Regrettez-vous le report des passations de charges qui devaient avoir lieu entre vous et les préfets ce matin ?
Nous le regrettons sincèrement. Parce que vous voyez, nous avons envie d’avancer. C’est dommage que le ministère de l’Intérieur bloque cette opération.
La question de la sécurité des préfets devant être l’affaire du Centre de commandement intégré (Cci) ou encore des gendarmes et policiers Fds a-t-elle été mise en avant pour justifier un tel report ?
C’est dommage qu’on me dise cela. Je ne vois pas le problème. Cela fait trois ans que les préfets ont servi ici sans nos frères gendarmes et policiers du Sud. Pourtant nous avons assuré leur sécurité. Dire qu’il faut que les gendarmes et la police soient là pour qu’on puisse faire la passation des charges, c’est douter de notre compétence. Ça, c’est nous insulter.
Mais s’il advenait quelque chose pour ce qui est de la sécurité des préfets qui sont dans les zones Cno, que feriez-vous en tant qu’autorité militaire ?
Nous avons toujours agi auprès du préfet quand il nous sollicite. Il nous a très souvent réquisitionné pour la sécurité. Nous avons toujours travaillé avec nos frères d’armes des Fds sans problème. Je ne vois donc pas le problème. Il y a eu des frères d’armes qui sont venus pour l’enrôlement, j’ai fait des missions avec mon frère Boniface Konan à l’Ouest de la Côte d’Ivoire puis dans l’ex-zone de confiance. Nous avons installé des troupes dans ces zones. Il n’y a donc pas de problème. Je ne vois pas pourquoi on peut poser un préalable en disant qu’il faut que les policiers et les gendarmes soient là pour que la passation des charges ait lieu. Je trouve cela regrettable.
Espérez-vous que cela puisse se dérouler incessamment ?
En Côte d’Ivoire, nous sommes murs. Quand nous allons entrer dans les laboratoires, nous allons nous parler et trouver une solution très rapidement à cette question.
Tous les commandants de zone sont-il prêts à aller à cette passation ?
Vous avez vu vous-même que tout le monde était là. Tout le monde est prêt. Nous sommes prêts à suivre notre secrétaire général, Premier ministre sans le contredire quelque part.
Propos retranscrit par Allah Kouamé à Bouaké
Nous le regrettons sincèrement. Parce que vous voyez, nous avons envie d’avancer. C’est dommage que le ministère de l’Intérieur bloque cette opération.
La question de la sécurité des préfets devant être l’affaire du Centre de commandement intégré (Cci) ou encore des gendarmes et policiers Fds a-t-elle été mise en avant pour justifier un tel report ?
C’est dommage qu’on me dise cela. Je ne vois pas le problème. Cela fait trois ans que les préfets ont servi ici sans nos frères gendarmes et policiers du Sud. Pourtant nous avons assuré leur sécurité. Dire qu’il faut que les gendarmes et la police soient là pour qu’on puisse faire la passation des charges, c’est douter de notre compétence. Ça, c’est nous insulter.
Mais s’il advenait quelque chose pour ce qui est de la sécurité des préfets qui sont dans les zones Cno, que feriez-vous en tant qu’autorité militaire ?
Nous avons toujours agi auprès du préfet quand il nous sollicite. Il nous a très souvent réquisitionné pour la sécurité. Nous avons toujours travaillé avec nos frères d’armes des Fds sans problème. Je ne vois donc pas le problème. Il y a eu des frères d’armes qui sont venus pour l’enrôlement, j’ai fait des missions avec mon frère Boniface Konan à l’Ouest de la Côte d’Ivoire puis dans l’ex-zone de confiance. Nous avons installé des troupes dans ces zones. Il n’y a donc pas de problème. Je ne vois pas pourquoi on peut poser un préalable en disant qu’il faut que les policiers et les gendarmes soient là pour que la passation des charges ait lieu. Je trouve cela regrettable.
Espérez-vous que cela puisse se dérouler incessamment ?
En Côte d’Ivoire, nous sommes murs. Quand nous allons entrer dans les laboratoires, nous allons nous parler et trouver une solution très rapidement à cette question.
Tous les commandants de zone sont-il prêts à aller à cette passation ?
Vous avez vu vous-même que tout le monde était là. Tout le monde est prêt. Nous sommes prêts à suivre notre secrétaire général, Premier ministre sans le contredire quelque part.
Propos retranscrit par Allah Kouamé à Bouaké