Excellence Monsieur le Président du PDCI-RDA et Madame Henriette Konan Bédié,
Notre bien aimée sœur, notre affectueuse tantie, haut dignitaire du PDCI c'est un devoir bien agréable pour celui en qui vous avez bien voulu placer votre confiance que d'avoir à vous souhaiter, à la suite de mes prédécesseurs, au nom des militantes et des militants du PDCI-RDA, au nom de ses sympathisants du Sud-Comoé, la bienvenue dans cette ville plus que centenaire d'Aboisso, chef-lieu de la région du Sud-Comoé. Excellence Monsieur le Président, les délégations départementales d'Aboisso et au-delà de tout le Sud-Comoé vous sont reconnaissantes d'avoir bien voulu consacrer une partie de votre précieux temps pour les visiter et instruire leurs représentants que sont les délégués. Au nom de tous les membres des instances de notre grand parti, j'appuie le traditionnel AKWABA, à vous adressé par nos différents porte-parole et vous dis combien nous sommes honorés d'accueillir votre visite en compagnie de votre épouse qui pendant que vous nous inspirez le plein développement, elle nous communique la joie de vivre dans sa beauté, construite dans une intelligence qui vole toujours au secours des plus démunis, d'où l'ONG SERVIR. Alors quelle signification nous devons donner et/ou quelle lecture nous devons faire de cette visite ? - En fait, en ce début d'année 2009, les militants du Sud-Comoé accueillent votre visite un peu comme leur cadeau de Nouvel An.
Ensuite, les militants du PDCI-RDA du Sud-Comoé accueillent cette visite comme le lancement de la pré-campagne, convaincus qu'enfin la date des élections présidentielles sera définitivement connue cette fois-ci. Enfin, Monsieur le Président, les militants du Sud-Comoé sont comblés de satisfaction en ce que cette visite comme les précédentes effectuées dans d'autres régions est un peu la réponse du PDCI-RDA à ses détracteurs qui, à une époque encore récente, répétaient à qui voulait les écouter que le PDCI-RDA et son candidat sont absents ou n'occupent pas le terrain politique. Maintenant, nous avons compris pourquoi stratégiquement, vous ne souhaitiez pas occuper le terrain trop tôt. Puisque le constat est fait que vos sorties font peur au FPI, qui en conséquence, retarde les élections. En définitive, le succès extrêmement populaire de vos visites est à bien des égards assimilable à une véritable résurrection du PDCI-RDA et de son Président pour qui a vécu le 24 décembre 1999. Je vous paraphrase donc : le Baobab a été certes secoué mais il n'a rien perdu de sa vitalité et demeure prêt pour reprendre le service au service de la Côte d'Ivoire aujourd'hui martyrisée par les refondateurs. C'est ici que je voudrais souligner, Monsieur le Président, le puissant symbole que revêt votre distinguée présence parmi nous, pendant 12 (douze) jours, dans le Sud-Comoé. Monsieur le Président, en commençant par le Sud-Comoé, vos visites en ce début d'année et dans la perspective de la fixation de la date définitive des élections présidentielles, vous conférez comme par hasard, mais il n'y a pas de hasard, une signification particulière à notre région, celle d'être toujours placée aux départs des grands événements qui ont façonné la face de la Côte d'Ivoire. Car vous l'avez dit, pour le PDCI-RDA, les prochaines élections présidentielles vont engager fondamentalement l'avenir de la Côte d'Ivoire, vont donner une nouvelle orientation au Pays parce que si le PDCI-RDA gagne, et le PDCI-RDA gagnera avec Aimé Henri Konan Bédié, le changement pour le progrès pour tous et le bonheur pour chacun sera une réalité. Et Monsieur le Président, au regard de la grande mobilisation des militantes et des militants du PDCI-RDA, voire de toute la population dans sa diversité, mobilisation que vous avez pu constater çà et là dans tout le Sud-Comoé, et qui s'inscrit dans la logique de la dynamique de mobilisation observée dans les autres régions que vous avez déjà visitées, je puis vous dire que le PDCI-RDA