La fraude sur l’identification et l’enrôlement». Tel est le thème du séminaire organisé hier par le Fpi, à la Fondation Memel Fotê, à l’intention des membres du secrétariat général, des directeurs départementaux de campagne, des secrétaires généraux des fédérations…et des organisations membres du Congrès national de la résistance pour la démocratie (Cnrd).
Faisant de la réélection de Laurent Gbagbo au premier tour de la présidentielle prochaine sa préoccupation majeure, la direction du Fpi entend juguler, en amont, les fraudes sur l’opération d’identification et du recensement électoral en cours en Côte d’Ivoire et qui va aboutir aux élections.
«Ce séminaire s’inscrit dans le cadre de la lutte pour la normalisation du pays», a tenu à préciser le président Affi N’Guessan. Qui a, auparavant, indiqué que 2009 est une année de défis pour le pays. Défi de la réussite de la paix, de la fin de la crise. «La paix est un instrument de lutte électorale», a-t-il souligné.
Le patron du Fpi a relevé un autre défi, celui de l’amélioration de la situation économique. «La situation actuelle est difficile. Les finances publiques sont étranglées. Il n’y a plus d’argent dans le pays. Tout cela constitue une contrainte dont nous sommes comptables. Nous devons donc agir de sorte que la situation économique s’améliore.»
Le président Pascal Affi N’Guessan s’est ensuite appesanti sur le défi électoral à relever. L’occasion lui était ainsi donnée pour faire remarquer que l’opération d’identification et d’enrôlement comporte des enjeux importants. Elle permet, a-t-il dit, «de moderniser l’état civil et la gestion de la population vivant en Côte d’Ivoire».
Pour Affi, «la fiabilité des listes électorales constitue un élément important pour l’organisation d’élections transparentes et incontestées». Et d’ajouter : «Que ces élections contribuent à renforcer la démocratie».
Avec force et insistance, Affi N’Guessan a dit aux participants que «le Fpi, parti de justice, ne peut pas rester sourd et aveugle face aux fraudes avérées signalées çà et là dans le pays».
Il a surtout fait savoir que « lutter contre la fraude, c’est préserver la paix sociale».
Quels sont les différents types de fraudes constatées ? Quelles mesures préconisées pour chaque type de fraude ? Comment y mettre fin ? Voilà autant de questions qui ont guidé les participants au cours des travaux.
Le Fpi, selon le secrétaire national chargé des élections, Sokouri Bohui, veut, à travers ce séminaire, «lever les entraves à l’enrôlement massif des populations».
Emmanuel Kouassi
Faisant de la réélection de Laurent Gbagbo au premier tour de la présidentielle prochaine sa préoccupation majeure, la direction du Fpi entend juguler, en amont, les fraudes sur l’opération d’identification et du recensement électoral en cours en Côte d’Ivoire et qui va aboutir aux élections.
«Ce séminaire s’inscrit dans le cadre de la lutte pour la normalisation du pays», a tenu à préciser le président Affi N’Guessan. Qui a, auparavant, indiqué que 2009 est une année de défis pour le pays. Défi de la réussite de la paix, de la fin de la crise. «La paix est un instrument de lutte électorale», a-t-il souligné.
Le patron du Fpi a relevé un autre défi, celui de l’amélioration de la situation économique. «La situation actuelle est difficile. Les finances publiques sont étranglées. Il n’y a plus d’argent dans le pays. Tout cela constitue une contrainte dont nous sommes comptables. Nous devons donc agir de sorte que la situation économique s’améliore.»
Le président Pascal Affi N’Guessan s’est ensuite appesanti sur le défi électoral à relever. L’occasion lui était ainsi donnée pour faire remarquer que l’opération d’identification et d’enrôlement comporte des enjeux importants. Elle permet, a-t-il dit, «de moderniser l’état civil et la gestion de la population vivant en Côte d’Ivoire».
Pour Affi, «la fiabilité des listes électorales constitue un élément important pour l’organisation d’élections transparentes et incontestées». Et d’ajouter : «Que ces élections contribuent à renforcer la démocratie».
Avec force et insistance, Affi N’Guessan a dit aux participants que «le Fpi, parti de justice, ne peut pas rester sourd et aveugle face aux fraudes avérées signalées çà et là dans le pays».
Il a surtout fait savoir que « lutter contre la fraude, c’est préserver la paix sociale».
Quels sont les différents types de fraudes constatées ? Quelles mesures préconisées pour chaque type de fraude ? Comment y mettre fin ? Voilà autant de questions qui ont guidé les participants au cours des travaux.
Le Fpi, selon le secrétaire national chargé des élections, Sokouri Bohui, veut, à travers ce séminaire, «lever les entraves à l’enrôlement massif des populations».
Emmanuel Kouassi
