Très engagé aux côtés de Me Sombo Yapi, délégué départemental PDCI d'Alépé, Asseu Achi Armel, coordonnateur de la JPDCI, ne manque aucune occasion de cracher ses vérités quant à la présence continuelle du FPI au pouvoir. De retour d'une tournée, il parle encore.
M. le coordonnateur de la JPDCI d'Alépé, il nous revient que vous êtes actuellement sur le terrain. Pour quelles raisons ?
La JPDCI d'Alépé occupe le terrain pour entretenir les parents sur deux thèmes. La reconstitution des registres d'état civil et " la jeunesse du PDCI-RDA face aux élections prochaines "
Concernant le premier thème, quel est l'état des lieux ?
Nous avons déjà parcouru deux zones c'est-à-dire Grand Alépé et Ahoutué. Nous avons mis la jeunesse au travail pour qu'elle recense les militants et sympathisants qui sont concernés pour qu'avec l'appui du délégué, Me. Sombo, nous puissions faire en sorte qu'ils aient leur papier.
La situation est-elle alarmante à Alépé au niveau de la reconstitution des registres d'état civil ?
Je peux dire que de nombreuses personnes ne se retrouvent plus dans des registres.
Que doit-on comprendre par le deuxième thème ?
Il s'agit de faire en sorte qu'on ait conscience du changement qui doit s'opérer. Il faut que la jeunesse s'imprègne du fait que le parti au pouvoir ne veut pas aller aux élections. Il faut qu'elle se convainque que c'est la rue qui a mis Laurent Gbagbo au pouvoir et que c'est par la rue qu'il partira du pouvoir. Donc je demande à la jeunesse du PDCI de ne pas dormir. Et je demande également à toute la jeunesse de l'opposition de se réveiller pour ne pas qu'il soit trop tard pour nous. Notre avenir est concerné.
Vous ne croyez donc pas à la tenue des élections ?
Je n'y crois pas. Mais il faut être sur le terrain pour mobiliser les militants pour qu'ils soient en jambes. Gbagbo n'organisera pas les élections car il est sûr de perdre. Avec aussi un budget de 65 milliards, je ne crois pas qu'il veuille quitter le pouvoir. La seule manière de faire partir Gbagbo c'est de le chasser du pouvoir. La population est fatiguée, on ne peut pas continuer de regarder Laurent Gbagbo prendre le pays en otage. Son totem c'est les élections. Il n'a jamais voulu des élections notamment des élections transparentes.
Interview réalisée par
Diarrassouba Sory
M. le coordonnateur de la JPDCI d'Alépé, il nous revient que vous êtes actuellement sur le terrain. Pour quelles raisons ?
La JPDCI d'Alépé occupe le terrain pour entretenir les parents sur deux thèmes. La reconstitution des registres d'état civil et " la jeunesse du PDCI-RDA face aux élections prochaines "
Concernant le premier thème, quel est l'état des lieux ?
Nous avons déjà parcouru deux zones c'est-à-dire Grand Alépé et Ahoutué. Nous avons mis la jeunesse au travail pour qu'elle recense les militants et sympathisants qui sont concernés pour qu'avec l'appui du délégué, Me. Sombo, nous puissions faire en sorte qu'ils aient leur papier.
La situation est-elle alarmante à Alépé au niveau de la reconstitution des registres d'état civil ?
Je peux dire que de nombreuses personnes ne se retrouvent plus dans des registres.
Que doit-on comprendre par le deuxième thème ?
Il s'agit de faire en sorte qu'on ait conscience du changement qui doit s'opérer. Il faut que la jeunesse s'imprègne du fait que le parti au pouvoir ne veut pas aller aux élections. Il faut qu'elle se convainque que c'est la rue qui a mis Laurent Gbagbo au pouvoir et que c'est par la rue qu'il partira du pouvoir. Donc je demande à la jeunesse du PDCI de ne pas dormir. Et je demande également à toute la jeunesse de l'opposition de se réveiller pour ne pas qu'il soit trop tard pour nous. Notre avenir est concerné.
Vous ne croyez donc pas à la tenue des élections ?
Je n'y crois pas. Mais il faut être sur le terrain pour mobiliser les militants pour qu'ils soient en jambes. Gbagbo n'organisera pas les élections car il est sûr de perdre. Avec aussi un budget de 65 milliards, je ne crois pas qu'il veuille quitter le pouvoir. La seule manière de faire partir Gbagbo c'est de le chasser du pouvoir. La population est fatiguée, on ne peut pas continuer de regarder Laurent Gbagbo prendre le pays en otage. Son totem c'est les élections. Il n'a jamais voulu des élections notamment des élections transparentes.
Interview réalisée par
Diarrassouba Sory