et son Président, quotidiennement combattus, naguère traités de tous les maux de la Côte d'Ivoire par les Refondateurs, pourchassés singulièrement depuis l'imbécile coup d'Etat de 1999, le PDCI-RDA, ici aussi dans le Sud-Comoé, pour vous emprunter cette expression utilisée à Grand-Bassam, le PDCI-RDA, tel un roseau plie, mais ne rompt pas. Pour tout dire, il demeure, pour ses adversaires, un parti politique redouté et redoutable. Il le demeurera, tant qu'il sera identifié à un parti de " viviers de compétences " avérées à l'image de son fondateur Félix Houphouët-Boigny, à l'image de son Président Aimé Henri Konan Bédié. Aujourd'hui, ce sont des populations déçues de la politique de misère du FPI, des nostalgiques du miracle économique ivoirien que vous aviez impulsés, qui vous demandent pardon de leur rendre visite pour entendre leur cri du cœur, leur raz-le-bol et leur redonner espoir d'où les multiples arrêts suscités lors de vos déplacements dans les différentes localités. La comparaison de vos 6 (six) ans de mandat avec les 8 (huit) de règne du FPI, leur a fait méditer cette célèbre formule de Félix Houphouët-Boigny : "Le vrai bonheur, on ne l'apprécie que lorsqu'on l'a perdu". Dès lors, les populations d'ici font le constat : que seule la vision politique du PDCI-RDA peut faire prospérer la Côte d'Ivoire, car au pouvoir comme dans l'opposition, le PDCI-RDA communique à l'Ivoirien, un comportement de parti de paix. Or le peuple veut vivre dans un environnement de paix, préalable à tout développement. o Que seul le PDCI-RDA peut faire prospérer la Côte d'Ivoire au plan économique en tant que parti de développement symbolisé aujourd'hui par ses élus : Députés, Maires et Présidents de Conseils Généraux, tous de véritables acteurs de développement dans l'exercice de leur mission. Qu'au plan social, le PDCI-RDA, sans être un parti socialiste, réalise un social des plus hardis au bénéfice de la société, c'est-à-dire un parti qui a une culture du partage des biens matériels et donc qui n'affame pas son prochain. Que le PDCI-RDA se nourrit d'esprit de justice et de liberté en étant partisan volontaire et volontariste de l'exercice de la pratique des règles de bonne gouvernance, c'est-à-dire de la démocratie et non de la dictature, même à l'époque du régime du parti unique, en sachant que depuis MONTESQUIEU, il est établi que la ruse ou les mensonges, la force ou le populisme ne peuvent être érigés en système de gouvernement civilisé, en tout cas ne peuvent être des modèles de gouvernement de la cité. Aujourd'hui, le peuple du Sud-Comoé qui a fait avec le peuple ivoirien l'amer constat que les refondateurs ont réussi à faire de la Côte d'Ivoire, la Belle, du PDCI-RDA, un pays malade : malade politiquement, malade économiquement, malade socialement, malade diplomatiquement, malade de sa sécurité, de sa communication, de la division de son territoire, du chômage, du vol des paysans, malade de la confiscation de ses richesses par une minorité arrogante. Le peuple du Sud-Comoé vous présente une seule doléance : celle de gagner les prochaines élections présidentielles, pour libérer la Côte d'Ivoire de la misère dans laquelle le FPI l'a plongée. Avec vous, Monsieur le Président, le Sud-Comoé croit à la Renaissance de la Côte d'Ivoire. Oui, nous le croyons, en référence, en ce que votre significative contribution à la promotion des ressources humaines de la Région au niveau de la hiérarchie de l'Etat (nombreux sont les cadres d'ici que vous aviez promus au rang de Ministres, de Directeurs Généraux, Directeurs...) est connue de nous. Comme est connue votre implication personnelle pour la mise en place des infrastructures de base, dans la Région, exemple le bitumage du côté de Krindjabo.
Pour toutes ces raisons, et bien d'autres d'ordre affectif, le peuple du Sud-Comoé vous adresse ici, l'expression renouvelée de sa reconnaissance. Telle est la justification de sa fidélité à votre personne et au PDCI-RDA.
