STM
Que deviens-tu ?
Nadège : je vis en Italie depuis 2005, après un séjour en Suive
STM : Alors, ça se passe bien ?
N : Tout va bien. Je remercie le bon Dieu qui m’a donné mon fils Yane Yoli né en Côte d’Ivoire le 19 octobre 2005.
STM : Tu as donc quelqu’un dans ta vie ?
N : Effectivement Mon compagnon a pour nom Abré Claude. Il est Ivoirien et nous vivons sous le même toit depuis 2005. Notre mariage sera célébré à Abidjan, dès que nous en aurons fini avec la paperasse.
STM : Comment le trouves-Tu ?
N : C’est un homme gentil adorable, compréhensible sur tous les plans (rires).
STM : Tes anciens gars seront jaloux à Abidjan ?
N : Mes anciens gars ? (Rire). Non, je n’ai pas d’anciens gars. Dans tous les cas, ils n’ont pas à être jaloux. C’est Dieu qui a fait mon choix, c’est toujours comme cela dans la vie.
STM : Que deviennent les ‘’Tueuses du Mapouka’’ ?
N ; ça va bien. Je te rappelle que ce n’est plus ‘’ les Tueuses du Mapouka’’ mais les ‘’Tueuses’’ tout court. Tous simplement parce que dans le temps c’est cette danse qui était à la mode. Aujourd’hui, les Tueuses font de la variété. Avant même de quitter le pays, notre dernière œuvre portait les couleurs du coupé –décalé, en partie, elle était intitulée ‘’ Quand il pleut à Paris, Abidjan est mouillé’’.
STM : Et le Mapouka dans tout ça ?
N : Le Mapouka est toujours le Mapouka, c’est de la musique ivoirienne. C’est à travers ça que les Ivoiriens nous connaissent, donc rien ne nous empêche, un jour, de revenir, ou du moins d’en faire quelques morceaux sur nos futures productions.
STM : ça veut dire qu’il y a un album en studio?
N : Pas encore, mais nous y pensons. Dans le prochain album qui va sortir, nous allons si possible, créer notre propre concept, en plus des sonorités du moment. Je n’en dis pas plus.
STM : Comment vois tu le niveau de la musique ivoirienne ?
N : Le niveau est bon, il est même flatteur. Vous savez, nous qui vivons hors du pays, nous sommes bien placées pour apprécier l’évolution de notre musique d’hier à aujourd’hui. C’est une musique qui fait énormément danser. Petit- à -petit nous avons conquis les autres nations d’Afrique. Même nos ‘’ maîtres’’ d’hier, je veux parler des Congolais, ils font du Mapouka et du Coupé –décalé. Je crois que c’est une fierté pour la culture ivoirienne.
STM : Peux-tu nous rappeler le parcours musical des Tueuses ?
N : Notre premier album ’’ Ahou’’ est sorti en 1999. Le deuxième ‘’ Fatoufa’’ en 2002, le troisième ‘’ Mamie Yaki’’ en 2004 et la quatrième, un remix coupé – décalé, en 2005.
STM : Tes projets ?
N : J’ai plusieurs compositions de disponible. J’attends de m’accorder avec les autres membres du groupe, pour décider de la conduite à tenir.
STM : justement, et les autres filles, que deviennent-elles ?
N : Nous sommes ensemble ici, Sauf Ange ‘’ La Folle’’ qui vit à Paris.
STM : Avez –vous des nouvelles de John Chahin ?
N : Bien sûr, nous nous appelons régulièrement. C’est notre papa, c’est grâce à lui que nous sommes ce que nous sommes aujourd’hui.
STM : As-tu un message pour tes proches au pays ?
N : Oui, un coucou à mon fils resté au pays, à John Chahin, à David Tayauraut et à tous nos fans. On se ‘’ redjora’’ (NDLR : on se retrouvera). Pardon, j’oubliais la RTI que je tiens remercier de tout mon cœur ; ainsi que toutes les radios à Abidjan, pour tout ce qu’ils ont fait pour nous. Nous serons là bientôt avec un nouvel album tout est entre les mains de Dieu.
STM : Un dernier mot ?
N : Je voudrais terminer en disant que j’adore mon pays la Côte d’Ivoire. Quelque soit ce qui s’y passe, c’est notre pays, je suis fière de mon pays. Bizou et bon courage à tous mes frères ivoiriens.
