Procédant le samedi dernier, au QG de la direction de campagne d’Abidjan sud du RDR, en zone 4, à l’investiture du Bureau exécutif des jeunes filles dynamiques pour les actions républicaines (JFDAR), le ministre Hamed Bakayoko a présenté le candidat du RDR à ses filleules :
“Vous venez de toute la Côte d’Ivoire et vous avez choisi librement de militer en faveur de l’élection du Docteur Alassane Ouattara. C’est une grâce pour nous, c’est une bénédiction pour ADO. Le Docteur Ouattara vous aime et vous félicite. … vous avez raison de vous engager aux cotés du président Ouattara. Etre jeune, fuir la facilité et accepter de militer pour une cause qui est la votre avec tout le sérieux, c’est le départ du succès. Je le dis parce que moi-même je suis un fruit de ce parcours. Vous avez raison de croire au combat du Docteur Alassane Ouattara. Je vous exhorte à persévérer. Vous allez voir quand la victoire va commencer à pointer le nez, ceux qui hésitaient et vous lançaient des mots de découragement vont vouloir intégrer le groupe. Alors, il faudra les accepter. Il vous faudra être ouvertes. Vous avez la chance de commencer tôt, mais il faut être très sérieux. Une association peut-être un effet de mode. Je souhaite que vous ne soyez pas ce genre d’association. Il faudrait qu’après la cérémonie de lancement, l’on sente que les jeunes filles dynamiques pour les actions républicaines (JFDAR) sont en mouvement, partout à Adjamé, à Yopougon à Tiassalé,à Korhogo… il faut qu’ont sente que votre mouvement bouge, qu’il grandit. Je souhaite que vous soyez un grand mouvement, dans ces conditions je serai un grand parrain à vos côtés. Si vous êtes un mouvement sérieux, je serai un parrain sérieux.
L’autre sujet que je souhaite aborder avec vous, c’est la pauvreté et la prostitution. Je suis d’autant plus heureux de m’engager à vos côtés, par ce que vous avez raison, il s’agit de l’avenir de chacun d’entre nous. Aujourd’hui pour fuir le débat intellectuel, pour fuir le vrai débat, on nous propose de faux débats. On nous emmène sur le terrain de la nationalité, sur le terrain ethnique et religieux. Ce sont de faux débats. En Côte d’Ivoire, il n’y a pas de Gauche ni de Droite. Le vrai problème c’est que les gens n’ont pas à manger. Il y a des gens dans cette salle qui ne savent même pas comment ils vont se débrouiller pour manger tout à l’heure. Ils souffrent le martyr de la pauvreté. Aujourd’hui ce dont la Côte d’Ivoire a besoin, c’est d’une solution. C’est de trouver une solution à ce mal, et ce mal est si fort quand il s’agit des femmes. Car les femmes sont vulnérables, et c’est la pauvreté qui engendre la prostitution. Et je vous le dis, la prostitution est la pire forme de violence. (…)
Oui vous avez raison de choisir un homme qui s’est donné une seule ambition : redonner à l’Ivoirien et à l’Ivoirienne sa dignité. Vous avez choisi quelqu’un qui a fini, il a fini. Le Dieu tout puissant à qui il rend grâce tous les jours, lui a tout donné. Dieu lui a donné la chance de naître dans une famille ou règne l’amour, avec une mère qui l’a adoré. Dieu lui a permis de faire de brillantes études aux Etats-Unis. Il l’un des rares Noirs à avoir été directeur général adjoint du FMI. Ensuite il a été premier ministre. Et avec ses retraites il peut mener une vie paisible et tranquille. Personne ne va l’insulter, il y a des gens qui l’insultent aujourd’hui et qui n’allaient jamais le croiser. Mais il s’est engagé, pour se servir de son nom, de ce background pour rendre à l’Ivoirienne et à l’Ivoirien sa dignité. Il faut qu’ont se batte pour réduire la pauvreté. Parce qu’elle est dans tous les secteurs, dans le monde de la musique.
Je suis fier de vous les étudiantes qui vous êtes engagées. L’engagement c’est d’abord une conviction. Quand votre présidente a parlé, certes elle a été éloquente, mais ce qui m’a marqué c’est la conviction avec laquelle elle parlait. Et cela me mène à dire qu’on entendra parler longtemps de ce mouvement. Je vous félicite, je vous exhorte à persévérer. En ce qui me concerne, je serai toujours à vos côtés. J’appartiens à la génération du concret.
