EXCELLENCE MONSIEUR Aimé Henri KONAN BEDIE, Président du PDCl-RDA Mme Henriette KONAN BEDIE, notre Chère Maman, notre Chère fille, notre sœur, Professeur Alphonse DJEDJE MADY, Secrétaire Général du PDCI-RDA, Monsieur les vice-Présidents du PDCI-RDA Monsieur le président, Permettez-moi de vous dire de tout cœur, bravo. Oui, bienvenue ici à BIANOUAN et bravo à vous et à l'importante délégation qui vous accompagne à qui je rends un vibrant hommage pour avoir accepté de braver cette route.
-Messieurs les Vice-Présidents du PDCI-RDA,
-Monsieur le Premier ministre Daniel KABLAN DUNCAN, Inspecteur Général du PDCI-RDA,
-Monsieur le Directeur de Cabinet du Président Henri KONAN BEDIE,
-Mon Général Gaston OUASSENAN KONE, Cher Beau,
-Honorables Membres des Instances du PDCI-RDA,
-Honorables Membres de la Notabilité,
-Autorités et Coutumières Religieuses
-Vaillants Secrétaires Généraux PDCI-RDA
-Chers Frères et Sœurs Militantes, Militants et Sympathisants de notre très respectable Parti, le PDCl-RDA,
-Mesdames et Messieurs Oui, Monsieur le Président, vous êtes venu à BIANOUAN avec votre épouse, notre fille pour certains, notre sœur pour d'autres et notre maman pour les plus jeunes. Et pour le faire, vous avez accepté de le faire par la route. En le faisant ainsi, vous avez voulu vous-même accepter de vivre l'expérience du quotidien de vos concitoyens de cette partie de la Côte d'Ivoire. Nous voulons ici même, au nom des populations de la Sous-Préfecture de BIANOUAN, vous traduire notre profonde gratitude pour avoir accepté d'inscrire BIANOUAN sur le parcours de votre visite dans le Sud-Comoé. Monsieur le Président, Vous êtes venu par la route, certes un peu fatigué, mais vous êtes arrivé. Cette souffrance que vous avez accepté de vivre pour saluer vos concitoyens, et constater de vos yeux l'état de délabrement avancé de cette partie de la Côte d'Ivoire qui semble oubliée par le FPI, n'est-elle pas la preuve tangible du profond amour qui vous lie à vos parents d'ici ?
Monsieur le Président, ce que vous, mortel, avez pu faire, d'autres jouisseurs des fruits du braquage de notre pays et qui se croient immortels et se réjouissent de la souffrance des autres, ne l'ont osé. Ils l'ont fait par hélicoptère, survolant ainsi comme ils savent le faire, le douloureux et amer quotidien des Ivoiriens qui ne sont guère leurs soucis. Excellence, cette route qui est la route du sel qui, je l'espère, n'a pas été oubliée par les faiseurs d'histoires, et qui a été parcourue par vous, a été pour le FPI un fonds de commerce électoral. Que n'a-t-on pas entendu ici ? Oui, votre Beau Bédié n'a pas fait votre route, il vous a oubliés. Votez-nous et nous la ferons.
Monsieur Président, ce slogan mesquin de campagne face aux réels besoins des populations dans l'acheminement de leurs produits nous a fait perdre le poste de Député de cette circonscription. Mais rappelons-nous, cette route du sel faisait partie des grands chantiers que vous avez initiés, et dont le premier coup de pioche a été lancé par le Premier Ministre DUNCAN, ici présent. Elle n'a pas bougé d'un pouce depuis le funeste coup d'Etat du 24 décembre 1999, qui a fait danser bien d'inconscients. Mais 10 ans après, qu'est devenue cette route ? Alors même que sous le CNSP de GUEI Robert, elle faisait l'objet d'inscription budgétaire, sous le régime FPI, cette route est passée aux calendes grecques. Pour être terre à terre, je dirai qu'elle a été oubliée. Mieux, des cadres FPI et non des moindres ont proclamé son inutilité et donc l'ont enterrée. Au lieu de faire, comme le dirait ce proverbe Yacouba, "Nouvelle lune, si tu ne m'apportes rien, laisse-moi, au moins, où tu m'as trouvé", cette route est devenue un cauchemar pour nos populations malgré les efforts du Dr. AKA AOUELE, Président du Conseil Général dont le milliard annuel, promis depuis 2003, n'est jusque-là pas encore arrivé. D'ailleurs ici dans la région d'ABOISSO, toutes les premières pierres posées par le FPI sont devenues des cailloux et sont perdues dans les broussailles. Monsieur le Président, de cette région est parti un autre des rêves du FPI. En effet, parcourant notre région en 1999, le candidat du FPI déclarait, que s'il était élu, le cacao