Enseignant-chercheur à l’Université de Bouaké, Logbo Gnézé est critique littéraire bien connu. Il jette un regard sur “Devoir de Mensonges ; crise à l’ivoirienne” du jeune écrivain Faustin Toha.
Mensonge no7
Les exécutions extrajudiciaires, l’affaire Firmin Mahé.
Officiellement, Poncet a bénéficié d’une promotion qui est en réalité une promotion sanction. Les militaires français ont exécuté des citoyens ivoiriens !
Combien de personnes ont-elles pu être exécutées comme le jeune Firmin Mahé qui, bien qu’ayant une mauvaise réputation, devait être traité avec humanité après son arrestation ?
Mensonge no 8
Le mensonge de Compaoré.
Il dit que le pouvoir en Côte d’Ivoire souffre d’un déficit de démocratie.
Le vrai problème : le nombre réel des étrangers en Côte d’Ivoire ? Combien sont devenus Ivoiriens ? Combien vont devenir Ivoiriens ? Il souhaiterait voir tous ses compatriotes installés en Côte d’Ivoire devenir Ivoiriens, d’où le débat sur le nombre réel de ces étrangers.
Il craint de ne pouvoir maîtriser le flux migratoire. « Ces dispos », à Ouaga on les appelle la diaspora, tous ces burkinabé nés en Côte d’Ivoire. Ils ont la culture d’ici, ils ont des moyens financiers immenses, ils foutent le complexe aux Burkinabé de souche, d’où mon titre de « Compaoré le complexé » ; ils sont capables de l’évincer.
Mensonge no9
Les rebelles ; leur entrée au Gouvernement.
Ils se sont servis de Marcoussis pour avoir des postes ministériels taillés au gré de leurs intérêts, des ministres budgétivores ! Aucun programme de gouvernement derrière.
Mensonges no 10
Les Refondateurs – M. Gbagbo.
En fait, c’est l’argent qui les intéressait : c’est un socialisme capitaliste : leur socialisme a glissé vers la recherche du profit personnel étrange avec ostentation des richesses acquises en vitesse et facilement. Si on fait un parallèle avec les discours tenus dans l’opposition, c’est un gros mensonge.
Mensonge no 11
Le général Mathias Doué.
Je dis de lui que c’est un « politicien en treillis » ; il joue les mystérieux, c’est la duplicité »
Voilà pour les mensonges.
A la page 133 du livre de M. Toha, on peut lire ceci : « En prenant fait et cause pour le régime Gbagbo, il est évident que le président Thabo Mbeki devait s’attendre aux foudres de la rébellion, dont la mission première est de perpétuer la domination économique de l’hexagone. »
Puisque Douce France impérialiste, féroce et génocidaire, n’a pas réussi à faire chuter le Président Gbagbo ; puisque la France de l’exclusif colonial n’a pas réussi à empêcher le gouvernement ivoirien de nouer des partenariats avec la Chine, l’Inde, l’Iran, la Russie, le Japon, l’on est fondé à parler d’échec de toute cette coalition d’apaches nationaux et internationaux (les rebelles, Ado, Doué, Tévoedjré et les Français).
Quel est le sens de cet échec ? Quelle en est la portée ?
Voilà qui nous conduit comme par la main à la seconde respiration de ce propos :
II- L’échec d’une coalition nationale et internationale d’apaches contre le pays d’Abidjanu : sens et portée
On se condamne à ne jamais comprendre la crise ivoirienne si, en faux rationaliste, on décide d’exclure l’aspect mystique, (au sens grec de l’adjectif), l’aspect nocturne, l’aspect caché, spirituel et divin de la crise ivoirienne, elle-même un aspect de la crise de l’humanité, elle-même un aspect d’une crise cosmique, d’une crise qui touche le monde divin.
Voici le contexte spirituel dans lequel a lieu la rébellion déclenchée le 19 septembre 2002.
1/ Nous sommes à une phase du déroulement du Programme divin caractérisé par la fin des moyens provisoires de comprendre le monde, d’expliquer les phénomènes, de résoudre les problèmes et de conduire sa vie ; ces moyens provisoires sont : l’intelligence humaine, les études humaines, (la science, la philosophie, la sociologie, la psychologie, la religion, etc.)
2/ La primauté revient à l’aspect spirituel des choses, à Dieu, à l’âme, aux intérêts de Dieu, la pensée humaine, le psychisme étant secondaire, et l’aspect matériel étant subordonnée aux deux premiers.
3/ Tous les projets humains qui ne sont pas en accord avec la volonté divine échoueront.
