La deuxième partie de la 34ème session du conseil d’administration du Centre régional africain d’administration du travail (Cradat) s’est ouverte hier, à Grand-Bassam, avec la réunion des ministres en charge du travail des 18 Etats membres.
L’occasion a été mise à profit par le président du conseil d’administration (Pca) du Cradat, par ailleurs ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale de la République démocratique du Congo, Gilbert Ondongo, pour inviter les Etats membres à se mettre à jour de leurs cotisations. Pour le Pca du Cadrat, l’institution, qui depuis 40 ans, n’a cessé de former les contrôleurs et inspecteurs du travail des Etats membres, est aujourd’hui confrontée à des difficultés de trésorerie. Du fait, des difficultés de payement des cotisations des Etats. C’est à juste titre que le président du conseil d’administration a lancé un appel pressant aux dirigeants des différents pays membres afin de se mettre à jour pour sauver l’institution panafricaine qui, pour lui, est plus que indispensable. « S’il est admis que la formation des ressources humaines est au cœur du développement, le Cradat participe au développement des pays africains », fera remarquer Gilbert Ondongo.
Prenant au mot le Pca du Cradat, le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement Antoine Bohoun Bouabré, a, au nom du Premier ministre qu’il représentait, expliqué que la Côte d’Ivoire, qui a fait de la formation de ses cadres une priorité, ressent la nécessité d’appuyer financièrement le Cradat. Mais la crise que le pays vient de traverser ne lui pas permis de toujours honorer ses engagements vis-à-vis du Cradat. Toutefois, indiquera le ministre d’Etat, grâce à l’accord politique de Ouagadougou qui permet d’affirmer « que la crise fait désormais partie du passé », la Côte d’Ivoire, par sa voix, s’est engagée solennellement à payer dans les mois à venir, les 60 millions d’arriérés qu’il doit au Cradat. Le représentant du Premier ministre s’est toutefois réjoui de la tenue de la 34ème session du conseil d’administration en terre ivoirienne. Ce qui est, pour lui, un signal fort du retour définitif à la paix et une opportunité pour nation ivoirienne de réaffirmer sa solidarité et son engagement à soutenir toutes les actions de développement.
Marc Yevou
L’occasion a été mise à profit par le président du conseil d’administration (Pca) du Cradat, par ailleurs ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale de la République démocratique du Congo, Gilbert Ondongo, pour inviter les Etats membres à se mettre à jour de leurs cotisations. Pour le Pca du Cadrat, l’institution, qui depuis 40 ans, n’a cessé de former les contrôleurs et inspecteurs du travail des Etats membres, est aujourd’hui confrontée à des difficultés de trésorerie. Du fait, des difficultés de payement des cotisations des Etats. C’est à juste titre que le président du conseil d’administration a lancé un appel pressant aux dirigeants des différents pays membres afin de se mettre à jour pour sauver l’institution panafricaine qui, pour lui, est plus que indispensable. « S’il est admis que la formation des ressources humaines est au cœur du développement, le Cradat participe au développement des pays africains », fera remarquer Gilbert Ondongo.
Prenant au mot le Pca du Cradat, le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement Antoine Bohoun Bouabré, a, au nom du Premier ministre qu’il représentait, expliqué que la Côte d’Ivoire, qui a fait de la formation de ses cadres une priorité, ressent la nécessité d’appuyer financièrement le Cradat. Mais la crise que le pays vient de traverser ne lui pas permis de toujours honorer ses engagements vis-à-vis du Cradat. Toutefois, indiquera le ministre d’Etat, grâce à l’accord politique de Ouagadougou qui permet d’affirmer « que la crise fait désormais partie du passé », la Côte d’Ivoire, par sa voix, s’est engagée solennellement à payer dans les mois à venir, les 60 millions d’arriérés qu’il doit au Cradat. Le représentant du Premier ministre s’est toutefois réjoui de la tenue de la 34ème session du conseil d’administration en terre ivoirienne. Ce qui est, pour lui, un signal fort du retour définitif à la paix et une opportunité pour nation ivoirienne de réaffirmer sa solidarité et son engagement à soutenir toutes les actions de développement.
Marc Yevou