“L’art en acte pour une œuvre de vie”.
Lorsque Marie-José Hourantier la mère du Bin Kakiso prononce ces mots, elle laisse entendre que son objectif au plan de la promotion consiste à ce que toutes les disciplines artistiques composent un même train qui fonce vers le firmament du beau. Ardadi donne l’art est beau. Merveilleux. L’art est une belle chose. Et quand on associe toutes les disciplines, notamment la poésie, le design, les modes, la sculpture, la peinture, le théâtre, on obtient de belles choses.
Le Centre culturel français, rouvert à l’occasion de la 12ème édition de Arkadi, puisqu’il était fermé depuis septembre 2002, date à laquelle la crise de la Côte d’Ivoire a éclaté, et le Bin Kadi So ont abrité des instants absolument émouvants.
Le Centre culturel français s’était transformé en un sanctuaire, exaltant la grandeur des arts, comme une source d’énergie. Ecriture picturale et génie sculpturale ont signé une page flamboyante que le public a vivement apprécié du 12 au 15 janvier.
Quant au Bin Kadi So, les spectateurs y ont admiré avec beaucoup de bonheur, la prestation de Wendyam Abiba qui a joué la pièce “Entre chair et ciel” accompagné de Pooty. Le jeu de Abiba, fortement saisissant, a tenu les spectateurs en haleine.
Pour l’histoire, retenez que “Entre chair et ciel” est une adaptation du roman de Christiane Singer intitulé “Passion”. C’est une parenthèse d’amour tel que le cœur l’exprime et l’âme l’emballe.
Deux amoureux se rencontrent. L’un semble être fait pour l’autre. La flamme est vive. Mais s’interpose l’oncle de la femme aimée qui tente de dénouer ce que la force de l’amour a noué.
Echec. Evidemment. Puisque malgré l’orage, les deux tourterelles se marient. Même quand l’époux est mort, l’épouse lui a toujours manifesté sa tendresse. Sa passion.
Marie José Hourantier, le maître d’œuvre qui a assuré le montage et la mise en scène de la pièce est satisfaite d’avoir réussi la rencontre des arts : “Il faut travailler la pierre vivante pour qu’elle devienne œuvre de vie. Que les artistes donnent le meilleur d’eux-mêmes pour la construction et la reconstruction de la nation.”
La 12ème édition de Arkadi a été marquée également par des séances de dédicaces d’ouvrages et des tables rondes. A cet effet, une revue intitulée “l’Arc a dit” paraîtra en vue de donner à apprécier les débats qui ont nourri cette 12ème édition de l’art pluriel.
Azo Vauguy
Lorsque Marie-José Hourantier la mère du Bin Kakiso prononce ces mots, elle laisse entendre que son objectif au plan de la promotion consiste à ce que toutes les disciplines artistiques composent un même train qui fonce vers le firmament du beau. Ardadi donne l’art est beau. Merveilleux. L’art est une belle chose. Et quand on associe toutes les disciplines, notamment la poésie, le design, les modes, la sculpture, la peinture, le théâtre, on obtient de belles choses.
Le Centre culturel français, rouvert à l’occasion de la 12ème édition de Arkadi, puisqu’il était fermé depuis septembre 2002, date à laquelle la crise de la Côte d’Ivoire a éclaté, et le Bin Kadi So ont abrité des instants absolument émouvants.
Le Centre culturel français s’était transformé en un sanctuaire, exaltant la grandeur des arts, comme une source d’énergie. Ecriture picturale et génie sculpturale ont signé une page flamboyante que le public a vivement apprécié du 12 au 15 janvier.
Quant au Bin Kadi So, les spectateurs y ont admiré avec beaucoup de bonheur, la prestation de Wendyam Abiba qui a joué la pièce “Entre chair et ciel” accompagné de Pooty. Le jeu de Abiba, fortement saisissant, a tenu les spectateurs en haleine.
Pour l’histoire, retenez que “Entre chair et ciel” est une adaptation du roman de Christiane Singer intitulé “Passion”. C’est une parenthèse d’amour tel que le cœur l’exprime et l’âme l’emballe.
Deux amoureux se rencontrent. L’un semble être fait pour l’autre. La flamme est vive. Mais s’interpose l’oncle de la femme aimée qui tente de dénouer ce que la force de l’amour a noué.
Echec. Evidemment. Puisque malgré l’orage, les deux tourterelles se marient. Même quand l’époux est mort, l’épouse lui a toujours manifesté sa tendresse. Sa passion.
Marie José Hourantier, le maître d’œuvre qui a assuré le montage et la mise en scène de la pièce est satisfaite d’avoir réussi la rencontre des arts : “Il faut travailler la pierre vivante pour qu’elle devienne œuvre de vie. Que les artistes donnent le meilleur d’eux-mêmes pour la construction et la reconstruction de la nation.”
La 12ème édition de Arkadi a été marquée également par des séances de dédicaces d’ouvrages et des tables rondes. A cet effet, une revue intitulée “l’Arc a dit” paraîtra en vue de donner à apprécier les débats qui ont nourri cette 12ème édition de l’art pluriel.
Azo Vauguy