La présidente nationale du Rassemblement des femmes républicaines (RFR), est déterminée à œuvrer pour la victoire de ADO, à la prochaine élection présidentielle. Elle a demandé aux populations d’Oumé de relever avec elle, ce défi.
Le Patriote : Pourquoi avez-vous choisi Yohouda pour vous faire enrôler surtout que vous résidez a Abidjan?
Touré Aya Virginie : C’est d’abord parce que je suis fille de Yohouda. C’est aussi pour participer à la sensibilisation et à la mobilisation des militants et sympathisants de mon parti. Je voudrais surtout que mon exemple soit une source de motivation pour les parents et pour toute la population à fin que chacun se fasse identifier et enrôler en vue d’obtenir sa carte nationale d’identité et sa carte d’électeur.
LP : Avez-vous des ambitions politiques à Oumé?
T.A.V : Ma première ambition c’est l’élection du président Alassane Dramane Ouattara. Je veux que dans ma région, mes parents votent massivement ADO. Et ils l’ont compris. Ils me font confiance. Dans tous les centres d’enrôlement, il y a l’engouement et la mobilisation est totale. C’est déjà la preuve que mon message a été compris.
LP : Pensez-vous qu’ Oumé est favorable à votre parti?
T.A.V : Oui. Je suis militante depuis 1994. Donc je suis une pionnière. De cette date jusqu’à mon élection à la tête de la structure des femmes du parti, nous avons réussi à faire du département d’Oumé, le bastion du RDR. Dans tous les villages et les campements, le parti est fortement implanté. Toutes les structures y sont installées. D’ailleurs, le pourvoir en place nous a beaucoup aidés en ne tenant pas les promesses faites aux populations. Dès lors, nous avons profité de cette situation pour installer nos bases. Puisque les élus sont politiquement morts au niveau de la région. Aucun habitant de la région ne leur fait confiance. Les populations m’ont confirmé qu’elles sont prêtes pour le changement avec ADO.
LP : Des rumeurs persistantes font état à Oumé, de ce que Gbagbo ayant constaté la chute de son parti, aurait envoyé des émissaires pour vous débaucher?
T.A.V : Moi, allez au FPI? Pour y chercher quoi ? Détruire mon image avec ceux qui pillent le pays, qui cassent ce qu’ils n’ont pas construit ? Je ne vais jamais ternir mon image avec un pouvoir moribond. Au RDR, je gagne tout avec ADO. Je suis fière d’être militante du RDR, d’avoir un président comme ADO. Comme vous le dites, ce ne sont que des rumeurs. Je n’ai aucun intérêt, aucune intention de m’aventurer dans une voie sans issue. C’est le cas du FPI et de la mouvance présidentielle. Moi je suis de la mouvance ADO. Je ne suis pas de la classe des gens sans conviction et sans vision.
LP : Que demandez-vous à vos militants et à la population?
T.A. V : J’exhorte les militants et les populations d’Oumé à suivre et à être acteurs du changement avec ADO. Il est le maître du redressement. Il l’a démontré sous le président Houphouët-Boigny, au moment où le pays était à genoux. J’invite les peuples Gagou, Gourou, Gban et tous les allogènes vivant sur le sol d’Oumé, à être dans la mouvance d’ADO et de se mobiliser derrière lui comme un seul homme. Les Ivoiriens sont fatigués de souffrir, de mourir à petit feu dans leur propre pays, par la faute d’un groupuscule d’individus.
réalisée à Oumé par Jacquelin Mintoh.
Le Patriote : Pourquoi avez-vous choisi Yohouda pour vous faire enrôler surtout que vous résidez a Abidjan?
Touré Aya Virginie : C’est d’abord parce que je suis fille de Yohouda. C’est aussi pour participer à la sensibilisation et à la mobilisation des militants et sympathisants de mon parti. Je voudrais surtout que mon exemple soit une source de motivation pour les parents et pour toute la population à fin que chacun se fasse identifier et enrôler en vue d’obtenir sa carte nationale d’identité et sa carte d’électeur.
LP : Avez-vous des ambitions politiques à Oumé?
T.A.V : Ma première ambition c’est l’élection du président Alassane Dramane Ouattara. Je veux que dans ma région, mes parents votent massivement ADO. Et ils l’ont compris. Ils me font confiance. Dans tous les centres d’enrôlement, il y a l’engouement et la mobilisation est totale. C’est déjà la preuve que mon message a été compris.
LP : Pensez-vous qu’ Oumé est favorable à votre parti?
T.A.V : Oui. Je suis militante depuis 1994. Donc je suis une pionnière. De cette date jusqu’à mon élection à la tête de la structure des femmes du parti, nous avons réussi à faire du département d’Oumé, le bastion du RDR. Dans tous les villages et les campements, le parti est fortement implanté. Toutes les structures y sont installées. D’ailleurs, le pourvoir en place nous a beaucoup aidés en ne tenant pas les promesses faites aux populations. Dès lors, nous avons profité de cette situation pour installer nos bases. Puisque les élus sont politiquement morts au niveau de la région. Aucun habitant de la région ne leur fait confiance. Les populations m’ont confirmé qu’elles sont prêtes pour le changement avec ADO.
LP : Des rumeurs persistantes font état à Oumé, de ce que Gbagbo ayant constaté la chute de son parti, aurait envoyé des émissaires pour vous débaucher?
T.A.V : Moi, allez au FPI? Pour y chercher quoi ? Détruire mon image avec ceux qui pillent le pays, qui cassent ce qu’ils n’ont pas construit ? Je ne vais jamais ternir mon image avec un pouvoir moribond. Au RDR, je gagne tout avec ADO. Je suis fière d’être militante du RDR, d’avoir un président comme ADO. Comme vous le dites, ce ne sont que des rumeurs. Je n’ai aucun intérêt, aucune intention de m’aventurer dans une voie sans issue. C’est le cas du FPI et de la mouvance présidentielle. Moi je suis de la mouvance ADO. Je ne suis pas de la classe des gens sans conviction et sans vision.
LP : Que demandez-vous à vos militants et à la population?
T.A. V : J’exhorte les militants et les populations d’Oumé à suivre et à être acteurs du changement avec ADO. Il est le maître du redressement. Il l’a démontré sous le président Houphouët-Boigny, au moment où le pays était à genoux. J’invite les peuples Gagou, Gourou, Gban et tous les allogènes vivant sur le sol d’Oumé, à être dans la mouvance d’ADO et de se mobiliser derrière lui comme un seul homme. Les Ivoiriens sont fatigués de souffrir, de mourir à petit feu dans leur propre pays, par la faute d’un groupuscule d’individus.
réalisée à Oumé par Jacquelin Mintoh.