Sidiki Bakaba n’est plus sociétaire du Burida
Une grosse perte pour le bureau ivoirien du droit d’auteur. L’acteur et réalisateur ivoirien le plus connu hors de nos frontières n’est plus l’un de ses sociétaires. Lundi matin, Sidiki Bakaba s’est rendu donc dans les locaux du Burida aux Deux-Plateau, pour y retirer ses œuvres, qu’il avait lui-même déposées, l’année dernière. « Je crains que cette structure ne tombe entre les mains des artistes. Il y a trop de règlements de comptes entre eux ici » a regretté celui qui est également directeur général du Palais de la culture. Au total, Sidiki Bakaba est reparti avec des films cultes comme « Bako, l’autre rive », « Le médecin de Gafiré », ou encore des pièces de théâtre monumentales comme « L’empereur Jones », « Maître Harold », « L’Homme sur le parapet du pont ». Ses œuvres, Sidiki Bakaba va les déposer à la Cinémathèque de Ouagadougou, où elles reposeront dans la quiétude loin des tumultes d’un Burida qui sera bientôt l’objet d’une lutte farouche pour sa conquête par les artistes.
Abengourou : Fête des ignames
Le Roi invite à la sauvegarde des us et coutumes
La tradition a été respectée. La fête des ignames dans le royaume N’Dénian (Indénié) a été célébrée, le vendredi 16 janvier dernier en présence du 17e Roi de l’Indénié, Nanan Boa Kouassi III. Une fête riche en couleurs qui a vu la participation de plusieurs autorités politiques, administratives et coutumières de la région et celle des chefs de canton de la région du Moyen Comoé. Après ce rituel, l’igname peut être officiellement consommée. Les danses traditionnelles du royaume ont tenu en halène l’assistance. Le roi, dans son message, a invité tous et chacun à veiller à la préservation de la culture et de la tradition.
Une grosse perte pour le bureau ivoirien du droit d’auteur. L’acteur et réalisateur ivoirien le plus connu hors de nos frontières n’est plus l’un de ses sociétaires. Lundi matin, Sidiki Bakaba s’est rendu donc dans les locaux du Burida aux Deux-Plateau, pour y retirer ses œuvres, qu’il avait lui-même déposées, l’année dernière. « Je crains que cette structure ne tombe entre les mains des artistes. Il y a trop de règlements de comptes entre eux ici » a regretté celui qui est également directeur général du Palais de la culture. Au total, Sidiki Bakaba est reparti avec des films cultes comme « Bako, l’autre rive », « Le médecin de Gafiré », ou encore des pièces de théâtre monumentales comme « L’empereur Jones », « Maître Harold », « L’Homme sur le parapet du pont ». Ses œuvres, Sidiki Bakaba va les déposer à la Cinémathèque de Ouagadougou, où elles reposeront dans la quiétude loin des tumultes d’un Burida qui sera bientôt l’objet d’une lutte farouche pour sa conquête par les artistes.
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La tradition a été respectée. La fête des ignames dans le royaume N’Dénian (Indénié) a été célébrée, le vendredi 16 janvier dernier en présence du 17e Roi de l’Indénié, Nanan Boa Kouassi III. Une fête riche en couleurs qui a vu la participation de plusieurs autorités politiques, administratives et coutumières de la région et celle des chefs de canton de la région du Moyen Comoé. Après ce rituel, l’igname peut être officiellement consommée. Les danses traditionnelles du royaume ont tenu en halène l’assistance. Le roi, dans son message, a invité tous et chacun à veiller à la préservation de la culture et de la tradition.
