Le PDCI a été le seul parti politique significatif à ne pas présenter ses condoléances au Premier ministre Affi N’Guessan. Ni pendant les journées de présentation officielle des condoléances, ni lors de la cérémonie d’inhumation qui a drainé tant de monde dans le petit village d’Akakro.
Cette curieuse option tranche violemment avec les pratiques connues en Côte d’Ivoire. En effet, les différends politiques n’ont jamais été un frein à la présentation de compassion en cas de décès. On a vu les Ivoiriens se mobiliser quand le président Gbagbo avait perdu son père. Idem lorsque M. Alassane Dramane Ouattara avait perdu sa mère. Ce fut la même chose lors du décès de l’époux de Mme Diabaté, Secrétaire général du RDR.
Plus que tout, les Ivoiriens se souviennent que le Premier ministre Affi N’Guessan s’est rendu à Prépressou, village natal du président Bédié, lors du décès de son frère. A cette occasion, tous les Ivoiriens, toutes tendances politiques confondues avaient soutenu Bédié dans sa douleur.
On ne comprend donc pas le silence et l’absence du PDCI aujourd’hui. Certes, ce défaut n’a en rien du tout, entaché le bon déroulement de la cérémonie et la “vieille a été enterrée” dans la dignité. Mais il reste que certains Ivoiriens s’expliquent désormais difficilement cette attitude. Dommage !
P.D.T.
Cette curieuse option tranche violemment avec les pratiques connues en Côte d’Ivoire. En effet, les différends politiques n’ont jamais été un frein à la présentation de compassion en cas de décès. On a vu les Ivoiriens se mobiliser quand le président Gbagbo avait perdu son père. Idem lorsque M. Alassane Dramane Ouattara avait perdu sa mère. Ce fut la même chose lors du décès de l’époux de Mme Diabaté, Secrétaire général du RDR.
Plus que tout, les Ivoiriens se souviennent que le Premier ministre Affi N’Guessan s’est rendu à Prépressou, village natal du président Bédié, lors du décès de son frère. A cette occasion, tous les Ivoiriens, toutes tendances politiques confondues avaient soutenu Bédié dans sa douleur.
On ne comprend donc pas le silence et l’absence du PDCI aujourd’hui. Certes, ce défaut n’a en rien du tout, entaché le bon déroulement de la cérémonie et la “vieille a été enterrée” dans la dignité. Mais il reste que certains Ivoiriens s’expliquent désormais difficilement cette attitude. Dommage !
P.D.T.
