de la Culture, pour lui permettre d’appréhender les domaines de la création, la production et de la diffusion de tout spectacle à caractère culturel ou artistique”. L’administratrice du Palais, a en outre, indiqué que si cette structure avait bénéficié de cet outil juridique indispensable à son fonctionnement normal et régulier, puisqu’elle dispose déjà d’une expérience en matière de gestion des arts et de la culture, elle aurait pu aisément se développer, améliorer et exploiter son expertise, non seulement pour la promotion de la culture en Côte d’Ivoire mais également pour le développement et la promotion de la culture ivoirienne au-delà des frontières.
Azo Vauguy
Par ailleurs, le directeur général a mis l’accent sur sa part de responsabilité quant à l’installation du système de la billetterie automatique au Palais de la Culture. C’est avec l’accord signé de Sidiki Bakaba que la société IREC Ticketing Technology, dirigée par Erick Tomaszek, a lancé son projet, en présence de Mme Ayala Bakaba, administratrice générale du Palais de la Culture. Celle-ci, lors de la conférence de presse d’hier, a relevé que les ministère de la tutelle, à savoir le ministère de la Culture et de la Francophonie et celui des Finances, ne lui permettent pas de gérer de façon adéquate le Palais de la Culture. Depuis 8 ans, elle s’adresse aux différents responsables des institutions citées plus haut, mais le Palais de la Culture n’est toujours pas doté d’outil juridique. Or, a soutenu Mme Ayala Bakaba “aujourd’hui, il est absolument nécessaire, compte tenu de son rôle moteur dans le développement de la culture, d’élargir l’objet social du Palais de la Culture, pour lui permettre d’appréhender les domaines de la création, la production et de la diffusion de tout spectacle à caractère culturel ou artistique”. L’administratrice du Palais, a en outre, indiqué que si cette structure avait bénéficié de cet outil juridique indispensable à son fonctionnement normal et régulier, puisqu’elle dispose déjà d’une expérience en matière de gestion des arts et de la culture, elle aurait pu aisément se développer, améliorer et exploiter son expertise, non seulement pour la promotion de la culture en Côte d’Ivoire mais également pour le développement et la promotion de la culture ivoirienne au-delà des frontières.
Azo Vauguy