«Je m’engage sur l’honneur à faire preuve de responsabilité en respectant l’esprit de l’INP-HB, et à ne pas poser d’actes susceptibles de troubler le bon fonctionnement de l’Institut par des grèves illégales et violentes, détruire les biens et équipements, créer des nuisances aux autres camarades étudiants et manquer de respect à la Direction générale ainsi qu’à toute l’administration». Tel est l’extrait de «l’engagement de bonne conduite» signé par les étudiants après une grève de trois jours, du 3 au 5 mars derniers, et qui ont occasionné la fermeture de l’Institut par le Conseil de gestion du 06 au lundi 23 mars, date effective de reprise des cours.
Les étudiants, selon le Conseil de gestion qui a siégé mercredi 25 mars pour faire le point de la situation de la nouvelle réinscription et des revendications qui ont poussé à la grève, s’exposent désormais à des sanctions légalement prévues par les textes qui régissent l’Institut. Il s’agira entre autres, d’une mise à pied, de l’exclusion temporaire ou définitive en cas de violation ou non respect de l’engagement pris et dûment signé.
La visite guidée du service de la communication en compagnie des journalistes le lundi dernier, a permis de se rendre compte de la reprise effective des cours. Cette visite a conduit l’équipe des journalistes dans les trois grands centres de l’Institut, à commencer par le Sud où se trouvent les Ecoles de mine et géologie et l’Ecole supérieur des travaux publics (ESTP). Ensuite, au Centre et particulièrement à l’Ecole supérieure du commerce et de l’administration des entreprise (ESCAE) et l’Ecole supérieure de l’industrie (ESI). Et enfin au Nord, à l’Ecole supérieure agronomique et l’école de formation continue puis à l’école d’expertise comptable.
Dans toutes ces grandes écoles, la reprise des cours a été totalement effective. Comme les inspecteurs de filières et l’administration des différentes écoles, les étudiants ont accepté de signer l’engagement de bonne conduite avant de recevoir leurs nouvelles, donnant ainsi satisfaction à une des revendications, à savoir, changer les serrures des 3008 chambres.
Jacquelin Mintoh
Les étudiants, selon le Conseil de gestion qui a siégé mercredi 25 mars pour faire le point de la situation de la nouvelle réinscription et des revendications qui ont poussé à la grève, s’exposent désormais à des sanctions légalement prévues par les textes qui régissent l’Institut. Il s’agira entre autres, d’une mise à pied, de l’exclusion temporaire ou définitive en cas de violation ou non respect de l’engagement pris et dûment signé.
La visite guidée du service de la communication en compagnie des journalistes le lundi dernier, a permis de se rendre compte de la reprise effective des cours. Cette visite a conduit l’équipe des journalistes dans les trois grands centres de l’Institut, à commencer par le Sud où se trouvent les Ecoles de mine et géologie et l’Ecole supérieur des travaux publics (ESTP). Ensuite, au Centre et particulièrement à l’Ecole supérieure du commerce et de l’administration des entreprise (ESCAE) et l’Ecole supérieure de l’industrie (ESI). Et enfin au Nord, à l’Ecole supérieure agronomique et l’école de formation continue puis à l’école d’expertise comptable.
Dans toutes ces grandes écoles, la reprise des cours a été totalement effective. Comme les inspecteurs de filières et l’administration des différentes écoles, les étudiants ont accepté de signer l’engagement de bonne conduite avant de recevoir leurs nouvelles, donnant ainsi satisfaction à une des revendications, à savoir, changer les serrures des 3008 chambres.
Jacquelin Mintoh
