Après la conférence de presse dite, hier à la Maison de la presse d’Abidjan (au Plateau) par le président du Conseil d’administration de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Joseph Anoma, pour invalider la candidature de David Mobio à la présidence de l’institution, ce dernier et son staff lui ont donné la réplique, quelques heures plus tard, dans la cour de la RTI, à Cocody.
“La décision d’annuler la candidature de notre poulain à la présidence de l’UNJCI a été prise de façon unilatérale ce matin (NDLR : hier matin) par le PCA Joseph Anouma. Elle est donc nulle et de nul effet. Nous rappelons que 48 h avaient été accordées par les membres du Conseil à David Mobio afin qu’il complète sa liste à 24 membres, au lieu de 21 qu’il avait proposée.t Ces 48h expirent demain (NDLR : aujourd’hui). Alors, d’où vient-il que, tout seul, Joseph Anoma décide d’invalider la candidature, se désolidarisant ainsi de ces 4 autres collègues du Conseil d’administration”, proteste le directeur de campagne de David Mobio, Franck Dally. “Nulle part dans les statuts et règlement intérieur, il est écrit que les listes des candidats doivent être déposées avec les cartes UNJCI et les cartes de presse des éléments figurant sur les listes. Nous sommes encore sous le choc avec cette décision que nous ne pouvons accepter. Nous avons, pour ce faire, saisi les autorités de tutelle pour qu’elles prennent leurs responsabilités. Nous considérons l’acte isolé de Joseph Anouma comme un véritable coup d’épée dans l’eau, c’est une décision nulle et de nul effet.”, a-t-il ajouté.
Par la suite, David Mobio a pris la parole : “Nous n’avons plus confiance à ce Conseil d’administration (CA) et au Conseil exécutif actuel de l’UNJCI dont le mandat est forclos depuis le 20 septembre 2008. Nous demandons donc au ministre de la Communication d’organiser l’élection du président de l’UNJCI de février. Par ailleurs, nous ne pouvons accepter les candidatures de deux candidats d’un même bureau. Pour avoir une Union forte, il nous faut être objectifs et impartiaux dans la gestion de cet instrument des journalistes”.
Hier, dans l’après-midi, les autres membres du CA ont été reçus par le cabinet du ministre de la Communication, au Plateau. Selon nos sources, ils ont décidé d’organiser, aujourd’hui, à 11h, une conférence de presse à la Maison de la presse en vue de se désolidariser du président Joseph Anoma qui a décidé tout seul.
Marcellin Boguy
“La décision d’annuler la candidature de notre poulain à la présidence de l’UNJCI a été prise de façon unilatérale ce matin (NDLR : hier matin) par le PCA Joseph Anouma. Elle est donc nulle et de nul effet. Nous rappelons que 48 h avaient été accordées par les membres du Conseil à David Mobio afin qu’il complète sa liste à 24 membres, au lieu de 21 qu’il avait proposée.t Ces 48h expirent demain (NDLR : aujourd’hui). Alors, d’où vient-il que, tout seul, Joseph Anoma décide d’invalider la candidature, se désolidarisant ainsi de ces 4 autres collègues du Conseil d’administration”, proteste le directeur de campagne de David Mobio, Franck Dally. “Nulle part dans les statuts et règlement intérieur, il est écrit que les listes des candidats doivent être déposées avec les cartes UNJCI et les cartes de presse des éléments figurant sur les listes. Nous sommes encore sous le choc avec cette décision que nous ne pouvons accepter. Nous avons, pour ce faire, saisi les autorités de tutelle pour qu’elles prennent leurs responsabilités. Nous considérons l’acte isolé de Joseph Anouma comme un véritable coup d’épée dans l’eau, c’est une décision nulle et de nul effet.”, a-t-il ajouté.
Par la suite, David Mobio a pris la parole : “Nous n’avons plus confiance à ce Conseil d’administration (CA) et au Conseil exécutif actuel de l’UNJCI dont le mandat est forclos depuis le 20 septembre 2008. Nous demandons donc au ministre de la Communication d’organiser l’élection du président de l’UNJCI de février. Par ailleurs, nous ne pouvons accepter les candidatures de deux candidats d’un même bureau. Pour avoir une Union forte, il nous faut être objectifs et impartiaux dans la gestion de cet instrument des journalistes”.
Hier, dans l’après-midi, les autres membres du CA ont été reçus par le cabinet du ministre de la Communication, au Plateau. Selon nos sources, ils ont décidé d’organiser, aujourd’hui, à 11h, une conférence de presse à la Maison de la presse en vue de se désolidariser du président Joseph Anoma qui a décidé tout seul.
Marcellin Boguy