Mlle Bintou Dosso (Vice-présidente – BEN Amazone): "Redynamiser les structures du parti"
Nous attendions impatiemment cette arrivée de notre président. Il faut dire que quand il partait, le parti était en ‘’stand-by’’. Aujourd’hui qu’il est arrivé, notre souhait est qu’il s’engage automatiquement à redynamiser les structures du parti et l’ensemble des troupes. Nous souhaitons surtout qu’il entame ses tournées. C’est en cela qu’il pourra faire vibrer à nouveau le parti.
Siaka Silué (militant de base) : "C’est le moment d’activer l’appareil de mobilisation"
Je souhaite bon arrivée au président. Pour moi, ses priorités seront, d’abord de continuer à sensibiliser ses militants. Nous entendons ça et là des militants se plaindre du fait que le président ne bouge pas trop à l’intérieur du pays. Je pense donc que c’est le moment pour lui d’activer l’appareil de mobilisation et de sensibilisation.
Valoua Diomandé (Etudiant): "Que le président nous dise où est ce qu’on va"
Nous souhaitons la cordiale bienvenue au président. Mais il faut dire que des sujets très importants l’attendaient. De l’opération d’enrôlement et de tout le processus électoral. Il faut dire qu’il y a trop de flous, trop de zones d’ombres. Nous voulons qu’il vienne nous dire exactement où est-ce que nous allons. Nous voulons également que le président fasse des actions concrètes sur le terrain.
Stéphane Douh Oula (Membre du BEN-RJR) : "Qu’il convoque une réunion d’urgence".
D’abord, bonne arrivée à notre cher président. Il faut dire que les priorités du président sont nombreuses. Aujourd’hui, nous voyons tous que l’opération d’identification prend du plomb dans l’aile. Cela, malgré les efforts qui sont faits sur le terrain par nos cadres et responsables locaux. Il faut dire que beaucoup reste à faire. Les populations sont délaissées. Les moyens déployés sur le terrain par les structures en charge de l’opération d’enrôlement sont insuffisants. Je souhaite donc que le président, à son niveau, convoque très rapidement une réunion d’urgence pour plancher sur tous ces sujets.
Mlle Mariam Touré (Secrétaire de section à Yopougon): "Nous sentons un vide, depuis un temps".
Pourquoi les priorités du président Ouattara doivent d’abord porter sur la redynamisation de ses troupes? Parce qu’il faut le dire clairement, nous sentons un vide depuis un certain temps. Je pense donc que l’essentiel est qu’il s’appuie sur ce point, pour l’instant. Nous voulons le voir sortir, l’entendre, parce que les militants en ont besoin.
Patrick lou (DRCA-Man):"ADO doit prendre le devant de la scène politique".
Notre président est arrivé. C’est une très bonne chose, puisqu’il arrive à un moment où la Côte d’Ivoire ne fait que tomber plus bas. Il faut faire quelque chose. Pour cela, je souhaite que, dans le cadre du RHDP, nos responsables se mettent en branle pour remuer Monsieur Laurent Gbagbo. Je pense que le président Ouattara et les alliés du RHDP ne doivent pas lui laisser le champ libre. Il veut aller aux élections à son rythme, donc à petits pas. Pourtant, les Ivoiriens souffrent, ils en ont marre. Nous pensons que ADO, qui est très sensible à cette souffrance des populations, doit prendre le devant de la scène politique. Il doit davantage engager les cadres et responsables du parti dans l’opération de reconstitution des registres de l’état civil. Lorsque nous prenons la région des 18 montagnes, il s’agit de celle la plus touchée en terme de registres d’état civil détruits ou disparus. Il faut donc agir sur ce côté.
Imbassou Ouattara (DDC-Yopougon): "Des actions concrètes pour redonner espoir aux Ivoiriens"
Il faut dire que nous avons eu beaucoup de plaisir en apprenant que le président est hors du pays. Parce que ADO à l’extérieur, cela est d’autant bénéfique que lorsqu’il est en Côte d’Ivoire. Nous avons eu échos de quelques séances de travail qu’il a eu là-bas avec des personnalités du monde. Cela nous a réjoui. Il revient au pays, au moment où le pays est déboussolé avec les différents scandales du régime découverts ces derniers jours. Aujourd’hui, l’Ivoirien s’interroge encore sur ses repères. Il se demande s’il y a encore des valeurs morales dans ce pays, tellement nous sommes tombés bas. ADO doit donc avoir des mots justes et forts et des actions concrètes pour redonner de l’espoir aux populations. Aujourd’hui, l’Ivoirien a compris qu’il peut y avoir des clivages. Mais qu’il faut recentrer le débat autour de ce qui nous lie, c`est-à-dire l’intérêt supérieur du pays. Le président Ouattara doit donc donner des mots justes et forts qui redonnent espoir à tous ses concitoyens. Son retour doit marquer celui d’une Côte d’Ivoire nouvelle.
