Fréquenter régulièrement les centres de santé urbains du département de Soubré en vue de permettre leur développement. Telle est l'invitation qu'a lancée le mercredi 18 février dernier, lors de l'installation du comité de gestion (COGES) du centre de santé d'Oupoyo, le préfet Anon Léopold Florent aux populations de ladite localité.
D'entrée le sous-préfet de la ville, M. Kouadio Arnaud, a procédé à la lecture de l'arrêté n° 168/PS/CAB du 24 novembre 2008 portant création et organisation du comité de gestion du centre de santé, urbain d'Oupoyo.
A sa suite le directeur départemental de la Santé M. Koffi Lazare, a expliqué que le rôle du Coges reste la sensibilisation des populations sur l'existence de ce centre de santé urbain. Et d'ajouter que le budget dont 65 % sont reversés à l'Etat au centre de santé avec 200 F de consultation se fait sur fonds propre. “Vous êtes des bénévoles et non des surveillants. Ainsi l'argent collecteé après la vente des médicaments et celui des consultations permettra de développer notre centre”, a-t-il précisé.
Le préfet Anon Léopold Florent a surtout exhorté les populations à fréquenter les centres de santé plutôt que de se confier aux charlatans ou aux infirmeries clandestines . “Le combat que vous devez mener c'est le combat de la fréquentation du centre afin de générer des fonds pour son fonctionnement”, a t-il indiqué. Aussi, a-t-il invité les autochtones à mener des actions concertées avec les allogènes pour développer ladite structure.
Les populations, pour leur part, ont évoqué leurs préoccupations. Notamment, le manque qu'un comité d'exécution et d'une ambulance.
Robalé Symphorien
D'entrée le sous-préfet de la ville, M. Kouadio Arnaud, a procédé à la lecture de l'arrêté n° 168/PS/CAB du 24 novembre 2008 portant création et organisation du comité de gestion du centre de santé, urbain d'Oupoyo.
A sa suite le directeur départemental de la Santé M. Koffi Lazare, a expliqué que le rôle du Coges reste la sensibilisation des populations sur l'existence de ce centre de santé urbain. Et d'ajouter que le budget dont 65 % sont reversés à l'Etat au centre de santé avec 200 F de consultation se fait sur fonds propre. “Vous êtes des bénévoles et non des surveillants. Ainsi l'argent collecteé après la vente des médicaments et celui des consultations permettra de développer notre centre”, a-t-il précisé.
Le préfet Anon Léopold Florent a surtout exhorté les populations à fréquenter les centres de santé plutôt que de se confier aux charlatans ou aux infirmeries clandestines . “Le combat que vous devez mener c'est le combat de la fréquentation du centre afin de générer des fonds pour son fonctionnement”, a t-il indiqué. Aussi, a-t-il invité les autochtones à mener des actions concertées avec les allogènes pour développer ladite structure.
Les populations, pour leur part, ont évoqué leurs préoccupations. Notamment, le manque qu'un comité d'exécution et d'une ambulance.
Robalé Symphorien