Suite à l’arrestation de Nanankoua Gnamantêh, journaliste à l’hebdomadaire « Le Repère » du groupe de presse « Le Réveil », le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) a fait une déclaration, signée de N’Guilissi François, 1er vice président du GEPCI le 23 mars dernier, pour demander « La relaxe pure et simple » du journaliste. Dans son analyse de cette arrestation qu’il qualifie de « cavalière », le GEPCI ne manque pas de rapporter que l’arrestation du journaliste, le procès contre les journaux du groupe de presse « Le réveil », ponctué d’un ballet juridique « constituent une atteinte grave aux droits du journaliste et une menace réelle pour la liberté de la presse ».
Surtout que ces faits interviennent dans un contexte de sortie de crise et à l’approche des élections présidentielles en Côte d’Ivoire.
En sus, par le truchement de cette déclaration, le GEPCI invite les acteurs politiques et judiciaires « au respect de l’esprit et la lettre de la loi 2004-643 portant régime juridique de la presse et qui dépénalise les délits de presse ». Car, pour cette organisation, la liberté de la presse est une valeur fondamentale et non réductible qui consacre l’enracinement de la démocratie, gage du développement d’un pays.
Appel a été lancé, surtout en direction du chef de l’Etat, Laurent Gbagbo qui a fait la promesse, dès sa prise de pouvoir, de ne jamais jeter un journaliste en prison pendant son mandat.
Appel a été également lancé aux professionnels des médias et aux associations de défense de la liberté de presse, aux organisations professionnels et aux syndicats des secteur des médias, de maintenir la flamme de la mobilisation afin de « répondre, de manière énergique, aux actions funestes des prédateurs de la liberté d’expression et de presse ».
Jean- Antoine Doudou
Surtout que ces faits interviennent dans un contexte de sortie de crise et à l’approche des élections présidentielles en Côte d’Ivoire.
En sus, par le truchement de cette déclaration, le GEPCI invite les acteurs politiques et judiciaires « au respect de l’esprit et la lettre de la loi 2004-643 portant régime juridique de la presse et qui dépénalise les délits de presse ». Car, pour cette organisation, la liberté de la presse est une valeur fondamentale et non réductible qui consacre l’enracinement de la démocratie, gage du développement d’un pays.
Appel a été lancé, surtout en direction du chef de l’Etat, Laurent Gbagbo qui a fait la promesse, dès sa prise de pouvoir, de ne jamais jeter un journaliste en prison pendant son mandat.
Appel a été également lancé aux professionnels des médias et aux associations de défense de la liberté de presse, aux organisations professionnels et aux syndicats des secteur des médias, de maintenir la flamme de la mobilisation afin de « répondre, de manière énergique, aux actions funestes des prédateurs de la liberté d’expression et de presse ».
Jean- Antoine Doudou