L’ambiance était festive, le samedi dernier, au Centre polyvalent de Grand-Bassam. C’était à l’occasion de la cérémonie d’investiture de la section locale de l’Association féminine d’aide mutuelle et d’actions humanitaires (AFAMAH). Une manifestation parrainée par le ministre des Nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), Hamed Bakayoko, qui avait à ses côtés son collègue de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, le ministre Ibrahima Cissé Bacongo. D’entrée, la présidente nationale de l’AFAMAH, Mme Adiara Diabagaté a indiqué que son organisation œuvre pour l’émancipation et la promotion de la femme. Sur le plan politique, elle a souligné que l’AFAMAH, soucieuse du bien-être des populations et des femmes en particulier, partage les idéaux prônés par le Rassemblement des républicains (RDR) et son président, le Dr Alassane Dramane Ouattara. «Nous affirmons, haut et fort, notre engagement auprès du Dr Alassane Ouattara. Car, comme tous les Ivoiriens, nous sommes convaincues qu’il est aujourd’hui, de par son expertise et son expérience, le seul capable de remettre la Côte d’Ivoire sur le chemin du développement», a expliqué Mme Diabagaté. Avant de noter avec regret que la Côte d’Ivoire, sous le régime de la Refondation, soit devenue un pays où ne règne que médiocrité et favoritisme. «La solution aujourd’hui, c’est ADO et son ambitieux projet pour le bonheur des ivoiriens», a-t-elle insisté. Abordant dans le même sens, la présidente investie de la section AFAMAH de Grand-Bassam, Mlle Awa Ouattara a souligné que l’élection du candidat du RDR à la prochaine élection présidentielle sera une victoire pour la Côte d’Ivoire toute entière. Prenant la parole, à son tour, le ministre Cissé Bacongo a salué le courage des femmes de l’AFAMAH, avant de les exhorter à s’ouvrir davantage à l’ensemble des femmes de Côte d’Ivoire. «Car, dira-t-il, en décidant de vous reconnaître dans le combat du président ADO, vous acceptez de mesurer les enjeux de cet engagement en étant des personnes qui prônent la fraternité entre tous les filles et fils du pays».
Quant au parrain de la cérémonie, le ministre Hamed Bakayoko, il a invité ses filleules à promouvoir l’esprit de solidarité. «Aujourd’hui en Côte d’Ivoire, nous avons beaucoup besoin de solidarité. Tellement les souffrances sont énormes», a déploré le ministre Bakayoko.
Le discours du ministre Bakayoko s’est voulu débarrassé de toute indication politicienne ou démagogique. Il a planté un tableau sombre de la situation socio-économique du pays. Selon lui, ces souffrances sont dues à la pauvreté qui, aujourd’hui s’est généralisée dans tous les secteurs et à tous les niveaux. «Nos signaux sont alarmants (…) Il faut des élections en cette année 2009, pour permettre à la Côte d’Ivoire, avec le Dr Alassane Dramane Ouattara de sortir très vite de cette situation. Ce serait l’occasion de redonner à notre pays sa grande dimension», a exhorté le ministre Hamed Bakayoko. Toutefois, le ministre a insisté sur les vertus de l’union, de la fraternité et de la solidarité qui doivent caractériser la Côte d’Ivoire de demain.
Diawara Samou
Quant au parrain de la cérémonie, le ministre Hamed Bakayoko, il a invité ses filleules à promouvoir l’esprit de solidarité. «Aujourd’hui en Côte d’Ivoire, nous avons beaucoup besoin de solidarité. Tellement les souffrances sont énormes», a déploré le ministre Bakayoko.
Le discours du ministre Bakayoko s’est voulu débarrassé de toute indication politicienne ou démagogique. Il a planté un tableau sombre de la situation socio-économique du pays. Selon lui, ces souffrances sont dues à la pauvreté qui, aujourd’hui s’est généralisée dans tous les secteurs et à tous les niveaux. «Nos signaux sont alarmants (…) Il faut des élections en cette année 2009, pour permettre à la Côte d’Ivoire, avec le Dr Alassane Dramane Ouattara de sortir très vite de cette situation. Ce serait l’occasion de redonner à notre pays sa grande dimension», a exhorté le ministre Hamed Bakayoko. Toutefois, le ministre a insisté sur les vertus de l’union, de la fraternité et de la solidarité qui doivent caractériser la Côte d’Ivoire de demain.
Diawara Samou