Que deviens-tu ?
Nadège : je vis en Italie depuis 2005, après un séjour en Suive
STM : Alors, ça se passe bien ?
N : Tout va bien. Je remercie le bon Dieu qui m’a donné mon fils Yane Yoli né en Côte d’Ivoire le 19 octobre 2005.
STM : Tu as donc quelqu’un dans ta vie ?
N : Effectivement Mon compagnon a pour nom Abré Claude. Il est Ivoirien et nous vivons sous le même toit depuis 2005. Notre mariage sera célébré à Abidjan, dès que nous en aurons fini avec la paperasse.
STM : Comment le trouves-Tu ?
N : C’est un homme gentil adorable, compréhensible sur tous les plans (rires).
STM : Tes anciens gars seront jaloux à Abidjan ?
N : Mes anciens gars ? (Rire). Non, je n’ai pas d’anciens gars. Dans tous les cas, ils n’ont pas à être jaloux. C’est Dieu qui a fait mon choix, c’est toujours comme cela dans la vie.
STM : Que deviennent les ‘’Tueuses du Mapouka’’ ?
N ; ça va bien. Je te rappelle que ce n’est plus ‘’ les Tueuses du Mapouka’’ mais les ‘’Tueuses’’ tout court. Tous simplement parce que dans le temps c’est cette danse qui était à la mode. Aujourd’hui, les Tueuses font de la variété. Avant même de quitter le pays, notre dernière œuvre portait les couleurs du coupé –décalé, en partie, elle était intitulée ‘’ Quand il pleut à Paris, Abidjan est mouillé’’.
STM : Et le Mapouka dans tout ça ?
N : Le Mapouka est toujours le Mapouka, c’est de la musique ivoirienne. C’est à travers ça que les Ivoiriens nous connaissent, donc rien ne nous empêche, un jour, de revenir, ou du moins d’en faire quelques morceaux sur nos futures productions.
STM : ça veut dire qu’il y a un album en studio?
N : Pas encore, mais nous y pensons. Dans le prochain album qui va sortir, nous allons si possible, créer notre propre concept, en plus des sonorités du moment. Je n’en dis pas plus.
STM : Comment vois tu le niveau de la musique ivoirienne ?
N : Le niveau est bon, il est même flatteur. Vous savez, nous qui vivons hors du pays, nous sommes bien placées pour apprécier l’évolution de notre musique d’hier à aujourd’hui. C’est une musique qui fait énormément danser. Petit- à -petit nous avons conquis les autres nations d’Afrique. Même nos ‘’ maîtres’’ d’hier, je veux parler des Congolais, ils font du Mapouka et du Coupé –décalé. Je crois que c’est une fierté pour la culture ivoirienne.
STM : Peux-tu nous rappeler le parcours musical des Tueuses ?
N : Notre premier album ’’ Ahou’’ est sorti en 1999. Le deuxième ‘’ Fatoufa’’ en 2002, le troisième ‘’ Mamie Yaki’’ en 2004 et la quatrième, un remix coupé – décalé, en 2005.
STM : Tes projets ?
N : J’ai plusieurs compositions de disponible. J’attends de m’accorder avec les autres membres du groupe, pour décider de la conduite à tenir.
STM : justement, et les autres filles, que deviennent-elles ?
N : Nous sommes ensemble ici, Sauf Ange ‘’ La Folle’’ qui vit à Paris.
STM : Avez –vous des nouvelles de John Chahin ?
N : Bien sûr, nous nous appelons régulièrement. C’est notre papa, c’est grâce à lui que nous sommes ce que nous sommes aujourd’hui.
STM : As-tu un message pour tes proches au pays ?
N : Oui, un coucou à mon fils resté au pays, à John Chahin, à David Tayauraut et à tous nos fans. On se ‘’ redjora’’ (NDLR : on se retrouvera). Pardon, j’oubliais la RTI que je tiens remercier de tout mon cœur ; ainsi que toutes les radios à Abidjan, pour tout ce qu’ils ont fait pour nous. Nous serons là bientôt avec un nouvel album tout est entre les mains de Dieu.
STM : Un dernier mot ?
N : Je voudrais terminer en disant que j’adore mon pays la Côte d’Ivoire. Quelque soit ce qui s’y passe, c’est notre pays, je suis fière de mon pays. Bizou et bon courage à tous mes frères ivoiriens.