L'handicap n'est pas une tare insurmontable. En parcourant certains documents du BIT, Genève, j'ai découvert que les handicapés sont considérés comme des personnes normales. Et comme tout le monde, ils doivent s'adapter à leur environnement en se créant des activités rémunératrices selon le type d'handicap dont ils sont affectés. Ainsi formulée, la question peut paraître comme trop simplement évacuée mais non !
En effet, le BIT a fait faire une étude en Afrique et en Asie (des continents où la présence visible des handicapés est persistante (Malcom Harper et Willi Momm, BIT 1990.) Dans notre société un choix est à opérer, soit :
- Autonomiser les personnes handicapées soit
- Les maintenir dans la dépendance.
Pour toutes les deux options, il s'agit des personnes qui ont tendance à « gadgétiser » leur handicap.
Nous sommes une communauté où il y a beaucoup de compétences disponibles qui ne demandent qu'à assurer des services de manière bénévole. Tout est question d'organisation et si nos guides s'adressaient aux assistants sociaux de même confession que nous, ces derniers pourraient ensemble monter une structure d'aide à l'autonomisation des handicapés.
Grâce à une sensibilisation bien menée, ces personnes pourront comprendre par exemple que l'handicap est synonyme tout simplement de mobilité réduite, qu'il peut certes imposer des conditions spéciales quant au choix d'une activité à mener. Mais qu'une fois le bon choix opéré, le handicap cesse d'en être un (selon le BIT). Comprise de cette manière là, on doit encourager les gens qui se sentent accablés par un handicap ou par des conditions médiocres, afin qu'ils arrivent à maîtriser ces situations de détresse. Nous évoquons ce volet pour souhaiter que nos guides démarrent une sensibilisation pouvant créer l'éveil chez les personnes handicapés qui souvent « envahissent » littéralement les abords de nos espaces religieux. Chacun d'entre eux pourrait faire l'économie de sa propre mobilité et réussir une activité génératrice, sur un site proche de son domicile. En même temps, évoquer le cas des personnes bien valides qui, semble-t-il, créent autour des handicapés un type « d'industrie » exploitant la vulnérabilité des autres ; ces personnes là doivent être dénoncées si cela est avéré.
Si l'on n'en parle pas, l'on donne raison à ceux qui s'expriment sur la question en faisant remarquer que : « lorsqu'on est malade et qu'on ne peut pas marcher, on reste à la maison… »
djenat9@ymail.com
En effet, le BIT a fait faire une étude en Afrique et en Asie (des continents où la présence visible des handicapés est persistante (Malcom Harper et Willi Momm, BIT 1990.) Dans notre société un choix est à opérer, soit :
- Autonomiser les personnes handicapées soit
- Les maintenir dans la dépendance.
Pour toutes les deux options, il s'agit des personnes qui ont tendance à « gadgétiser » leur handicap.
Nous sommes une communauté où il y a beaucoup de compétences disponibles qui ne demandent qu'à assurer des services de manière bénévole. Tout est question d'organisation et si nos guides s'adressaient aux assistants sociaux de même confession que nous, ces derniers pourraient ensemble monter une structure d'aide à l'autonomisation des handicapés.
Grâce à une sensibilisation bien menée, ces personnes pourront comprendre par exemple que l'handicap est synonyme tout simplement de mobilité réduite, qu'il peut certes imposer des conditions spéciales quant au choix d'une activité à mener. Mais qu'une fois le bon choix opéré, le handicap cesse d'en être un (selon le BIT). Comprise de cette manière là, on doit encourager les gens qui se sentent accablés par un handicap ou par des conditions médiocres, afin qu'ils arrivent à maîtriser ces situations de détresse. Nous évoquons ce volet pour souhaiter que nos guides démarrent une sensibilisation pouvant créer l'éveil chez les personnes handicapés qui souvent « envahissent » littéralement les abords de nos espaces religieux. Chacun d'entre eux pourrait faire l'économie de sa propre mobilité et réussir une activité génératrice, sur un site proche de son domicile. En même temps, évoquer le cas des personnes bien valides qui, semble-t-il, créent autour des handicapés un type « d'industrie » exploitant la vulnérabilité des autres ; ces personnes là doivent être dénoncées si cela est avéré.
Si l'on n'en parle pas, l'on donne raison à ceux qui s'expriment sur la question en faisant remarquer que : « lorsqu'on est malade et qu'on ne peut pas marcher, on reste à la maison… »
djenat9@ymail.com