4/ La façon de vivre des hommes doit être totalement nouvelle, puisque l’époque est nouvelle.
5/ Le courant qui était dirigé vers la guerre, Dieu l’ayant tourné vers la paix, les conflits et les guerres deviennent désormais inutiles.
6/ Le XXIe siècle sacré est la limite inférieure d’une série de siècles commis au ministère divin d’édification de la civilisation paradisiaque.
Il suit de là l’échec de cette coalition nationale et internationale d’apaches contre le pays d’Abijanu.
La contradiction essentielle, la contradiction principale mise à jour par la crise ivoirienne oppose les intérêts de Dieu Créateur dont l’objectif catégorique est la construction de la civilisation du paradis par ses enfants que sont les hommes, aux intérêts centrifuges, égocentriques et périmés d’une race d’homme( la légion des pourceaux que sont les impérialistes français acheteurs d’Afrique et leur valet négros africains que sont les rebelles, Ado, Doué et tutti quanti vendeurs d’Afrique.)
Et comme la primauté accordée à l’argent et au matériel n’est pas une exigence du Temps du ciel auquel nous sommes ; et comme les intérêts des Français, éternels pourceaux, et des rebelles, pourceaux ivoiriens, ne sont pas en accord avec la volonté de Dieu, la conséquence, c’est l’échec.
C. Q. F. D
A dire de calao, à dire de mystagogue, les richesses matérielles dont regorge le sous-sol d’un pays appartenant à Dieu Créateur, ces richesses matérielles ont une fin divine : les hommes doivent les utiliser au service de Dieu, les hommes doivent les utiliser pour construire le pays de Dieu sur terre, la civilisation paradisiaque ; il est donc contraire à la volonté divine et aux intérêts de Dieu que des pourceaux albo-européens considèrent leur pays comme leur propriété privée et les richesses matérielles comme leur propriété privée éternelle.
Mais, pour que les Ivoiriens utilisent les ressources matérielles nationales au service du paradis, il faut qu’ils continuent de vivre sur la terre où Dieu les a placées. Le combat de tous les Ivoiriens qui mènent le combat de l’indépendance du pays est donc en accord avec la volonté divine.
Vous dégagerez vous-même les implications de cette proposition.
Au demeurant, par le primat accordé à l’argent et à tous les plaisirs matériels par ces imposteurs de rebelles qui ont faire accroire aux gens qu’ils étaient les champion d’une démocratie qu’on impose par les armes, les rebelles et Ado sont les fils spirituels d’Houphouët Boigny qui eut un jour devant le monde entier assemblé le mot terrible et vertigineux que voici.
« Qui aura l’Afrique et ses matières premières dominera le monde. »
Pour le Sage donc, et pour ses fils spirituels, l’Afrique est une coupe, une marchandise à vendre ! Ce qui est proprement un sacrilège et un péché directement commis contre Dieu Créateur à qui on vole sa terre pour la vendre à la Sainte Alliance Eternelle des Pourceaux albo-européens, arrivés très tard à la culture et qui, c’est un truisme, n’ont jamais accepté la culture et la civilisation comme mode de vie détachée de l’animal.
A dire de calao enfant de la lumière vérace, la Côte d’Ivoire a un lien spirituel avec Dieu Créateur du ciel et de la terre qui avait ici, dans les temps protohistoriques ; un représentant appelé Abijanu dont l’autre nom est Afuri Abidjam ; ce représentant qui fait parti des 16 enfants envoyés par Dieu à travers le monde pour le civiliser, était un Dieu incarné, et la Côte d’Ivoire est reliée à l’âme de ce dieu.
Intelligent pauca, ut Latini dixerint.
La portée pratique de l’échec de la légion nationale et internationale d’apaches contre le pays du dieu d’Abijanu, c’est irréversibilité des temps que nous vivons ! Nous sommes dans les siècles sacrés qui bâtiront la superstructure spirituelle de la civilisation du paradis dont l’infrastructure matérielle est déjà prête.
La Sainte Alliance internationale des cyclopes et des pourceaux opposants spirituels à Dieu Créateur doit le savoir pour cesser de gaspiller son temps, son argent, ses armes et ses hommes dans un combat inutile et perdu d’avance.
« Dieu ne discute pas avec les hommes, quand il parle il a raison. » nous apprennent les Balouba.
Quand le rythme du tam-tam change, les pas de danse changent également. » Nous enseigne la littérature gnomique nègre.
