“Je viens en aide à certaines personnes qui n’ont pas assez de moyens. La robe de mariée que vous avez, par exemple habituellement en location sur le marché local entre 300 et 400 mille FCFA, je vous la donne à 100 mille FCFA. Et ça, c’est en plus du voile, des dragées, des chaussures, du bouquet, etc., que j’offre. C’est donc du social, ce que nous faisons”. Cette envie du social envers les autres, Miss Clarisse Plégnon, ex-Miss Bouaflé, ex-1ère dauphine de Miss Yamoussoukro 88 et directrice de la boutique “Le Paradis de la femme”, l’explique de la façon la plus spirituelle qu’elle soit.
“C’est comme ça, il est des gens qui aiment venir en aide aux autres. C’est surtout Dieu qui a voulu qu’il en soit ainsi avec moi”. Foi d’une ex-tête couronnée.
En dehors du service de location, la directrice de la boutique indique que toute femme ou tout homme peut venir s’y faire coiffer au quotidien. L’ex-reine de la beauté de la région de la Marahoué précise que “Le paradis de la femme”, est un fourre-tout où l’on peut recevoir des soins en maquillage, en gommage, en manicure et pédicure, à des prix défiant toute concurrence. Le tout, s’emballe-t-elle, dans une bonne ambiance offerte par son service traiteur, sous de l’air conditionné.
Officiellement, le salon est ouvert au public depuis le 20 décembre 2008, au Plateau-Dokui, près de l’université Adama Sanogo. Mais depuis le mois de juillet, Miss Plégon affirme avoir marié “beaucoup de filles”. Peuvent en témoigner, selon elle, certaines d’entre elles qu’elle dit d’ailleurs remercier au passage.
Miss Plégnon confie que c’est à la sueur de son front qu’elle a pu installer cette boutique. Plus exactement, insiste-t-elle, grâce à ses petites économies concoctées durant ses 10 dernières années en France. “Dans Paris qui est comme une jungle, j’ai dû trimer pour y arriver. Mon parrain, c’est le Seigneur qui me guide et me donne la force tous les matins”, avoue la patronne du salon..
“Le Concours Miss Côte d’Ivoire (sous l’ère Ben Soumahoro, ndlr) m’a ouvert beaucoup de portes. Mais je dois reconnaître que c’est du passé”. Miss Clarisse Plégnon se souvient tout de même d’avoir représenté la région de Bouaflé à la finale régionale où elle a terminé 1ère dauphine, derrière Miss Yamousoukro avant qu’elles ne se retrouvent en finale à Abidjan.
C’est donc au lendemain de l’apothéose de la compétition que Miss Plégnon s’est envolée pour la France. D’où elle nous revient maintenant, plus de 20 ans après. “Je suis rentrée au bercail en vue d’aider au développement de mon pays. Je veux singulièrement donner un coup de pouce à mes sœurs. Il n’est jamais trop tard pour bien faire”. Bon vent Miss !
Schadé Adédé
“C’est comme ça, il est des gens qui aiment venir en aide aux autres. C’est surtout Dieu qui a voulu qu’il en soit ainsi avec moi”. Foi d’une ex-tête couronnée.
En dehors du service de location, la directrice de la boutique indique que toute femme ou tout homme peut venir s’y faire coiffer au quotidien. L’ex-reine de la beauté de la région de la Marahoué précise que “Le paradis de la femme”, est un fourre-tout où l’on peut recevoir des soins en maquillage, en gommage, en manicure et pédicure, à des prix défiant toute concurrence. Le tout, s’emballe-t-elle, dans une bonne ambiance offerte par son service traiteur, sous de l’air conditionné.
Officiellement, le salon est ouvert au public depuis le 20 décembre 2008, au Plateau-Dokui, près de l’université Adama Sanogo. Mais depuis le mois de juillet, Miss Plégon affirme avoir marié “beaucoup de filles”. Peuvent en témoigner, selon elle, certaines d’entre elles qu’elle dit d’ailleurs remercier au passage.
Miss Plégnon confie que c’est à la sueur de son front qu’elle a pu installer cette boutique. Plus exactement, insiste-t-elle, grâce à ses petites économies concoctées durant ses 10 dernières années en France. “Dans Paris qui est comme une jungle, j’ai dû trimer pour y arriver. Mon parrain, c’est le Seigneur qui me guide et me donne la force tous les matins”, avoue la patronne du salon..
“Le Concours Miss Côte d’Ivoire (sous l’ère Ben Soumahoro, ndlr) m’a ouvert beaucoup de portes. Mais je dois reconnaître que c’est du passé”. Miss Clarisse Plégnon se souvient tout de même d’avoir représenté la région de Bouaflé à la finale régionale où elle a terminé 1ère dauphine, derrière Miss Yamousoukro avant qu’elles ne se retrouvent en finale à Abidjan.
C’est donc au lendemain de l’apothéose de la compétition que Miss Plégnon s’est envolée pour la France. D’où elle nous revient maintenant, plus de 20 ans après. “Je suis rentrée au bercail en vue d’aider au développement de mon pays. Je veux singulièrement donner un coup de pouce à mes sœurs. Il n’est jamais trop tard pour bien faire”. Bon vent Miss !
Schadé Adédé