La filière de la Banane bat de l'aile en ce début d'année dans la capitale politique ivoirienne. Cette denrée de grande consommation se fait de plus en plus rare et devient chère ces derniers jours sur les différents marchés de Yamoussoukro.
Pour beaucoup, ce sont les commerçantes de la banane qui font de la spéculation et procèdent à la hausse des prix. Pour acheter un régime de banane, il faut débourser la somme de 2000 francs CFA et 300 francs pour avoir un tas de 6 bananes.
Le prix du régime est ainsi passé de 1000 à 2.000 francs CFA sur le marché en cette période où la banane est abondante dans les villages et hameaux. la situation n’est pas du goût des ménagères. Celles-ci apprécient mal la rareté qui engendre la hausse du prix. La facture, selon les ménagères, est difficile à supporter. “C'est ahurissant, on ne sait pas quand ce cycle va prendre fin. A cette allure, je vais arrêter de consommer de la banane”, regrette dame Solange N’guessan, une ménagère rencontrée au marché de Môfetai de Yamoussoukro. Pour les commerçantes, l’augmentation du prix est du fait de la rareté de cette denrée dans certaines zones du pays. “Ce n’est pas de notre faute, les femmes qui nous envoient de la banane nous ont fait savoir qu’il y a une pénurie dans les grandes zones de production comme à Sinfra et Bonon ; c’est donc pour cette raison que nous avons revu à la hausse les prix des régimes”, explique Charlotte Kouamé.
Ne pouvant plus supporter cette situation les ménagères entendent s’en remettre aux autorités dans les prochains jours en vue de trouver une solution à ce problème qui n’est pas fait pour arranger les familles.
Gervais Amany gervaisamani@yahoo.fr
Pour beaucoup, ce sont les commerçantes de la banane qui font de la spéculation et procèdent à la hausse des prix. Pour acheter un régime de banane, il faut débourser la somme de 2000 francs CFA et 300 francs pour avoir un tas de 6 bananes.
Le prix du régime est ainsi passé de 1000 à 2.000 francs CFA sur le marché en cette période où la banane est abondante dans les villages et hameaux. la situation n’est pas du goût des ménagères. Celles-ci apprécient mal la rareté qui engendre la hausse du prix. La facture, selon les ménagères, est difficile à supporter. “C'est ahurissant, on ne sait pas quand ce cycle va prendre fin. A cette allure, je vais arrêter de consommer de la banane”, regrette dame Solange N’guessan, une ménagère rencontrée au marché de Môfetai de Yamoussoukro. Pour les commerçantes, l’augmentation du prix est du fait de la rareté de cette denrée dans certaines zones du pays. “Ce n’est pas de notre faute, les femmes qui nous envoient de la banane nous ont fait savoir qu’il y a une pénurie dans les grandes zones de production comme à Sinfra et Bonon ; c’est donc pour cette raison que nous avons revu à la hausse les prix des régimes”, explique Charlotte Kouamé.
Ne pouvant plus supporter cette situation les ménagères entendent s’en remettre aux autorités dans les prochains jours en vue de trouver une solution à ce problème qui n’est pas fait pour arranger les familles.
Gervais Amany gervaisamani@yahoo.fr