Je vous remercie.
Notre bien aimée sœur, notre affectueuse tantie, haut dignitaire du PDCI c'est un devoir bien agréable pour celui en qui vous avez bien voulu placer votre confiance que d'avoir à vous souhaiter, à la suite de mes prédécesseurs, au nom des militantes et des militants du PDCI-RDA, au nom de ses sympathisants du Sud-Comoé, la bienvenue dans cette ville plus que centenaire d'Aboisso, chef-lieu de la région du Sud-Comoé. Excellence Monsieur le Président, les délégations départementales d'Aboisso et au-delà de tout le Sud-Comoé vous sont reconnaissantes d'avoir bien voulu consacrer une partie de votre précieux temps pour les visiter et instruire leurs représentants que sont les délégués. Au nom de tous les membres des instances de notre grand parti, j'appuie le traditionnel AKWABA, à vous adressé par nos différents porte-parole et vous dis combien nous sommes honorés d'accueillir votre visite en compagnie de votre épouse qui pendant que vous nous inspirez le plein développement, elle nous communique la joie de vivre dans sa beauté, construite dans une intelligence qui vole toujours au secours des plus démunis, d'où l'ONG SERVIR. Alors quelle signification nous devons donner et/ou quelle lecture nous devons faire de cette visite ? - En fait, en ce début d'année 2009, les militants du Sud-Comoé accueillent votre visite un peu comme leur cadeau de Nouvel An.
Ensuite, les militants du PDCI-RDA du Sud-Comoé accueillent cette visite comme le lancement de la pré-campagne, convaincus qu'enfin la date des élections présidentielles sera définitivement connue cette fois-ci. Enfin, Monsieur le Président, les militants du Sud-Comoé sont comblés de satisfaction en ce que cette visite comme les précédentes effectuées dans d'autres régions est un peu la réponse du PDCI-RDA à ses détracteurs qui, à une époque encore récente, répétaient à qui voulait les écouter que le PDCI-RDA et son candidat sont absents ou n'occupent pas le terrain politique. Maintenant, nous avons compris pourquoi stratégiquement, vous ne souhaitiez pas occuper le terrain trop tôt. Puisque le constat est fait que vos sorties font peur au FPI, qui en conséquence, retarde les élections. En définitive, le succès extrêmement populaire de vos visites est à bien des égards assimilable à une véritable résurrection du PDCI-RDA et de son Président pour qui a vécu le 24 décembre 1999. Je vous paraphrase donc : le Baobab a été certes secoué mais il n'a rien perdu de sa vitalité et demeure prêt pour reprendre le service au service de la Côte d'Ivoire aujourd'hui martyrisée par les refondateurs. C'est ici que je voudrais souligner, Monsieur le Président, le puissant symbole que revêt votre distinguée présence parmi nous, pendant 12 (douze) jours, dans le Sud-Comoé. Monsieur le Président, en commençant par le Sud-Comoé, vos visites en ce début d'année et dans la perspective de la fixation de la date définitive des élections présidentielles, vous conférez comme par hasard, mais il n'y a pas de hasard, une signification particulière à notre région, celle d'être toujours placée aux départs des grands événements qui ont façonné la face de la Côte d'Ivoire. Car vous l'avez dit, pour le PDCI-RDA, les prochaines élections présidentielles vont engager fondamentalement l'avenir de la Côte d'Ivoire, vont donner une nouvelle orientation au Pays parce que si le PDCI-RDA gagne, et le PDCI-RDA gagnera avec Aimé Henri Konan Bédié, le changement pour le progrès pour tous et le bonheur pour chacun sera une réalité. Et Monsieur le Président, au regard de la grande mobilisation des militantes et des militants du PDCI-RDA, voire de toute la population dans sa diversité, mobilisation que vous avez pu constater çà et là dans tout le Sud-Comoé, et qui s'inscrit dans la logique de la dynamique de mobilisation observée dans les autres régions que vous avez déjà visitées, je puis vous dire que le PDCI-RDA et son Président, quotidiennement