La période pré-électorale et de l'opération du recensement et de l'identification battant son plein, la délégation départementale PDCI de Bouaflé a organisé une double cérémonie de présentation de vœux au délégué N'Dia Yves. En marge de cette cérémonie, le premier responsable du PDCI dans le département s'est prêté aux questions de "Le Nouveau Réveil".
Quelle est la santé du PDCI à Bouaflé après le passage du Président Bédié, il y a quelques mois ?
Les militants sont toujours mobilisés dans un bloc compact. A présent, nous nous adonnons à l'opération de l'enrôlement et de l'identification. C'est le sujet le plus préoccupant du moment.
La cohésion est-elle manifeste dans l'animation du PDCI, Ici à Bouaflé?
La cohésion est un principe de groupe. Nous en faisons notre cheval de bataille en notre sein. Elle permet aux militants de rester solidaires dans le combat et pour la victoire. Sans cohésion, le PDCI, qui se trouve aujourd'hui dans l'opposition, ne peut pas prospérer. Il nous faut quelque dose d'humilité et de sens de l'équité. Ces valeurs consolident le parti si l'ensemble des militants les cultivent. La mission est de faire triompher le PDCI à Bouaflé avec le concours de tous. Je demande aux militants de faire preuve de patience et d'attendre chacun son heure. Ceux qui sont sur le terrain abattent un travail colossal pour que le PDCI reste grand à Bouaflé. Je les félicite et les encourage.
Quels sont les enjeux pour le Président Bédié qui est le candidat du PDCI à la prochaine élection présidentielle ?
Les enjeux sont grands pour le Président Bédié parce qu'il a déjà dirigé la Côte d'Ivoire. Il a fait de grandes choses pour la Côte d'Ivoire sur la base d'un programme riche et dense mais qui est resté inachevé. Elu, il pourra faire espérer et prospérer le peuple ivoirien.
La jeunesse quasiment majoritaire au sein de la population n'a pas connu l'époque du miracle ivoirien où le Président Bédié était ministre de l'Economie. Est-ce que ce n'est pas un handicap pour avoir le suffrage des jeunes ?
L'âge n'est pas un handicap pour gouverner. Au contraire, c'est un atout en Afrique car la sagesse est une qualité. On peut être d'un certain âge et demeurer jeune avec toutes ses facultés physiques et mementales intactes, sain d'esprit et lucide. Par contre, on peut être jeune mais rétrograde, fatigué physiquement et maladroit intellectuellement. On peut manquer dès lors de bon sens, d'initiatives et d'inspirations. Il faut un président sage pour apaiser la Côte d'Ivoire en effervescence.
Quelles sont les stratégies que le PDCI devrait mettre en place pour revenir au pouvoir ?
Les militants du PDCI doivent se battre, rester solidaires, résister aux tentatives du gain facile. Ils doivent se montrer convaincants et croire en ce qu'ils font. Le parti du président Bédié regorge de cadres et de militants disponibles. Ils peuvent rebâtir ce pays et le faire valoir à l'extérieur en lui donnant un nouveau lustre.
Concernant l'identification et l'enrôlement ici à Bouaflé, quel est votre bilan à mi-parcours de l'opération ?
Ça se passe assez bien à Bouaflé. J'ai demandé à mon délégué à l'identification de travailler la main dans la main avec tous les autres partis. Il s'agit d'une opération d'envergure nationale. Puisqu'à ce jour, nous n'avons pas connu de frictions. L'opération est terminée dans la commune de Bouaflé. Elle démarre dans les sous-préfectures. La commune de Bonon se trouve en phase terminale. En gros, l'opération suit son cours sans grands dommages. Nous demandons chaque jour à nos militants de se faire enrôler car, c'est l'identification qui permet de gagner les élections. Nous serons très présent dans les zones rurales pour assister nos militants tout le long de cette opération. Nous leur donnons les conseils nécessaires pour que l'identification soit un succès pour le PDCI.
Interview réalisée par Marc Koffi, envoyé spécial
Quelle est la santé du PDCI à Bouaflé après le passage du Président Bédié, il y a quelques mois ?
Les militants sont toujours mobilisés dans un bloc compact. A présent, nous nous adonnons à l'opération de l'enrôlement et de l'identification. C'est le sujet le plus préoccupant du moment.
La cohésion est-elle manifeste dans l'animation du PDCI, Ici à Bouaflé?
La cohésion est un principe de groupe. Nous en faisons notre cheval de bataille en notre sein. Elle permet aux militants de rester solidaires dans le combat et pour la victoire. Sans cohésion, le PDCI, qui se trouve aujourd'hui dans l'opposition, ne peut pas prospérer. Il nous faut quelque dose d'humilité et de sens de l'équité. Ces valeurs consolident le parti si l'ensemble des militants les cultivent. La mission est de faire triompher le PDCI à Bouaflé avec le concours de tous. Je demande aux militants de faire preuve de patience et d'attendre chacun son heure. Ceux qui sont sur le terrain abattent un travail colossal pour que le PDCI reste grand à Bouaflé. Je les félicite et les encourage.
Quels sont les enjeux pour le Président Bédié qui est le candidat du PDCI à la prochaine élection présidentielle ?
Les enjeux sont grands pour le Président Bédié parce qu'il a déjà dirigé la Côte d'Ivoire. Il a fait de grandes choses pour la Côte d'Ivoire sur la base d'un programme riche et dense mais qui est resté inachevé. Elu, il pourra faire espérer et prospérer le peuple ivoirien.
La jeunesse quasiment majoritaire au sein de la population n'a pas connu l'époque du miracle ivoirien où le Président Bédié était ministre de l'Economie. Est-ce que ce n'est pas un handicap pour avoir le suffrage des jeunes ?
L'âge n'est pas un handicap pour gouverner. Au contraire, c'est un atout en Afrique car la sagesse est une qualité. On peut être d'un certain âge et demeurer jeune avec toutes ses facultés physiques et mementales intactes, sain d'esprit et lucide. Par contre, on peut être jeune mais rétrograde, fatigué physiquement et maladroit intellectuellement. On peut manquer dès lors de bon sens, d'initiatives et d'inspirations. Il faut un président sage pour apaiser la Côte d'Ivoire en effervescence.
Quelles sont les stratégies que le PDCI devrait mettre en place pour revenir au pouvoir ?
Les militants du PDCI doivent se battre, rester solidaires, résister aux tentatives du gain facile. Ils doivent se montrer convaincants et croire en ce qu'ils font. Le parti du président Bédié regorge de cadres et de militants disponibles. Ils peuvent rebâtir ce pays et le faire valoir à l'extérieur en lui donnant un nouveau lustre.
Concernant l'identification et l'enrôlement ici à Bouaflé, quel est votre bilan à mi-parcours de l'opération ?
Ça se passe assez bien à Bouaflé. J'ai demandé à mon délégué à l'identification de travailler la main dans la main avec tous les autres partis. Il s'agit d'une opération d'envergure nationale. Puisqu'à ce jour, nous n'avons pas connu de frictions. L'opération est terminée dans la commune de Bouaflé. Elle démarre dans les sous-préfectures. La commune de Bonon se trouve en phase terminale. En gros, l'opération suit son cours sans grands dommages. Nous demandons chaque jour à nos militants de se faire enrôler car, c'est l'identification qui permet de gagner les élections. Nous serons très présent dans les zones rurales pour assister nos militants tout le long de cette opération. Nous leur donnons les conseils nécessaires pour que l'identification soit un succès pour le PDCI.
Interview réalisée par Marc Koffi, envoyé spécial