“Vous venez de toute la Côte d’Ivoire et vous avez choisi librement de militer en faveur de l’élection du Docteur Alassane Ouattara. C’est une grâce pour nous, c’est une bénédiction pour ADO. Le Docteur Ouattara vous aime et vous félicite. … vous avez raison de vous engager aux cotés du président Ouattara. Etre jeune, fuir la facilité et accepter de militer pour une cause qui est la votre avec tout le sérieux, c’est le départ du succès. Je le dis parce que moi-même je suis un fruit de ce parcours. Vous avez raison de croire au combat du Docteur Alassane Ouattara. Je vous exhorte à persévérer. Vous allez voir quand la victoire va commencer à pointer le nez, ceux qui hésitaient et vous lançaient des mots de découragement vont vouloir intégrer le groupe. Alors, il faudra les accepter. Il vous faudra être ouvertes. Vous avez la chance de commencer tôt, mais il faut être très sérieux. Une association peut-être un effet de mode. Je souhaite que vous ne soyez pas ce genre d’association. Il faudrait qu’après la cérémonie de lancement, l’on sente que les jeunes filles dynamiques pour les actions républicaines (JFDAR) sont en mouvement, partout à Adjamé, à Yopougon à Tiassalé,à Korhogo… il faut qu’ont sente que votre mouvement bouge, qu’il grandit. Je souhaite que vous soyez un grand mouvement, dans ces conditions je serai un grand parrain à vos côtés. Si vous êtes un mouvement sérieux, je serai un parrain sérieux.
L’autre sujet que je souhaite aborder avec vous, c’est la pauvreté et la prostitution. Je suis d’autant plus heureux de m’engager à vos côtés, par ce que vous avez raison, il s’agit de l’avenir de chacun d’entre nous. Aujourd’hui pour fuir le débat intellectuel, pour fuir le vrai débat, on nous propose de faux débats. On nous emmène sur le terrain de la nationalité, sur le terrain ethnique et religieux. Ce sont de faux débats. En Côte d’Ivoire, il n’y a pas de Gauche ni de Droite. Le vrai problème c’est que les gens n’ont pas à manger. Il y a des gens dans cette salle qui ne savent même pas comment ils vont se débrouiller pour manger tout à l’heure. Ils souffrent le martyr de la pauvreté. Aujourd’hui ce dont la Côte d’Ivoire a besoin, c’est d’une solution. C’est de trouver une solution à ce mal, et ce mal est si fort quand il s’agit des femmes. Car les femmes sont vulnérables, et c’est la pauvreté qui engendre la prostitution. Et je vous le dis, la prostitution est la pire forme de violence. (…)
Oui vous avez raison de choisir un homme qui s’est donné une seule ambition : redonner à l’Ivoirien et à l’Ivoirienne sa dignité. Vous avez choisi quelqu’un qui a fini, il a fini. Le Dieu tout puissant à qui il rend grâce tous les jours, lui a tout donné. Dieu lui a donné la chance de naître dans une famille ou règne l’amour, avec une mère qui l’a adoré. Dieu lui a permis de faire de brillantes études aux Etats-Unis. Il l’un des rares Noirs à avoir été directeur général adjoint du FMI. Ensuite il a été premier ministre. Et avec ses retraites il peut mener une vie paisible et tranquille. Personne ne va l’insulter, il y a des gens qui l’insultent aujourd’hui et qui n’allaient jamais le croiser. Mais il s’est engagé, pour se servir de son nom, de ce background pour rendre à l’Ivoirienne et à l’Ivoirien sa dignité. Il faut qu’ont se batte pour réduire la pauvreté. Parce qu’elle est dans tous les secteurs, dans le monde de la musique.
Je suis fier de vous les étudiantes qui vous êtes engagées. L’engagement c’est d’abord une conviction. Quand votre présidente a parlé, certes elle a été éloquente, mais ce qui m’a marqué c’est la conviction avec laquelle elle parlait. Et cela me mène à dire qu’on entendra parler longtemps de ce mouvement. Je vous félicite, je vous exhorte à persévérer. En ce qui me concerne, je serai toujours à vos côtés. J’appartiens à la génération du concret.