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Art et Culture Publié le lundi 16 février 2009 | Fraternité Matin

Noces : Zio Moussa et Essoh Perrine pour la pérennité...

Pour une vie pleine et heureuse, ils se sont unis, samedi, à Grand-Bassam, en présence des ministres de la Culture et de l’Education. Parents, amis et collègues de Zio Moussa, journaliste émérite, anciennement chef du département Editions au groupe Fraternité Matin, qui vient, il y a à peine un mois, de faire valoir ses droits à une retraite bien méritée, et sa compagne, Essoh Perrine, n’ont voulu, pour rien au monde, rater leur union officielle. Samedi 14 février, jour de la Saint-Valentin, c’est la ville balnéaire de Grand-Bassam, au romantisme inégalé, où ils ont élu domicile depuis 6 ans, qui a été choisie pour sceller leur union sacrée pour la… vie. Et c’est le maire Jean-Michel Moulod, de surcroît voisin du couple, qui a officié la cérémonie officielle en la salle du centre culturel Jean-Baptiste Mockey. Deux ministres, Ibrahim Sy Savané et Gilbert Bleu-Lainé, respectivement de la Communication et de l’Education nationale, ont rehaussé par leur présence effective l’éclat de cette cérémonie. Comme pour rappeler à la mémoire collective que l’homme est à la fois communicateur et enseignant. Au « oui » ferme et rassurant de Moussa, Perrine répondra par un frénétique hyper sonore « oui » qui arrachera des salves d’applaudissements, témoignage de l’approbation de toute l’assemblée. A la grande satisfaction de leurs témoins officiels, Alfred Dan Moussa, directeur du développement des rédactions de Fraternité Matin et président international de l’Union international de la presse francophone (Upf) pour Zio Moussa, et Mme Samba Koné, épouse du président du Réseau des instances africaines d’autorégulation des médias (Riaam), pour son âme soeur. Des congénères, Honorat Dé Yédagne et Lébry Léon Francis (ex-directeurs généraux de Fraternité Matin), aux membres du Comité technique de direction, représentant le directeur général, Jean-Baptiste Akrou, indisponible pour cause de maladie, en passant par la forte délégation de l’entreprise qu’il a servie plus de deux décennies durant, tous sont venus dire à Zio Moussa qu’ils partagent son bonheur aux côtés de son épouse. Après une procession du cortège qui arpente le «Pont de la victoire » et la «Place de la paix», c’est la résidence Mockey qui accueille le couple nuptial et ses invités pour un déjeuner des plus festifs et arrosés, agrémenté par les anecdotes de l’un des cadets de la plume et de la vie de Zio Moussa, Michel Koffi, le maître de cérémonie du jour. S’ensuivent quelques prestations artistiques et des dithyrambes au couple savamment orchestrés par des griottes fort inspirées. Au terme de ce tableau, M. et Mme Zio réapparaissent en tenues traditionnelles d’apparat, sous les airs enjoués d’un zoblazo d’un autre « prince de Grand-Bassam »: Meiway. A peine le temps de se remettre de tant d’émotions cumulées en deux heures d’un bonheur inouï, que les convives du couple Zio sont dirigés à leur résidence de Moossou pour écrire une autre page, avec eux, d’une nouvelle vie à deux. Que tous espèrent… Perrine, pardon, pérenne.



Rémi Coulibaly
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