Depuis 2001, à l’occasion de la célébration du 31e anniversaire de la Jamahiriya libyenne à Tripoli, la mythique formation chorégraphique d’Issia, le Hahizé club, n’avait plus honoré d’engagement à l’extérieur de la Côte d’Ivoire.
A l’occasion de la 52e édition du Festival de Confolens (Charente Maritime, France), l’ensemble artistique traditionnel ivoirien y représentera le continent africain. Confolens est la capitale mondiale du folklore et le berceau du Conseil international des organisations de festivals de folklore et d’arts traditionnels (Cioff), créé en 1970, et affilié à l’Unesco. Il revendique 300 festivals de 90 pays à travers le monde. La section ivoirienne du Cioff est dirigée par Mme Alexise Gogoua, présidente fondatrice de Hahizé club.
Du 10 au 16 août, donc, le groupe y présentera sa dernière création chorégraphique, «Glowgbô» (La vie au village ), un condensé d’évènements rituels et profanes, ainsi que de faits de société des peuples de Côte d’Ivoire, de l’aire bété, notamment. L’information a été donnée, récemment, à Yopougon, à l’occasion d’une séance de répétition supervisée par le délégué Afrique du Festival.
Créée en 1976, la troupe d’une trentaine de danseurs, chanteurs, percussionnistes, chorégraphes (à grande majorité féminine), s’est illustrée, la même année, par ses prestations à l’occasion de la célébration de la «Journée internationale de la femme», décrétée par l’Onu.
Depuis sa première participation à un festival international au Togo, en 1984, Hahizé a pratiquement fait le tour du monde. Un élan quelque peu dissipé par les années de crise. A en croire son attaché de presse, Toh René Béalé, cette sortie en France participe de sa renaissance et de sa contribution à la réconciliation nationale et au dialogue interculturel mondial.
R . C
A l’occasion de la 52e édition du Festival de Confolens (Charente Maritime, France), l’ensemble artistique traditionnel ivoirien y représentera le continent africain. Confolens est la capitale mondiale du folklore et le berceau du Conseil international des organisations de festivals de folklore et d’arts traditionnels (Cioff), créé en 1970, et affilié à l’Unesco. Il revendique 300 festivals de 90 pays à travers le monde. La section ivoirienne du Cioff est dirigée par Mme Alexise Gogoua, présidente fondatrice de Hahizé club.
Du 10 au 16 août, donc, le groupe y présentera sa dernière création chorégraphique, «Glowgbô» (La vie au village ), un condensé d’évènements rituels et profanes, ainsi que de faits de société des peuples de Côte d’Ivoire, de l’aire bété, notamment. L’information a été donnée, récemment, à Yopougon, à l’occasion d’une séance de répétition supervisée par le délégué Afrique du Festival.
Créée en 1976, la troupe d’une trentaine de danseurs, chanteurs, percussionnistes, chorégraphes (à grande majorité féminine), s’est illustrée, la même année, par ses prestations à l’occasion de la célébration de la «Journée internationale de la femme», décrétée par l’Onu.
Depuis sa première participation à un festival international au Togo, en 1984, Hahizé a pratiquement fait le tour du monde. Un élan quelque peu dissipé par les années de crise. A en croire son attaché de presse, Toh René Béalé, cette sortie en France participe de sa renaissance et de sa contribution à la réconciliation nationale et au dialogue interculturel mondial.
R . C