serait acheté à 300frs le kilo. Et d'ailleurs, si votre beau ne peut pas acheter vos produits comme il faut, allez-y les vendre au GHANA. Or, en ce temps-là, ce sont les Ghanéens qui venaient plutôt vendre leur cacao chez nous ici. Parce que plus rémunéré. Sous le règne FPI, et devant la démission du régime dans la défense de leurs intérêts, aujourd'hui, ce sont nos parents qui vont vendre leurs produits au GHANA. Par ailleurs, les nouveaux prix promis du café et du cacao restent jusque-là attendus. On le voit, comme le disait un des grands ténors de la refondation en visite à Abengourou, le FPI fait rêver. La différence avec les autres est que avec ceux-là, on peut rêver debout et en restant éveillé. C'est donc dans le cauchemar national, fait de mensonges, d'impunité, de violence, d'inconscience et d'insouciance que vivent Monsieur le Président, les Populations de cette région de Côte d'Ivoire qui restent très attachées à votre personne. Comment ne pas l'être quand on sait que c'est le PDCI-RDA dont vous êtes le Président, qui a posé les fondamentaux du développement de ce pays. Il n'y a donc que le PDCI qui puisse poursuivre cette œuvre. C'est pourquoi, aujourd'hui, nous pouvons vous le confirmer, bien d'Ivoiriens qui se sont sentis grugés par les promesses mielleuses et fallacieuses des apprentis de développement dont le programme de société ne se limite qu'à leur enrichissement personnel et à leurs capacités de démagogie, ont pris conscience que la Côte d'Ivoire, ce beau pays, coule. Car chez nous, l'on a coutume de dire, " seul le chemin devant peut fermer, celui derrière ne se ferme jamais "
Seul vous, Président Henri KONAN BEDIE, bâtisseur auprès de Félix Houphouët-Boigny de ce qui était dans le temps, ce havre de paix et de prospérité, vous seul pouvez nous sauver de ce naufrage collectif provoqué par le FPI. Vos Militants de la région de BIANOUAN, qui vous voteront à 100% comme candidat du PDCI-RDA aux prochaines Présidentielles, vous renouvellent leur indéfectible attachement et leur entière confiance. Ils vous assurent de leur soutien total et professent qu'avec vous, demain, un nouveau jour se lèvera sur la Côte d'Ivoire. Avec vous aux commandes, notre pays redeviendra cette terre de solidarité qui travaille et ce pays de la vraie fraternité qui inspire confiance et attire. Bienvenue ici à BIANOUAN, et en route pour la victoire aux prochaines présidentielles car une vérité tangible dit : " Quelle que soit la longueur de la nuit, le jour viendra ". Malgré toutes les manœuvres dilatoires, entreprises pour nous distraire, le jour des élections viendra. Ce sera le jour de la victoire du PDCI-RDA avec comme champion, Henri Konan Bédié.
Je vous remercie.
-Messieurs les Vice-Présidents du PDCI-RDA,
-Monsieur le Premier ministre Daniel KABLAN DUNCAN, Inspecteur Général du PDCI-RDA,
-Monsieur le Directeur de Cabinet du Président Henri KONAN BEDIE,
-Mon Général Gaston OUASSENAN KONE, Cher Beau,
-Honorables Membres des Instances du PDCI-RDA,
-Honorables Membres de la Notabilité,
-Autorités et Coutumières Religieuses
-Vaillants Secrétaires Généraux PDCI-RDA
-Chers Frères et Sœurs Militantes, Militants et Sympathisants de notre très respectable Parti, le PDCl-RDA,
-Mesdames et Messieurs Oui, Monsieur le Président, vous êtes venu à BIANOUAN avec votre épouse, notre fille pour certains, notre sœur pour d'autres et notre maman pour les plus jeunes. Et pour le faire, vous avez accepté de le faire par la route. En le faisant ainsi, vous avez voulu vous-même accepter de vivre l'expérience du quotidien de vos concitoyens de cette partie de la Côte d'Ivoire. Nous voulons ici même, au nom des populations de la Sous-Préfecture de BIANOUAN, vous traduire notre profonde gratitude pour avoir accepté d'inscrire BIANOUAN sur le parcours de votre visite dans le Sud-Comoé. Monsieur le Président, Vous êtes venu par la route, certes un peu fatigué, mais vous êtes arrivé. Cette souffrance que vous avez accepté de vivre pour saluer vos concitoyens, et constater de vos yeux l'état de délabrement avancé de cette partie de la Côte d'Ivoire qui semble oubliée par le FPI, n'est-elle pas la preuve tangible du profond amour qui vous lie à vos parents d'ici ?