Abidjan, 19 et 20 Février 2009
Post-scriptum : Son objet est la critique littéraire du livre de M. TOHA
Sériba Koné seriba67@yahoo.fr
Mensonge no7
Les exécutions extrajudiciaires, l’affaire Firmin Mahé.
Officiellement, Poncet a bénéficié d’une promotion qui est en réalité une promotion sanction. Les militaires français ont exécuté des citoyens ivoiriens !
Combien de personnes ont-elles pu être exécutées comme le jeune Firmin Mahé qui, bien qu’ayant une mauvaise réputation, devait être traité avec humanité après son arrestation ?
Mensonge no 8
Le mensonge de Compaoré.
Il dit que le pouvoir en Côte d’Ivoire souffre d’un déficit de démocratie.
Le vrai problème : le nombre réel des étrangers en Côte d’Ivoire ? Combien sont devenus Ivoiriens ? Combien vont devenir Ivoiriens ? Il souhaiterait voir tous ses compatriotes installés en Côte d’Ivoire devenir Ivoiriens, d’où le débat sur le nombre réel de ces étrangers.
Il craint de ne pouvoir maîtriser le flux migratoire. « Ces dispos », à Ouaga on les appelle la diaspora, tous ces burkinabé nés en Côte d’Ivoire. Ils ont la culture d’ici, ils ont des moyens financiers immenses, ils foutent le complexe aux Burkinabé de souche, d’où mon titre de « Compaoré le complexé » ; ils sont capables de l’évincer.
Mensonge no9
Les rebelles ; leur entrée au Gouvernement.
Ils se sont servis de Marcoussis pour avoir des postes ministériels taillés au gré de leurs intérêts, des ministres budgétivores ! Aucun programme de gouvernement derrière.
Mensonges no 10
Les Refondateurs – M. Gbagbo.
En fait, c’est l’argent qui les intéressait : c’est un socialisme capitaliste : leur socialisme a glissé vers la recherche du profit personnel étrange avec ostentation des richesses acquises en vitesse et facilement. Si on fait un parallèle avec les discours tenus dans l’opposition, c’est un gros mensonge.
Mensonge no 11
Le général Mathias Doué.
Je dis de lui que c’est un « politicien en treillis » ; il joue les mystérieux, c’est la duplicité »
Voilà pour les mensonges.
A la page 133 du livre de M. Toha, on peut lire ceci : « En prenant fait et cause pour le régime Gbagbo, il est évident que le président Thabo Mbeki devait s’attendre aux foudres de la rébellion, dont la mission première est de perpétuer la domination économique de l’hexagone. »
Puisque Douce France impérialiste, féroce et génocidaire, n’a pas réussi à faire chuter le Président Gbagbo ; puisque la France de l’exclusif colonial n’a pas réussi à empêcher le gouvernement ivoirien de nouer des partenariats avec la Chine, l’Inde, l’Iran, la Russie, le Japon, l’on est fondé à parler d’échec de toute cette coalition d’apaches nationaux et internationaux (les rebelles, Ado, Doué, Tévoedjré et les Français).
Quel est le sens de cet échec ? Quelle en est la portée ?
Voilà qui nous conduit comme par la main à la seconde respiration de ce propos :
II- L’échec d’une coalition nationale et internationale d’apaches contre le pays d’Abidjanu : sens et portée
On se condamne à ne jamais comprendre la crise ivoirienne si, en faux rationaliste, on décide d’exclure l’aspect mystique, (au sens grec de l’adjectif), l’aspect nocturne, l’aspect caché, spirituel et divin de la crise ivoirienne, elle-même un aspect de la crise de l’humanité, elle-même un aspect d’une crise cosmique, d’une crise qui touche le monde divin.
Voici le contexte spirituel dans lequel a lieu la rébellion déclenchée le 19 septembre 2002.
1/ Nous sommes à une phase du déroulement du Programme divin caractérisé par la fin des moyens provisoires de comprendre le monde, d’expliquer les phénomènes, de résoudre les problèmes et de conduire sa vie ; ces moyens provisoires sont : l’intelligence humaine, les études humaines, (la science, la philosophie, la sociologie, la psychologie, la religion, etc.)
2/ La primauté revient à l’aspect spirituel des choses, à Dieu, à l’âme, aux intérêts de Dieu, la pensée humaine, le psychisme étant secondaire, et l’aspect matériel étant subordonnée aux deux premiers.
3/ Tous les projets humains qui ne sont pas en accord avec la volonté divine échoueront.
4/ La façon de vivre des hommes doit être totalement nouvelle, puisque l’époque est nouvelle.
