“Tout ce que je fais aujourd’hui, je le dois à ma cousine feue Joëlle C. J’ai commencé à chanter en 2004. Au début, je composais des morceaux que je proposais à Joëlle C pour les chanter. Et, à chaque fois, elle me disait de les chanter moi-même et qu’elle était prête à m’aider. C’est ce qui s’est passé. Je peux donc affirmer que c’est Joëlle C qui m’a amenée à la musique”.
Solange Obin, de son vrai nom Séka Sopie Solange, la nouvelle coqueluche de la musique tradi-moderne Akyé, a fait ce témoignage le week-end dernier, à l’occasion d’un diner-gala organisé à Yakassé-Attobrou par le DG de l’ANARE, le professeur Joseph Assi Bénié.
A tous ceux de ses admirateurs qui pensent qu’elle est sur les traces de feue Joëlle C, Solange Obin, pour l’instant, reconnaît humblement ses limites. “Dieu a donné à chacun un talent. Je ne pourrai pas faire exactement comme Joelle C. Mais, je veux faire en sorte que les gens ne l’oublient pas à jamais”, a déclaré la jeune artiste-musicienne.
Mission certes difficile, mais pas impossible pour Solange Obin. Dont le premier album sorti en février 2008 (juste après le décès de Joëlle C) et baptisé “Le décollage” est un délicieux opus de 8 titres. “Alobononmin”, “La réconciliation”, “Esclavage” et “Yékachinon” sont quelques uns des morceaux en vue et qui ne laissent pas indifférents les amateurs de bonne musique .
“Malheureusement, faute d’une bonne promotion, cet album n’a pas connu le succès escompté. C’est seulement maintenant que ça commence à prendre”, a déploré Solange Obin. Qui compte relever tous les défis avec son deuxième album en projet. “L’expérience aidant, je compte prendre les dispositions utiles, afin que mon prochain album puisse me permettre de relever tous les défis”, promet celle qui, avec feue Joelle C, le doyen Obin Manféi et bien d’autres, forment une longue liste de descendants d’artistes-chanteurs originaires de Grand-Akoudzin, village de la sous-préfecture d’Agou.
Patrice Tapé tapepatrice@Yahoo.fr
Solange Obin, de son vrai nom Séka Sopie Solange, la nouvelle coqueluche de la musique tradi-moderne Akyé, a fait ce témoignage le week-end dernier, à l’occasion d’un diner-gala organisé à Yakassé-Attobrou par le DG de l’ANARE, le professeur Joseph Assi Bénié.
A tous ceux de ses admirateurs qui pensent qu’elle est sur les traces de feue Joëlle C, Solange Obin, pour l’instant, reconnaît humblement ses limites. “Dieu a donné à chacun un talent. Je ne pourrai pas faire exactement comme Joelle C. Mais, je veux faire en sorte que les gens ne l’oublient pas à jamais”, a déclaré la jeune artiste-musicienne.
Mission certes difficile, mais pas impossible pour Solange Obin. Dont le premier album sorti en février 2008 (juste après le décès de Joëlle C) et baptisé “Le décollage” est un délicieux opus de 8 titres. “Alobononmin”, “La réconciliation”, “Esclavage” et “Yékachinon” sont quelques uns des morceaux en vue et qui ne laissent pas indifférents les amateurs de bonne musique .
“Malheureusement, faute d’une bonne promotion, cet album n’a pas connu le succès escompté. C’est seulement maintenant que ça commence à prendre”, a déploré Solange Obin. Qui compte relever tous les défis avec son deuxième album en projet. “L’expérience aidant, je compte prendre les dispositions utiles, afin que mon prochain album puisse me permettre de relever tous les défis”, promet celle qui, avec feue Joelle C, le doyen Obin Manféi et bien d’autres, forment une longue liste de descendants d’artistes-chanteurs originaires de Grand-Akoudzin, village de la sous-préfecture d’Agou.
Patrice Tapé tapepatrice@Yahoo.fr