La librairie de France a abrité jeudi dernier, la cérémonie de dédicace de l'ouvrage de Faustin Toha, intitulé “Devoir de mensonges”. L'auteur retrace avec beaucoup de munitie, les différentes péripéties qui ont marqué la vie de la population depuis le 19 septembre 2002, date à laquelle la Côte d'Ivoire a été plongée dans une terrible crise qui continue son cours. “Beaucoup ont écrit sur la crise ivoirienne et les différents événements qui ont suivi, relève Faustin Toha. Chacun a apporté son témoignage, ses remarques. Moi, je relate les faits tels que je les ai vécus. Et je pense que je les ai restitués de façon objective. Mon intention, a fait remarquer l'auteur, n'a pas été de dédier un livre aux militants, mais de mettre à la disposition du public, un livre militant, qui fouette la fibre patriotique des Ivoiriens, un livre pour bâtir ensemble, une patrie nouvelle”.
Ces propos de Faustin Toha ont été soutenus par Guy Lambin, directeur général des Nouvelles Editions ivoiriennes (NEI). Celui-ci a d'ailleurs félicité l'auteur pour avoir eu le souci du détail et de la vérité. Selon Lambin, le journaliste d'investigation qui a entrepris de relater des faits d'une importance capitale parce que relevant d'une crise absolument déchirante, ne devait pas trahir sa plume. Faustin Toha a donc réussi son projet en pésentant aux Ivoiriens son devoir de mémoire, indiquons plutôt, comme l'auteur l'a voulu, son “devoir de mensonge”.
“J'ai donné ce titre à mon ouvrage, explique Faustin Toha, parce que chacun a sa vérité. J'ai dit ma part de vérité. Mais elle peut être jugée par d'autres comme une chaîne de mensonges. Il appartiendra aux lecteurs de faire la part des choses, par rapport aux différentes références que j'ai utilisées en vue d'étayer mes analyses” !
Le journaliste Faustin Toha a osé en prenant une belle initiative. Elle a accouché d'une œuvre remarquable selon Awa Ehoura Tabita, journaliste à la télévision Première Chaîne qui a présenté le livre.
Azo Vauguy azohvauguy@yahoo.fr
Ces propos de Faustin Toha ont été soutenus par Guy Lambin, directeur général des Nouvelles Editions ivoiriennes (NEI). Celui-ci a d'ailleurs félicité l'auteur pour avoir eu le souci du détail et de la vérité. Selon Lambin, le journaliste d'investigation qui a entrepris de relater des faits d'une importance capitale parce que relevant d'une crise absolument déchirante, ne devait pas trahir sa plume. Faustin Toha a donc réussi son projet en pésentant aux Ivoiriens son devoir de mémoire, indiquons plutôt, comme l'auteur l'a voulu, son “devoir de mensonge”.
“J'ai donné ce titre à mon ouvrage, explique Faustin Toha, parce que chacun a sa vérité. J'ai dit ma part de vérité. Mais elle peut être jugée par d'autres comme une chaîne de mensonges. Il appartiendra aux lecteurs de faire la part des choses, par rapport aux différentes références que j'ai utilisées en vue d'étayer mes analyses” !
Le journaliste Faustin Toha a osé en prenant une belle initiative. Elle a accouché d'une œuvre remarquable selon Awa Ehoura Tabita, journaliste à la télévision Première Chaîne qui a présenté le livre.
Azo Vauguy azohvauguy@yahoo.fr
