SMT : Que devient Victorine ?
Victorine : Je suis là, tout va bien. Je suis fiancée à un Ivoirien, Kader Keïta. Pas le footballeur (rire).
STM : Ah bon ?
V : C’est aussi un sportif, mais un boxeur professionnel à Cremona, à une heure de voiture de Milan.
STM : Que fais –tu ?
V : Je travaille. Le boulot est un peu stoppé mais, on s’occupe comme on peut.
STM : Tes souvenirs d’Abidjan ?
V : Ce sont des souvenirs irremplaçables. Je ne peux pas oublier mes fans et surtout celui qui a fait de mois ce que je suis aujourd’hui, je veux parler de John Chahin.
STM : le Mapouka dans tout ça ?
V : Ah le Mapouka ! C’était une période de notre vie. Je pense que cette étape fait partie de moi-même, fait partie de notre histoire à nous et même de l’histoire culturelle de notre pays. On dira dans cinquante ans, ou dans cent ans que quelque part, un petit groupe ‘’ Les Tueuses’’ avait existé. C’est ça l’histoire. Non, je suis très heureuse d’évoquer ces moments de grand show à Abidjan.
STM : Que sais-tu du Coupé –décalé ?
V : Le Coupé -écalé est désormais le patrimoine de tous les Ivoiriens. Nous aussi, nous en avons fait en 2005 avant de partir du pays. Je crois qu’un artiste doit s’adapter à tous les courants musicaux, il faut s’adapter à tout.
STM : Quelques noms de DJ ?
V : Je n’ai pas de noms précis, mais il faut dire que les DJ viennent jouer ici, dans les boîtes, dans le milieu black. La musique ivoirienne est très appréciée ici, surtout le Coupé décalé.
STM : Des projets ?
V : Ce sont des projets d’ensembles. Le groupe a des projets. Pour le moment, chacune est dans son foyer et au moment opportun, nous allons dévoiler nos batteries (rires). Ce qui est sûr, c’est de commun accord que nous avons décidé de reprendre le micro. Et nous nous préparons à ce grand retour, soyez patients.
STM : Parle-nous de l’image de la Côte d’Ivoire ?
V : Sincèrement, pour moi, il n’y a rien d’alarmant au pays. Tous ceux qui reviennent de la Côte d’Ivoire disent que le pays est encore plus chaud qu’avant. Les maquis, l’ambiance, tout est au top, malgré la crise.
STM : Peut-être l’exception ivoirienne ?
V : Tout à fait. C’est pourquoi, je prie nuit et jour, pour mes frères et sœurs, pour mon pays, pour ses dirigeants afin que ce qui est arrivé ne reproduise plus. Car une chose est de connaître une crise, comme dans n’importe quel pays, Libéria, Angola, Congo, Zimbabwe, et hier en Guinée Conakry, Guinée Biseau ou à Madagascar. Mais le plus important, c’est comment sortir de cette crise, et je trouve que mon pays s’en sort plutôt bien. Je demande à mes compatriotes de se serrer les coudes, ça ira, Dieu ne laissera jamais tomber la Côte d’Ivoire.
STM : Un grand discours hein ! Victorine a changé ?
V : Oui, j’ai changé. Je ne bois plus, je ne fume plus, je suis devenue chrétienne, je me consacre à Dieu.
STM : Un message ?
V : Je salue ma famille, du côté des Deux Plateaux, mes fans et tous mes amis au pays.
STM : A quand ton retour en famille ?
V : Pour très bientôt, sans avancer de date, car comme on le dit, l’homme propose et Dieu dispose.
Victorine : Je suis là, tout va bien. Je suis fiancée à un Ivoirien, Kader Keïta. Pas le footballeur (rire).
STM : Ah bon ?
V : C’est aussi un sportif, mais un boxeur professionnel à Cremona, à une heure de voiture de Milan.
STM : Que fais –tu ?
V : Je travaille. Le boulot est un peu stoppé mais, on s’occupe comme on peut.
STM : Tes souvenirs d’Abidjan ?
V : Ce sont des souvenirs irremplaçables. Je ne peux pas oublier mes fans et surtout celui qui a fait de mois ce que je suis aujourd’hui, je veux parler de John Chahin.
STM : le Mapouka dans tout ça ?
V : Ah le Mapouka ! C’était une période de notre vie. Je pense que cette étape fait partie de moi-même, fait partie de notre histoire à nous et même de l’histoire culturelle de notre pays. On dira dans cinquante ans, ou dans cent ans que quelque part, un petit groupe ‘’ Les Tueuses’’ avait existé. C’est ça l’histoire. Non, je suis très heureuse d’évoquer ces moments de grand show à Abidjan.
STM : Que sais-tu du Coupé –décalé ?
V : Le Coupé -écalé est désormais le patrimoine de tous les Ivoiriens. Nous aussi, nous en avons fait en 2005 avant de partir du pays. Je crois qu’un artiste doit s’adapter à tous les courants musicaux, il faut s’adapter à tout.
STM : Quelques noms de DJ ?
V : Je n’ai pas de noms précis, mais il faut dire que les DJ viennent jouer ici, dans les boîtes, dans le milieu black. La musique ivoirienne est très appréciée ici, surtout le Coupé décalé.
STM : Des projets ?
V : Ce sont des projets d’ensembles. Le groupe a des projets. Pour le moment, chacune est dans son foyer et au moment opportun, nous allons dévoiler nos batteries (rires). Ce qui est sûr, c’est de commun accord que nous avons décidé de reprendre le micro. Et nous nous préparons à ce grand retour, soyez patients.
STM : Parle-nous de l’image de la Côte d’Ivoire ?
V : Sincèrement, pour moi, il n’y a rien d’alarmant au pays. Tous ceux qui reviennent de la Côte d’Ivoire disent que le pays est encore plus chaud qu’avant. Les maquis, l’ambiance, tout est au top, malgré la crise.
STM : Peut-être l’exception ivoirienne ?
V : Tout à fait. C’est pourquoi, je prie nuit et jour, pour mes frères et sœurs, pour mon pays, pour ses dirigeants afin que ce qui est arrivé ne reproduise plus. Car une chose est de connaître une crise, comme dans n’importe quel pays, Libéria, Angola, Congo, Zimbabwe, et hier en Guinée Conakry, Guinée Biseau ou à Madagascar. Mais le plus important, c’est comment sortir de cette crise, et je trouve que mon pays s’en sort plutôt bien. Je demande à mes compatriotes de se serrer les coudes, ça ira, Dieu ne laissera jamais tomber la Côte d’Ivoire.
STM : Un grand discours hein ! Victorine a changé ?
V : Oui, j’ai changé. Je ne bois plus, je ne fume plus, je suis devenue chrétienne, je me consacre à Dieu.
STM : Un message ?
V : Je salue ma famille, du côté des Deux Plateaux, mes fans et tous mes amis au pays.
STM : A quand ton retour en famille ?
V : Pour très bientôt, sans avancer de date, car comme on le dit, l’homme propose et Dieu dispose.