C’est demain que s’ouvrira le Salon international des transports en Afrique de l’ouest (Sitrao), à Bamako au Mali. Cet événement, présenté comme majeur, est une initiative du gouvernement malien à travers le ministère de l’Equipement et des Transports. Qui l’organise en partenariat avec l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa). La Côte d’Ivoire, avec pour chef de file le Port autonome d’Abidjan, principal sponsor de la manifestation, y est fortement représentée. On note entre autres le Port autonome de San Pedro, le groupe Bolloré, Simat, Geodis Côte d’Ivoire. Comme pour toutes les opportunités de promotion commerciale, la direction générale du Port autonome d’Abidjan a mis le paquet pour rayonner sur la manifestation avec pour seul objectif : vendre non seulement le port, mais aussi la Côte d’Ivoire à travers son économie. C’est une forte délégation conduite par le directeur général Marcel Gossio qui a fait le déplacement de la capitale malienne. C’est clair, il va s’agir pour les responsables et agents de poursuivre la sensibilisation des opérateurs économiques de la sous-région en vue de les inviter à travailler avec les ports ivoiriens, malgré les écueils qu’ils pourraient rencontrer. A ce sujet, l’Office ivoirien des chargeurs (OIC) y est présent à travers son directeur général pour rassurer les uns et les autres sur les dispositions que la Côte d’Ivoire entend prendre pour faciliter le franchissement du corridor ivoirien.
Cette édition, la première selon les organisateurs, est «l’occasion d’un dialogue entre professionnels des transports, administrations et organisations sous-régionales, sur la situation du secteur des transports, les enjeux et les perspectives de son développement».
Pendant quatre jours (du 12 au 15 mars), le Centre international de conférences de Bamako, théâtre de l’événement, va être le vecteur des relations entre les professionnels des transports, les banques, les partenaires au développement, les industriels, ...
Pour le ministre malien des Transports et de l’Equipement, Ahmed Diané Séméga, l’organisation du Sitrao «constitue une étape importante pour le renouveau des services et des modes de transports dans la sous-région». Ce sera, ajoute-t-il, l’occasion pour les participants «d’accéder aux informations essentielles, en particulier sur les initiatives récentes au sein de l’espace Uemoa afin de favoriser le lancement de nouveaux projets dans le secteur des transports».
Alakagni Hala
Envoyé spécial à Bamako
Cette édition, la première selon les organisateurs, est «l’occasion d’un dialogue entre professionnels des transports, administrations et organisations sous-régionales, sur la situation du secteur des transports, les enjeux et les perspectives de son développement».
Pendant quatre jours (du 12 au 15 mars), le Centre international de conférences de Bamako, théâtre de l’événement, va être le vecteur des relations entre les professionnels des transports, les banques, les partenaires au développement, les industriels, ...
Pour le ministre malien des Transports et de l’Equipement, Ahmed Diané Séméga, l’organisation du Sitrao «constitue une étape importante pour le renouveau des services et des modes de transports dans la sous-région». Ce sera, ajoute-t-il, l’occasion pour les participants «d’accéder aux informations essentielles, en particulier sur les initiatives récentes au sein de l’espace Uemoa afin de favoriser le lancement de nouveaux projets dans le secteur des transports».
Alakagni Hala
Envoyé spécial à Bamako
