Le Patriote : Vous êtes le Directeur de publication du quotidien "Notre heure", dans les kiosques à journaux. A quoi obéit la mise sur le marché de ce journal avec un tel titre ?
Lassina Kéita : Avec la mise sur le marché, nous venons apporter notre modeste contribution à la vie de la presse ivoirienne. Mais aussi, nous paraissons, dans le souci de pouvoir exercer le métier de journaliste qui est le nôtre. C’est un métier que nous pratiquons depuis un certain nombre d’années et qui a été interrompu un moment donné. Par la grâce de Dieu, nous reprenons le chemin du travail. La mise dans les kiosques de ce journal a aussi pour but, l’instinct de survie.
L.P : Généralement, l’opinion taxe les journaux d’être proche de tel parti politique ou tel autre courant idéologique. A quelle chapelle politique ou idéologie est adossé "Notre heure ?"
L.K: Nous sommes un journal indépendant, sans attache avec quelque formation politique que ce soit, avec aucun homme politique. Nous restons équidistants des partis politiques et nous donnons l’information constructive. Nous apportons des messages de paix qui rassemblent tous les Ivoiriens, sans parti pris. Nous avons reçu un financement de quelqu’un qui a bien voulu aider un groupe de jeunes issus du défunt quotidien "24Heures". Nous sommes, aussi un journal qui remplit toutes les formalités de la loi en vigueur sur la presse en Côte d’Ivoire.
L.P : Justement, à voir la graphie du journal et les signatures, on se rend compte que le journal, c’est "24Heures" bis.
L.K : "Notre heure" n’est pas "24Heures" bis. Effectivement, presque la totalité des rédacteurs sont issus de "24Heures" qui a été fermé depuis février 2008. Depuis lors, ces pères de familles sont restés sans emploi. Personne ne s’est soucié de leur sort, à l’exception de ce monsieur qui pense que nul n’a le droit d’être heureux seul et qui a décidé de nous donner la joie de retrouver du travail. Pour notre bonheur et celui de nos familles. Nous avons, tout de même, la bénédiction de M. Abdoulaye Sangaré, promoteur du défunt "24Heures", il nous a prodigué des conseils pour la réussite du projet.
Par Jean- Antoine Doudou
Lassina Kéita : Avec la mise sur le marché, nous venons apporter notre modeste contribution à la vie de la presse ivoirienne. Mais aussi, nous paraissons, dans le souci de pouvoir exercer le métier de journaliste qui est le nôtre. C’est un métier que nous pratiquons depuis un certain nombre d’années et qui a été interrompu un moment donné. Par la grâce de Dieu, nous reprenons le chemin du travail. La mise dans les kiosques de ce journal a aussi pour but, l’instinct de survie.
L.P : Généralement, l’opinion taxe les journaux d’être proche de tel parti politique ou tel autre courant idéologique. A quelle chapelle politique ou idéologie est adossé "Notre heure ?"
L.K: Nous sommes un journal indépendant, sans attache avec quelque formation politique que ce soit, avec aucun homme politique. Nous restons équidistants des partis politiques et nous donnons l’information constructive. Nous apportons des messages de paix qui rassemblent tous les Ivoiriens, sans parti pris. Nous avons reçu un financement de quelqu’un qui a bien voulu aider un groupe de jeunes issus du défunt quotidien "24Heures". Nous sommes, aussi un journal qui remplit toutes les formalités de la loi en vigueur sur la presse en Côte d’Ivoire.
L.P : Justement, à voir la graphie du journal et les signatures, on se rend compte que le journal, c’est "24Heures" bis.
L.K : "Notre heure" n’est pas "24Heures" bis. Effectivement, presque la totalité des rédacteurs sont issus de "24Heures" qui a été fermé depuis février 2008. Depuis lors, ces pères de familles sont restés sans emploi. Personne ne s’est soucié de leur sort, à l’exception de ce monsieur qui pense que nul n’a le droit d’être heureux seul et qui a décidé de nous donner la joie de retrouver du travail. Pour notre bonheur et celui de nos familles. Nous avons, tout de même, la bénédiction de M. Abdoulaye Sangaré, promoteur du défunt "24Heures", il nous a prodigué des conseils pour la réussite du projet.
Par Jean- Antoine Doudou