N’Goua Arsène Toussaint (Président RJR-Dabou): "Que le président se penche sur les réformes décidées par le Congrès"
Nous souhaitons la bienvenue au président. Il est clair que tout le monde constate que lorsqu’il n’est pas là, le parti semble s’endormir un peu. Avec son arrivée, il est bon qu’un réveil se fasse naturellement. Il y a également les réformes décidées au dernier congrès qui semblent être bloquées. Je pense donc que c’est l’occasion pour le président de se pencher sur ces réformes. Et, il faut dire également que nous attendons le président sur le terrain, pour la grande mobilisation.
S. Keita (militant de base): "L’opposition doit se saisir des dossiers sales du régime FPI".
Nous souhaitons la bienvenue au président ADO. Moi, à mon niveau, je déplore l’absence d’opposition active en Côte d’Ivoire. Parce que dans une démocratie normale, l’opposition doit toujours s’opposer quand elle n’est pas d’accord. Mais, en Côte d’Ivoire, nous avons l’impression qu’il y a un mutisme de l’opposition civile. L’actualité aujourd’hui est marquée par les scandales du régime FPI. Mais, c’est l’occasion pour l’opposition de rebondir et se saisir de ces affaires sales du pouvoir. Et c’est ce que nous demandons au président Alassane Ouattara et à nos alliés du RHDP.
Blé Téti (militant de base à Saïoua): "Nous l’attendons impatiemment à l’intérieur du pays"
Pour moi, le président doit maintenant tout faire pour organiser une sortie à l’intérieur du pays. Il faut qu’il aille à la rencontre des militants à tous les niveaux. Il est arrivé de France. Qu’il fasse maintenant un programme de tournée, pour aller sensibiliser les militants. Bédié l’a fait pour ses militants. Lui aussi peut le faire pour nous. Et nous l’attendons impatiemment à l’intérieur du pays.
Moyaby Doumbia (militant) : "Que le président sorte un peu"
Il faut dire que ce sera utile pour le président de sortir un peu. Il est temps qu’il entreprenne des tournées. Qu’il vienne nous donner de l’espoir, parce que le pays est un chaos total.
Réalisé par Diawara Samou
Photos : A. Mesmer
Nous attendions impatiemment cette arrivée de notre président. Il faut dire que quand il partait, le parti était en ‘’stand-by’’. Aujourd’hui qu’il est arrivé, notre souhait est qu’il s’engage automatiquement à redynamiser les structures du parti et l’ensemble des troupes. Nous souhaitons surtout qu’il entame ses tournées. C’est en cela qu’il pourra faire vibrer à nouveau le parti.
Siaka Silué (militant de base) : "C’est le moment d’activer l’appareil de mobilisation"
Je souhaite bon arrivée au président. Pour moi, ses priorités seront, d’abord de continuer à sensibiliser ses militants. Nous entendons ça et là des militants se plaindre du fait que le président ne bouge pas trop à l’intérieur du pays. Je pense donc que c’est le moment pour lui d’activer l’appareil de mobilisation et de sensibilisation.
Valoua Diomandé (Etudiant): "Que le président nous dise où est ce qu’on va"
Nous souhaitons la cordiale bienvenue au président. Mais il faut dire que des sujets très importants l’attendaient. De l’opération d’enrôlement et de tout le processus électoral. Il faut dire qu’il y a trop de flous, trop de zones d’ombres. Nous voulons qu’il vienne nous dire exactement où est-ce que nous allons. Nous voulons également que le président fasse des actions concrètes sur le terrain.
Stéphane Douh Oula (Membre du BEN-RJR) : "Qu’il convoque une réunion d’urgence".
D’abord, bonne arrivée à notre cher président. Il faut dire que les priorités du président sont nombreuses. Aujourd’hui, nous voyons tous que l’opération d’identification prend du plomb dans l’aile. Cela, malgré les efforts qui sont faits sur le terrain par nos cadres et responsables locaux. Il faut dire que beaucoup reste à faire. Les populations sont délaissées. Les moyens déployés sur le terrain par les structures en charge de l’opération d’enrôlement sont insuffisants. Je souhaite donc que le président, à son niveau, convoque très rapidement une réunion d’urgence pour plancher sur tous ces sujets.
Mlle Mariam Touré (Secrétaire de section à Yopougon): "Nous sentons un vide, depuis un temps".