Monsieur le Président, ce que vous, mortel, avez pu faire, d'autres jouisseurs des fruits du braquage de notre pays et qui se croient immortels et se réjouissent de la souffrance des autres, ne l'ont osé. Ils l'ont fait par hélicoptère, survolant ainsi comme ils savent le faire, le douloureux et amer quotidien des Ivoiriens qui ne sont guère leurs soucis. Excellence, cette route qui est la route du sel qui, je l'espère, n'a pas été oubliée par les faiseurs d'histoires, et qui a été parcourue par vous, a été pour le FPI un fonds de commerce électoral. Que n'a-t-on pas entendu ici ? Oui, votre Beau Bédié n'a pas fait votre route, il vous a oubliés. Votez-nous et nous la ferons.
Monsieur Président, ce slogan mesquin de campagne face aux réels besoins des populations dans l'acheminement de leurs produits nous a fait perdre le poste de Député de cette circonscription. Mais rappelons-nous, cette route du sel faisait partie des grands chantiers que vous avez initiés, et dont le premier coup de pioche a été lancé par le Premier Ministre DUNCAN, ici présent. Elle n'a pas bougé d'un pouce depuis le funeste coup d'Etat du 24 décembre 1999, qui a fait danser bien d'inconscients. Mais 10 ans après, qu'est devenue cette route ? Alors même que sous le CNSP de GUEI Robert, elle faisait l'objet d'inscription budgétaire, sous le régime FPI, cette route est passée aux calendes grecques. Pour être terre à terre, je dirai qu'elle a été oubliée. Mieux, des cadres FPI et non des moindres ont proclamé son inutilité et donc l'ont enterrée. Au lieu de faire, comme le dirait ce proverbe Yacouba, "Nouvelle lune, si tu ne m'apportes rien, laisse-moi, au moins, où tu m'as trouvé", cette route est devenue un cauchemar pour nos populations malgré les efforts du Dr. AKA AOUELE, Président du Conseil Général dont le milliard annuel, promis depuis 2003, n'est jusque-là pas encore arrivé. D'ailleurs ici dans la région d'ABOISSO, toutes les premières pierres posées par le FPI sont devenues des cailloux et sont perdues dans les broussailles. Monsieur le Président, de cette région est parti un autre des rêves du FPI. En effet, parcourant notre région en 1999, le candidat du FPI déclarait, que s'il était élu, le cacao serait acheté à 300frs le kilo. Et d'ailleurs, si votre beau ne peut pas acheter vos produits comme il faut, allez-y les vendre au GHANA. Or, en ce temps-là, ce sont les Ghanéens qui venaient plutôt vendre leur cacao chez nous ici. Parce que plus rémunéré. Sous le règne FPI, et devant la démission du régime dans la défense de leurs intérêts, aujourd'hui, ce sont nos parents qui vont vendre leurs produits au GHANA. Par ailleurs, les nouveaux prix promis du café et du cacao restent jusque-là attendus. On le voit, comme le disait un des grands ténors de la refondation en visite à Abengourou, le FPI fait rêver. La différence avec les autres est que avec ceux-là, on peut rêver debout et en restant éveillé. C'est donc dans le cauchemar national, fait de mensonges, d'impunité, de violence, d'inconscience et d'insouciance que vivent Monsieur le Président, les Populations de cette région de Côte d'Ivoire qui restent très attachées à votre personne. Comment ne pas l'être quand on sait que c'est le PDCI-RDA dont vous êtes le Président, qui a posé les fondamentaux du développement de ce pays. Il n'y a donc que le PDCI qui puisse poursuivre cette œuvre. C'est pourquoi, aujourd'hui, nous pouvons vous le confirmer, bien d'Ivoiriens qui se sont sentis grugés par les promesses mielleuses et fallacieuses des apprentis de développement dont le programme de société ne se limite qu'à leur enrichissement personnel et à leurs capacités de démagogie, ont pris conscience que la Côte d'Ivoire, ce beau pays, coule. Car chez nous, l'on a coutume de dire, " seul le chemin devant peut fermer, celui derrière ne se ferme jamais "
Seul vous, Président Henri KONAN BEDIE, bâtisseur auprès de Félix Houphouët-Boigny de ce qui était dans le temps, ce havre de paix et de prospérité, vous seul pouvez nous sauver de ce naufrage collectif provoqué par le FPI. Vos Militants de la région de BIANOUAN, qui vous voteront à 100% comme candidat du PDCI-RDA aux prochaines Présidentielles, vous renouvellent leur indéfectible attachement et leur entière confiance. Ils vous assurent de leur soutien total et professent qu'avec vous, demain, un nouveau jour se lèvera sur la Côte d'Ivoire. Avec vous aux commandes, notre pays redeviendra cette terre de solidarité qui travaille et ce pays de la vraie fraternité qui inspire confiance et attire. Bienvenue ici à BIANOUAN, et en route pour la victoire aux prochaines présidentielles car une vérité tangible dit : " Quelle que soit la longueur de la nuit, le jour viendra ". Malgré toutes les manœuvres dilatoires, entreprises pour nous distraire, le jour des élections viendra. Ce sera le jour de la victoire du PDCI-RDA avec comme champion, Henri Konan Bédié.
Je vous remercie.
