La cour de la mairie d’Adjamé était dans une ambiance particulière, le samedi 7 mars dernier. Militants et sympathisants du Rassemblement des républicains (RDR) sont sortis nombreux, pour manifester leur engagement sans faille auprès du Dr Alassane Dramane Ouattara. C’était à l’occasion de la rentrée politique du Rassemblement des jeunes républicains (RJR) du district d’Adjamé mairie. Une cérémonie parrainée par le ministre Hamed Bakayoko, Directeur national de campagne du Dr Alassane Dramane Ouattara, chargé de la Jeunesse. A cette occasion, le ministre Bakayoko a exhorté les populations de la commune d’Adjamé à travailler, main dans la main, pour la victoire du Dr Alassane Dramane Ouattara. Car, a souligné le DNC d’ADO chargé de la Jeunesse, seul le président et candidat du RDR à la prochaine présidentielle peut sortir la Côte d’Ivoire et les ivoiriens de la souffrance dans laquelle ils sont plongés depuis quelques années.
Pour le ministre des NTIC, le vrai problème aujourd’hui en Côte d’Ivoire, ce n’est pas que tel soit de telle région ou de telle religion. «Notre problème aujourd’hui, c’est que les Ivoiriens souffrent, ils ont faim», a-t-il regretté. Avant d’insister que seul le Dr Alassane Dramane Ouattara pourra, de par son expertise, faire arrêter la souffrance de ses concitoyens. «La Côte d’Ivoire souffre. Et seul ADO peut arrêter l’hémorragie», a insisté le ministre Hamed Bakayoko.
Avant lui et ouvrant la série des allocations, le président du comité d’organisation, Souleymane Sanogo et le porte-parole des jeunes du District RJR d’Adjamé mairie, Vamara Coulibaly, ont situé les enjeux de cette cérémonie de rentrée politique. «Après avoir mené à bien l’opération d’identification et l’enrôlement dans les six lieux de vote que compte notre district, (…) nous préparons à court terme la stratégie pour suivre l’affichage des listes provisoires et la distribution des cartes d’électeurs et des cartes nationales d’identité. Et à long terme, nous pensons au recrutement et à la formation de nos représentants dans les bureaux de vote», a exposé le porte-parole des jeunes du district d’Adjamé mairie et de la section Mirador Harris. Avant de poursuivre que tous ces projets s’inscrivent dans la droite ligne du slogan «la victoire d’ADO au premier tour de l’élection présidentielle». Quant au Directeur départemental de campagne d’ADO dans la commune d’Adjamé, Abdoulaye Sidibé et le président départemental RJR, Salif Ouattara, tous deux ont appelé les militants à la cohésion. «Le défi que nous aurons à relever sera de transformer notre majorité militante en une majorité élective. Et c’est seulement ensemble, tous les fils et filles d’Adjamé réunis, que nous serons davantage fort pour relever ce défi», ont-ils exhorté. Le maire Youssouf Sylla, pour sa part, s’est interrogé sur une nouvelle stratégie de fraude que préparerait le FPI. «Ces militants du parti au pouvoir sont en train de prendre les photocopies des pièces de nos parents en promettant leur donner entre 50 à 100.000 francs CFA», a prévenu le maire de la commune d’Adjamé, par ailleurs directeur régional de campagne d’ADO pour les communes d’Adjamé et Attécoubé.
Quant au président national du RJR, Karamoko Yayoro qui est aussi l’adjoint du ministre Hamed Bakayoko dans le cadre de la campagne, il a d’abord souligné que contrairement à ce qu’il fait croire, le FPI n’est pas un parti socialiste. «Ils ont promis le partage équitable des richesses du pays. Mais aujourd’hui, nous assistons à l’enrichissement illicite d’une minorité, au détriment de la grande majorité», a déploré le premier des grenadiers voltigeurs.
Diawara Samou
Pour le ministre des NTIC, le vrai problème aujourd’hui en Côte d’Ivoire, ce n’est pas que tel soit de telle région ou de telle religion. «Notre problème aujourd’hui, c’est que les Ivoiriens souffrent, ils ont faim», a-t-il regretté. Avant d’insister que seul le Dr Alassane Dramane Ouattara pourra, de par son expertise, faire arrêter la souffrance de ses concitoyens. «La Côte d’Ivoire souffre. Et seul ADO peut arrêter l’hémorragie», a insisté le ministre Hamed Bakayoko.
Avant lui et ouvrant la série des allocations, le président du comité d’organisation, Souleymane Sanogo et le porte-parole des jeunes du District RJR d’Adjamé mairie, Vamara Coulibaly, ont situé les enjeux de cette cérémonie de rentrée politique. «Après avoir mené à bien l’opération d’identification et l’enrôlement dans les six lieux de vote que compte notre district, (…) nous préparons à court terme la stratégie pour suivre l’affichage des listes provisoires et la distribution des cartes d’électeurs et des cartes nationales d’identité. Et à long terme, nous pensons au recrutement et à la formation de nos représentants dans les bureaux de vote», a exposé le porte-parole des jeunes du district d’Adjamé mairie et de la section Mirador Harris. Avant de poursuivre que tous ces projets s’inscrivent dans la droite ligne du slogan «la victoire d’ADO au premier tour de l’élection présidentielle». Quant au Directeur départemental de campagne d’ADO dans la commune d’Adjamé, Abdoulaye Sidibé et le président départemental RJR, Salif Ouattara, tous deux ont appelé les militants à la cohésion. «Le défi que nous aurons à relever sera de transformer notre majorité militante en une majorité élective. Et c’est seulement ensemble, tous les fils et filles d’Adjamé réunis, que nous serons davantage fort pour relever ce défi», ont-ils exhorté. Le maire Youssouf Sylla, pour sa part, s’est interrogé sur une nouvelle stratégie de fraude que préparerait le FPI. «Ces militants du parti au pouvoir sont en train de prendre les photocopies des pièces de nos parents en promettant leur donner entre 50 à 100.000 francs CFA», a prévenu le maire de la commune d’Adjamé, par ailleurs directeur régional de campagne d’ADO pour les communes d’Adjamé et Attécoubé.
Quant au président national du RJR, Karamoko Yayoro qui est aussi l’adjoint du ministre Hamed Bakayoko dans le cadre de la campagne, il a d’abord souligné que contrairement à ce qu’il fait croire, le FPI n’est pas un parti socialiste. «Ils ont promis le partage équitable des richesses du pays. Mais aujourd’hui, nous assistons à l’enrichissement illicite d’une minorité, au détriment de la grande majorité», a déploré le premier des grenadiers voltigeurs.
Diawara Samou