5/ Le courant qui était dirigé vers la guerre, Dieu l’ayant tourné vers la paix, les conflits et les guerres deviennent désormais inutiles.
6/ Le XXIe siècle sacré est la limite inférieure d’une série de siècles commis au ministère divin d’édification de la civilisation paradisiaque.
Il suit de là l’échec de cette coalition nationale et internationale d’apaches contre le pays d’Abijanu.
La contradiction essentielle, la contradiction principale mise à jour par la crise ivoirienne oppose les intérêts de Dieu Créateur dont l’objectif catégorique est la construction de la civilisation du paradis par ses enfants que sont les hommes, aux intérêts centrifuges, égocentriques et périmés d’une race d’homme( la légion des pourceaux que sont les impérialistes français acheteurs d’Afrique et leur valet négros africains que sont les rebelles, Ado, Doué et tutti quanti vendeurs d’Afrique.)
Et comme la primauté accordée à l’argent et au matériel n’est pas une exigence du Temps du ciel auquel nous sommes ; et comme les intérêts des Français, éternels pourceaux, et des rebelles, pourceaux ivoiriens, ne sont pas en accord avec la volonté de Dieu, la conséquence, c’est l’échec.
C. Q. F. D
A dire de calao, à dire de mystagogue, les richesses matérielles dont regorge le sous-sol d’un pays appartenant à Dieu Créateur, ces richesses matérielles ont une fin divine : les hommes doivent les utiliser au service de Dieu, les hommes doivent les utiliser pour construire le pays de Dieu sur terre, la civilisation paradisiaque ; il est donc contraire à la volonté divine et aux intérêts de Dieu que des pourceaux albo-européens considèrent leur pays comme leur propriété privée et les richesses matérielles comme leur propriété privée éternelle.
Mais, pour que les Ivoiriens utilisent les ressources matérielles nationales au service du paradis, il faut qu’ils continuent de vivre sur la terre où Dieu les a placées. Le combat de tous les Ivoiriens qui mènent le combat de l’indépendance du pays est donc en accord avec la volonté divine.
Vous dégagerez vous-même les implications de cette proposition.
Au demeurant, par le primat accordé à l’argent et à tous les plaisirs matériels par ces imposteurs de rebelles qui ont faire accroire aux gens qu’ils étaient les champion d’une démocratie qu’on impose par les armes, les rebelles et Ado sont les fils spirituels d’Houphouët Boigny qui eut un jour devant le monde entier assemblé le mot terrible et vertigineux que voici.
« Qui aura l’Afrique et ses matières premières dominera le monde. »
Pour le Sage donc, et pour ses fils spirituels, l’Afrique est une coupe, une marchandise à vendre ! Ce qui est proprement un sacrilège et un péché directement commis contre Dieu Créateur à qui on vole sa terre pour la vendre à la Sainte Alliance Eternelle des Pourceaux albo-européens, arrivés très tard à la culture et qui, c’est un truisme, n’ont jamais accepté la culture et la civilisation comme mode de vie détachée de l’animal.
A dire de calao enfant de la lumière vérace, la Côte d’Ivoire a un lien spirituel avec Dieu Créateur du ciel et de la terre qui avait ici, dans les temps protohistoriques ; un représentant appelé Abijanu dont l’autre nom est Afuri Abidjam ; ce représentant qui fait parti des 16 enfants envoyés par Dieu à travers le monde pour le civiliser, était un Dieu incarné, et la Côte d’Ivoire est reliée à l’âme de ce dieu.
Intelligent pauca, ut Latini dixerint.
La portée pratique de l’échec de la légion nationale et internationale d’apaches contre le pays du dieu d’Abijanu, c’est irréversibilité des temps que nous vivons ! Nous sommes dans les siècles sacrés qui bâtiront la superstructure spirituelle de la civilisation du paradis dont l’infrastructure matérielle est déjà prête.
La Sainte Alliance internationale des cyclopes et des pourceaux opposants spirituels à Dieu Créateur doit le savoir pour cesser de gaspiller son temps, son argent, ses armes et ses hommes dans un combat inutile et perdu d’avance.
« Dieu ne discute pas avec les hommes, quand il parle il a raison. » nous apprennent les Balouba.
Quand le rythme du tam-tam change, les pas de danse changent également. » Nous enseigne la littérature gnomique nègre.
Abidjan, 19 et 20 Février 2009
Post-scriptum : Son objet est la critique littéraire du livre de M. TOHA
Sériba Koné seriba67@yahoo.fr