L`Onu vient de demander à Frat-Mat Edition de ne plus verser de droit à Blé Goudé, en ce qui concerne son livre best-seller Ma part de vérité. L`organisation demande en plus à la maison de ne plus éditer un autre livre du Général. Une provocation de trop que le “Général” refuse, en douceur.
Comment jugez-vous la décision de l`Onu qui demande à Frat-Mat Edition de ne plus vous payer vos droits d`auteur et aussi ne plus vous éditer ?
Moi, c`est surtout le moment choisi qui m`intrigue. Pourquoi, c`est maintenant que ces vacanciers de l`Onu s`attaquent à un tel sujet qui n`est pas d`actualité. L`année dernière, à la même période, ils sont venus faire des enquêtes, au moment où la situation était calme, normale. Mais je dis que je ne céderai pas à la provocation de ces vacanciers.
Mais, comment vous expliquez-vous cela ?
Moi-même je m`interroge. Mais je me dis qu`on veut provoquer les patriotes à descendre dans la rue. La situation normale n`arrange pas ces vacanciers de l`Onu. Parce que quand tout est calme, leurs primes baissent. Ils veulent avoir beaucoup de primes. Mais ce n`est pas avec moi. S`ils n`ont plus rien à faire ici, qu`ils plient bagage.
Est-ce que Frat-Mat Edition vous a signifié cette décision.
Moi, je n`ai pas de problème avec ma maison d`édition. En novembre 2006, quand le livre est sorti, il a été best-seller ici. Nous avons vendu plus de 30 mille exemplaires. C`est un record. Mais mon prochain livre qui arrive est une bombe.
Il va parler de quoi ?
Il analyse la crise ivoirienne. Et je l`ai intitulé d`un stade à un autre. C`est-à-dire, d`un stade de rugby en France à Marcoussis, à un stade de foot à Bouaké ou les belligérants ont fait la paix. Ce sont toutes ces étapes de la crise ivoirienne que j`analyse.
Et qui va l`éditer ?
C`est Frat-Mat Edition. Je suis l`auteur de mes œuvres. Le livre sort en avril. Mais je crois que l`Onu devait me payer. Parce que je fais son travail à sa place. Je parcours les villes, les villages pour faire ce qu`elle devait faire. A savoir, chercher à réconcilier les Ivoiriens.
Entretien réalisé par Guéhi Brence
Comment jugez-vous la décision de l`Onu qui demande à Frat-Mat Edition de ne plus vous payer vos droits d`auteur et aussi ne plus vous éditer ?
Moi, c`est surtout le moment choisi qui m`intrigue. Pourquoi, c`est maintenant que ces vacanciers de l`Onu s`attaquent à un tel sujet qui n`est pas d`actualité. L`année dernière, à la même période, ils sont venus faire des enquêtes, au moment où la situation était calme, normale. Mais je dis que je ne céderai pas à la provocation de ces vacanciers.
Mais, comment vous expliquez-vous cela ?
Moi-même je m`interroge. Mais je me dis qu`on veut provoquer les patriotes à descendre dans la rue. La situation normale n`arrange pas ces vacanciers de l`Onu. Parce que quand tout est calme, leurs primes baissent. Ils veulent avoir beaucoup de primes. Mais ce n`est pas avec moi. S`ils n`ont plus rien à faire ici, qu`ils plient bagage.
Est-ce que Frat-Mat Edition vous a signifié cette décision.
Moi, je n`ai pas de problème avec ma maison d`édition. En novembre 2006, quand le livre est sorti, il a été best-seller ici. Nous avons vendu plus de 30 mille exemplaires. C`est un record. Mais mon prochain livre qui arrive est une bombe.
Il va parler de quoi ?
Il analyse la crise ivoirienne. Et je l`ai intitulé d`un stade à un autre. C`est-à-dire, d`un stade de rugby en France à Marcoussis, à un stade de foot à Bouaké ou les belligérants ont fait la paix. Ce sont toutes ces étapes de la crise ivoirienne que j`analyse.
Et qui va l`éditer ?
C`est Frat-Mat Edition. Je suis l`auteur de mes œuvres. Le livre sort en avril. Mais je crois que l`Onu devait me payer. Parce que je fais son travail à sa place. Je parcours les villes, les villages pour faire ce qu`elle devait faire. A savoir, chercher à réconcilier les Ivoiriens.
Entretien réalisé par Guéhi Brence