« L’Onu est en train de préparer la mort physique et intellectuelle de Blé Goudé », a déclaré Richard Dacoury, lors d’une conférence de presse organisée hier lundi 16 mars à la Sorbonne du Plateau.
Pour le président de la Sorbonne-solidarité, les injonctions faites par l’Onu au leader patriotique de « vivre du strict minimum » et au groupe Fraternité-Matin de ne plus éditer les livres de ce dernier, sont de nature à fragiliser le processus de sortie de crise. Car, affirme Dacoury, ces sanctions mettent « dangereusement » la vie physique et intellectuelle de Blé Goudé en péril. « Le désir de tout être humain est de vivre heureux. Et chacun a le droit de disposer et d’émettre des idées ; quiconque n’émet pas ses pensées, n’existe pas », s’est-il inquiété. Avant d’ajouter que Blé Goudé, a, à travers des actions concrètes dont la caravane de la paix, la signature de la « paix des braves » initiée par Alpha Blondy et l’appel à la mobilisation autour de l’enrôlement, réussi là où l’Onu a échoué. « Au lieu de prendre des mesures pour l’encourager à continuer dans ce sens, l’Onu rame à contre-courant », a-t-il regretté. Puis d’accuser les fonctionnaires onusiens présents en Côte d’Ivoire, d’être les principaux instigateurs de ces mesures « injustes et absurdes ». Selon Richard Dacoury, ce sont ces agents « mécontents » de leur situation salariale, qui veulent créer un climat d’insécurité alors que le rôle de l’Onu est de créer les conditions de la paix et de la stabilité partout dans le monde. Interrogé sur ce que fera l’Alliance patriotique, le conférencier du jour a dit n’être pas prêt à s’attaquer à l’Onu. « Il y a un temps pour la guerre et un autre pour la paix. Nous sommes pour la paix et l’Onu doit s’inscrire dans ce processus en encourageant ses différents acteurs », a conclu M. Dacoury. Etaient également présents à cette conférence, plusieurs membres de l’Alliance patriotique dont Ahua Stalone, Koné Seydou de la Jeunesse du Nord et l’artiste Serges Kassy.
DY
Pour le président de la Sorbonne-solidarité, les injonctions faites par l’Onu au leader patriotique de « vivre du strict minimum » et au groupe Fraternité-Matin de ne plus éditer les livres de ce dernier, sont de nature à fragiliser le processus de sortie de crise. Car, affirme Dacoury, ces sanctions mettent « dangereusement » la vie physique et intellectuelle de Blé Goudé en péril. « Le désir de tout être humain est de vivre heureux. Et chacun a le droit de disposer et d’émettre des idées ; quiconque n’émet pas ses pensées, n’existe pas », s’est-il inquiété. Avant d’ajouter que Blé Goudé, a, à travers des actions concrètes dont la caravane de la paix, la signature de la « paix des braves » initiée par Alpha Blondy et l’appel à la mobilisation autour de l’enrôlement, réussi là où l’Onu a échoué. « Au lieu de prendre des mesures pour l’encourager à continuer dans ce sens, l’Onu rame à contre-courant », a-t-il regretté. Puis d’accuser les fonctionnaires onusiens présents en Côte d’Ivoire, d’être les principaux instigateurs de ces mesures « injustes et absurdes ». Selon Richard Dacoury, ce sont ces agents « mécontents » de leur situation salariale, qui veulent créer un climat d’insécurité alors que le rôle de l’Onu est de créer les conditions de la paix et de la stabilité partout dans le monde. Interrogé sur ce que fera l’Alliance patriotique, le conférencier du jour a dit n’être pas prêt à s’attaquer à l’Onu. « Il y a un temps pour la guerre et un autre pour la paix. Nous sommes pour la paix et l’Onu doit s’inscrire dans ce processus en encourageant ses différents acteurs », a conclu M. Dacoury. Etaient également présents à cette conférence, plusieurs membres de l’Alliance patriotique dont Ahua Stalone, Koné Seydou de la Jeunesse du Nord et l’artiste Serges Kassy.
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