La cellule genre du ministère d’Etat, ministère du Plan et du Développement a organisé, mercredi, une matinée d’échanges sur le genre et le développement.
A l’intention de ses agents. Ce, avec les appuis techniques et financiers du Fonds des Nations unies pour la femme (Unifem), du ministère de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales, à travers la direction de l’égalité et de promotion du genre. C’était à l’Immeuble Selam, au Plateau.
Cette matinée, au dire de la coordinatrice, Mme Bosso Yvonne, vise à « améliorer la compréhension des décideurs dudit ministère sur les concepts du genre en rapport avec la planification du développement ». Selon elle, devant la persistance des disparités économiques, politiques et culturelles entre hommes et femmes, riches et pauvres, le gouvernement ivoirien a décidé d’adopter une approche basée sur le genre dans le souci d’œuvrer pour une justice sociale. Cette volonté d’instruire ses membres résulte de l’insuffisance de formation en genre et de l’absence d’outils d’analyse susceptibles de permettre aux décideurs de ce ministère de jouer pleinement leur rôle, a-t-elle dit.
Selon Mme Koné Soukoulé, chef de cabinet et représentant le ministre de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales, les planificateurs doivent intégrer la dimension genre dans les projets de développement.
Pour Mme Soro Natogoma, sous-directrice de la direction de l’égalité et promotion du genre, « le genre est un outil essentiel dans le développement durable, dont les planificateurs doivent s’approprier ».
Grâce Ouattara
A l’intention de ses agents. Ce, avec les appuis techniques et financiers du Fonds des Nations unies pour la femme (Unifem), du ministère de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales, à travers la direction de l’égalité et de promotion du genre. C’était à l’Immeuble Selam, au Plateau.
Cette matinée, au dire de la coordinatrice, Mme Bosso Yvonne, vise à « améliorer la compréhension des décideurs dudit ministère sur les concepts du genre en rapport avec la planification du développement ». Selon elle, devant la persistance des disparités économiques, politiques et culturelles entre hommes et femmes, riches et pauvres, le gouvernement ivoirien a décidé d’adopter une approche basée sur le genre dans le souci d’œuvrer pour une justice sociale. Cette volonté d’instruire ses membres résulte de l’insuffisance de formation en genre et de l’absence d’outils d’analyse susceptibles de permettre aux décideurs de ce ministère de jouer pleinement leur rôle, a-t-elle dit.
Selon Mme Koné Soukoulé, chef de cabinet et représentant le ministre de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales, les planificateurs doivent intégrer la dimension genre dans les projets de développement.
Pour Mme Soro Natogoma, sous-directrice de la direction de l’égalité et promotion du genre, « le genre est un outil essentiel dans le développement durable, dont les planificateurs doivent s’approprier ».
Grâce Ouattara