Ancien délégué du Pdci de France, M. Boni Kouamé Séraphin fait partie de ceux qu’on appelle les « disciples » d’Henri Konan Bédié. Pour avoir partagé l’intimité de N’zuéba pendant ses 22 mois d’exil dans l’Hexagone, M. Boni Séraphin a décidé d’écrire un ouvrage sur ce passage douloureux de l’histoire du « sphinx » de Daoukro.
Art et Culture Publié le mercredi 11 mars 2009 | L’intelligent d’Abidjan