« Stratégie d’adaptation dans un contexte de changement climatique avéré». C’est le thème de la 3ème Assemblée générale des partenaires de l’Eau de l’Afrique de l’ouest qui se tient depuis hier, à Ivotel au Plateau. Cette rencontre, qui rassemble plus de 20 pays du monde entier, entend mettre sur pied une nouvelle stratégie du Partenariat Mondial de l’Eau pour la période 2009-2013. En effet, au regard de la protection de l’environnement, la présidente Mme Laetitia Obing a indiqué que les résolutions de cette rencontre devraient permettre aux participants de consolider les acquis et d’élaborer des stratégies appropriées sur les secteurs sensibles comme l’eau, l’agriculture, l’énergie, la sécurité alimentaire, et de relever les nouveaux défis.
En Côte d’Ivoire, cette stratégie, selon le ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts, M. Ahizi Aka Daniel, pourrait être déclinée en quelques points. A savoir, la mise en œuvre d’une politique de planification et de coordination des bassins versants, le maintien des options pour le développement de nouveaux sites de retenues d’eau, l’amélioration de l’efficacité de l’irrigation. A l’en croire, les résultats de la Communication nationale initiale en 2001 ont relevé que les changements climatiques entraîneraient une baisse des ressources en eau, de la pluviométrie, de la production d’énergie hydraulique et de la production agricole, si des stratégies efficaces ne sont pas mises en place. Aussi, a-t-il souhaité que les pays africains bénéficient d’apports « financiers supplémentaires pour faire face aux effets pervers des changements climatiques». Cette rencontre prend fin cet après-midi.
Sogona Sidibé
En Côte d’Ivoire, cette stratégie, selon le ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts, M. Ahizi Aka Daniel, pourrait être déclinée en quelques points. A savoir, la mise en œuvre d’une politique de planification et de coordination des bassins versants, le maintien des options pour le développement de nouveaux sites de retenues d’eau, l’amélioration de l’efficacité de l’irrigation. A l’en croire, les résultats de la Communication nationale initiale en 2001 ont relevé que les changements climatiques entraîneraient une baisse des ressources en eau, de la pluviométrie, de la production d’énergie hydraulique et de la production agricole, si des stratégies efficaces ne sont pas mises en place. Aussi, a-t-il souhaité que les pays africains bénéficient d’apports « financiers supplémentaires pour faire face aux effets pervers des changements climatiques». Cette rencontre prend fin cet après-midi.
Sogona Sidibé