Pourquoi les priorités du président Ouattara doivent d’abord porter sur la redynamisation de ses troupes? Parce qu’il faut le dire clairement, nous sentons un vide depuis un certain temps. Je pense donc que l’essentiel est qu’il s’appuie sur ce point, pour l’instant. Nous voulons le voir sortir, l’entendre, parce que les militants en ont besoin.
Patrick lou (DRCA-Man):"ADO doit prendre le devant de la scène politique".
Notre président est arrivé. C’est une très bonne chose, puisqu’il arrive à un moment où la Côte d’Ivoire ne fait que tomber plus bas. Il faut faire quelque chose. Pour cela, je souhaite que, dans le cadre du RHDP, nos responsables se mettent en branle pour remuer Monsieur Laurent Gbagbo. Je pense que le président Ouattara et les alliés du RHDP ne doivent pas lui laisser le champ libre. Il veut aller aux élections à son rythme, donc à petits pas. Pourtant, les Ivoiriens souffrent, ils en ont marre. Nous pensons que ADO, qui est très sensible à cette souffrance des populations, doit prendre le devant de la scène politique. Il doit davantage engager les cadres et responsables du parti dans l’opération de reconstitution des registres de l’état civil. Lorsque nous prenons la région des 18 montagnes, il s’agit de celle la plus touchée en terme de registres d’état civil détruits ou disparus. Il faut donc agir sur ce côté.
Imbassou Ouattara (DDC-Yopougon): "Des actions concrètes pour redonner espoir aux Ivoiriens"
Il faut dire que nous avons eu beaucoup de plaisir en apprenant que le président est hors du pays. Parce que ADO à l’extérieur, cela est d’autant bénéfique que lorsqu’il est en Côte d’Ivoire. Nous avons eu échos de quelques séances de travail qu’il a eu là-bas avec des personnalités du monde. Cela nous a réjoui. Il revient au pays, au moment où le pays est déboussolé avec les différents scandales du régime découverts ces derniers jours. Aujourd’hui, l’Ivoirien s’interroge encore sur ses repères. Il se demande s’il y a encore des valeurs morales dans ce pays, tellement nous sommes tombés bas. ADO doit donc avoir des mots justes et forts et des actions concrètes pour redonner de l’espoir aux populations. Aujourd’hui, l’Ivoirien a compris qu’il peut y avoir des clivages. Mais qu’il faut recentrer le débat autour de ce qui nous lie, c`est-à-dire l’intérêt supérieur du pays. Le président Ouattara doit donc donner des mots justes et forts qui redonnent espoir à tous ses concitoyens. Son retour doit marquer celui d’une Côte d’Ivoire nouvelle.
N’Goua Arsène Toussaint (Président RJR-Dabou): "Que le président se penche sur les réformes décidées par le Congrès"
Nous souhaitons la bienvenue au président. Il est clair que tout le monde constate que lorsqu’il n’est pas là, le parti semble s’endormir un peu. Avec son arrivée, il est bon qu’un réveil se fasse naturellement. Il y a également les réformes décidées au dernier congrès qui semblent être bloquées. Je pense donc que c’est l’occasion pour le président de se pencher sur ces réformes. Et, il faut dire également que nous attendons le président sur le terrain, pour la grande mobilisation.
S. Keita (militant de base): "L’opposition doit se saisir des dossiers sales du régime FPI".
Nous souhaitons la bienvenue au président ADO. Moi, à mon niveau, je déplore l’absence d’opposition active en Côte d’Ivoire. Parce que dans une démocratie normale, l’opposition doit toujours s’opposer quand elle n’est pas d’accord. Mais, en Côte d’Ivoire, nous avons l’impression qu’il y a un mutisme de l’opposition civile. L’actualité aujourd’hui est marquée par les scandales du régime FPI. Mais, c’est l’occasion pour l’opposition de rebondir et se saisir de ces affaires sales du pouvoir. Et c’est ce que nous demandons au président Alassane Ouattara et à nos alliés du RHDP.
Blé Téti (militant de base à Saïoua): "Nous l’attendons impatiemment à l’intérieur du pays"
Pour moi, le président doit maintenant tout faire pour organiser une sortie à l’intérieur du pays. Il faut qu’il aille à la rencontre des militants à tous les niveaux. Il est arrivé de France. Qu’il fasse maintenant un programme de tournée, pour aller sensibiliser les militants. Bédié l’a fait pour ses militants. Lui aussi peut le faire pour nous. Et nous l’attendons impatiemment à l’intérieur du pays.
Moyaby Doumbia (militant) : "Que le président sorte un peu"
Il faut dire que ce sera utile pour le président de sortir un peu. Il est temps qu’il entreprenne des tournées. Qu’il vienne nous donner de l’espoir, parce que le pays est un chaos total.
Réalisé par Diawara Samou
Photos : A. Mesmer