combattus, naguère traités de tous les maux de la Côte d'Ivoire par les Refondateurs, pourchassés singulièrement depuis l'imbécile coup d'Etat de 1999, le PDCI-RDA, ici aussi dans le Sud-Comoé, pour vous emprunter cette expression utilisée à Grand-Bassam, le PDCI-RDA, tel un roseau plie, mais ne rompt pas. Pour tout dire, il demeure, pour ses adversaires, un parti politique redouté et redoutable. Il le demeurera, tant qu'il sera identifié à un parti de " viviers de compétences " avérées à l'image de son fondateur Félix Houphouët-Boigny, à l'image de son Président Aimé Henri Konan Bédié. Aujourd'hui, ce sont des populations déçues de la politique de misère du FPI, des nostalgiques du miracle économique ivoirien que vous aviez impulsés, qui vous demandent pardon de leur rendre visite pour entendre leur cri du cœur, leur raz-le-bol et leur redonner espoir d'où les multiples arrêts suscités lors de vos déplacements dans les différentes localités. La comparaison de vos 6 (six) ans de mandat avec les 8 (huit) de règne du FPI, leur a fait méditer cette célèbre formule de Félix Houphouët-Boigny : "Le vrai bonheur, on ne l'apprécie que lorsqu'on l'a perdu". Dès lors, les populations d'ici font le constat : que seule la vision politique du PDCI-RDA peut faire prospérer la Côte d'Ivoire, car au pouvoir comme dans l'opposition, le PDCI-RDA communique à l'Ivoirien, un comportement de parti de paix. Or le peuple veut vivre dans un environnement de paix, préalable à tout développement. o Que seul le PDCI-RDA peut faire prospérer la Côte d'Ivoire au plan économique en tant que parti de développement symbolisé aujourd'hui par ses élus : Députés, Maires et Présidents de Conseils Généraux, tous de véritables acteurs de développement dans l'exercice de leur mission. Qu'au plan social, le PDCI-RDA, sans être un parti socialiste, réalise un social des plus hardis au bénéfice de la société, c'est-à-dire un parti qui a une culture du partage des biens matériels et donc qui n'affame pas son prochain. Que le PDCI-RDA se nourrit d'esprit de justice et de liberté en étant partisan volontaire et volontariste de l'exercice de la pratique des règles de bonne gouvernance, c'est-à-dire de la démocratie et non de la dictature, même à l'époque du régime du parti unique, en sachant que depuis MONTESQUIEU, il est établi que la ruse ou les mensonges, la force ou le populisme ne peuvent être érigés en système de gouvernement civilisé, en tout cas ne peuvent être des modèles de gouvernement de la cité. Aujourd'hui, le peuple du Sud-Comoé qui a fait avec le peuple ivoirien l'amer constat que les refondateurs ont réussi à faire de la Côte d'Ivoire, la Belle, du PDCI-RDA, un pays malade : malade politiquement, malade économiquement, malade socialement, malade diplomatiquement, malade de sa sécurité, de sa communication, de la division de son territoire, du chômage, du vol des paysans, malade de la confiscation de ses richesses par une minorité arrogante. Le peuple du Sud-Comoé vous présente une seule doléance : celle de gagner les prochaines élections présidentielles, pour libérer la Côte d'Ivoire de la misère dans laquelle le FPI l'a plongée. Avec vous, Monsieur le Président, le Sud-Comoé croit à la Renaissance de la Côte d'Ivoire. Oui, nous le croyons, en référence, en ce que votre significative contribution à la promotion des ressources humaines de la Région au niveau de la hiérarchie de l'Etat (nombreux sont les cadres d'ici que vous aviez promus au rang de Ministres, de Directeurs Généraux, Directeurs...) est connue de nous. Comme est connue votre implication personnelle pour la mise en place des infrastructures de base, dans la Région, exemple le bitumage du côté de Krindjabo.
Pour toutes ces raisons, et bien d'autres d'ordre affectif, le peuple du Sud-Comoé vous adresse ici, l'expression renouvelée de sa reconnaissance. Telle est la justification de sa fidélité à votre personne et au PDCI-RDA.
Je vous remercie.
