Voici une dame qui a fait les beaux jours de la mode en Côte d’Ivoire et des T du monde entier. Son départ aux Etats Unis, loin d’être une ballade a été mis à profit pour se reconvertir dans les métiers de la mode à New York.
Dolce & Gabbana ou Inkslingesr? Qui l’aurait cru ? Mais c’est bien l’ivoirienne Cady Wassa qui se faufile dans les méandres de ses grosses entreprises américaines pour faire son trou. Après le lancement de la ligne Inkslingers, à Abidjan, elle a repris ses activités au pays de l’Oncle Sam.
Parmi ses clientes de référence il y a Dame Julie Macklowe, patronne d'une Banque d'investissement à Wall Street (Sigma Company). Depuis deux ans environ elle s’habille sous l’étiquette de Dolce & Gabbana grâce à Cady. Depuis 2007, elle a transformé Julie, une dame timide en star qui en impose. Ses photos diffusées dans les magazines ELLE, METRO, BAZAAR, W, VOGUE et dans le quotidien maison NEW YORK TIME ont fait d’elle une icône. Selon Cady,
« Elle suit à la lettre tous les conseils et accepte sans discuter toutes les propositions de Cady. Quand il s'agit de se présenter à de grands événement (MET, AWARD, FASHION WEEK, FASHION ROCK, etc.) »
Les robes qu'elle achète varient toujours entre de $ 40,000 et $ 50,000 dollars. En général, ces robes sont des pièces uniques. C’est pour cela que lors de ces manifestations, tout le gotha de l'industrie de la mode attend de savoir qui achète la pièce rare? Et c'est tout de suite diffusé dans les organes de presse. La vente d'une telle pièce devient un phénomène.
« Julie Macklowe est à sa 3ème couverture de magazine avec moi“ dit-elle avec fierté.
Dolce & Gabbana ou Inkslingesr? Qui l’aurait cru ? Mais c’est bien l’ivoirienne Cady Wassa qui se faufile dans les méandres de ses grosses entreprises américaines pour faire son trou. Après le lancement de la ligne Inkslingers, à Abidjan, elle a repris ses activités au pays de l’Oncle Sam.
Parmi ses clientes de référence il y a Dame Julie Macklowe, patronne d'une Banque d'investissement à Wall Street (Sigma Company). Depuis deux ans environ elle s’habille sous l’étiquette de Dolce & Gabbana grâce à Cady. Depuis 2007, elle a transformé Julie, une dame timide en star qui en impose. Ses photos diffusées dans les magazines ELLE, METRO, BAZAAR, W, VOGUE et dans le quotidien maison NEW YORK TIME ont fait d’elle une icône. Selon Cady,
« Elle suit à la lettre tous les conseils et accepte sans discuter toutes les propositions de Cady. Quand il s'agit de se présenter à de grands événement (MET, AWARD, FASHION WEEK, FASHION ROCK, etc.) »
Les robes qu'elle achète varient toujours entre de $ 40,000 et $ 50,000 dollars. En général, ces robes sont des pièces uniques. C’est pour cela que lors de ces manifestations, tout le gotha de l'industrie de la mode attend de savoir qui achète la pièce rare? Et c'est tout de suite diffusé dans les organes de presse. La vente d'une telle pièce devient un phénomène.
« Julie Macklowe est à sa 3ème couverture de magazine avec moi“ dit-elle avec fierté.
