Acturoutes.info - Depuis quelques mois il est impossible pour les automobilistes de Yopougon (District d’Abidjan) de joindre le quartier Sideci Lem par le carrefour Saguidiba en raison d’un creux qui a fini par se transformer en un lac sur la chaussée, a-t-on constaté.
Visiblement, un défaut dans le système d’assainissement est à l’origine d’une inondation quasi permanente de la route par les eaux rejetées des constructions environnantes. Le temps aidant la crevasse s’est élargie au nez et à la barbe des agents de la Mairie dont les locaux du Service technique sont situés non loin de là.
« Ils n’ont pas notre temps » tente d’expliquer un riverain offusqué par l’indifférence des autorités municipales.
Indisposés par la mauvaise odeur qui s’y repend, les animateurs du « parlement »- tribune de libre échange à la mode depuis le conflit du 19 septembre 2002- autres voisins de cette mare artificielle, ont déserté leurs sièges en grand nombre.
Pour les habitants du quartier Lem tout déplacement en voiture rime désormais avec des slaloms éprouvants et une perte de temps vu que les chauffeurs de taxis et mini cars entrent et sortent du quartier par un détour passant par le marché de la Sideci avant d’aboutir au carrefour SGBCI.
« Cette route nous fatigue beaucoup, révèle un transporteur, on en a parlé jusqu’à désespérer ».
Un sentiment de désespoir partagé par tous les usagers de la route dans cette commune aux qualificatifs évocateurs et face auquel le maire semble à cours d’idées.
Source : Goué Marius
Visiblement, un défaut dans le système d’assainissement est à l’origine d’une inondation quasi permanente de la route par les eaux rejetées des constructions environnantes. Le temps aidant la crevasse s’est élargie au nez et à la barbe des agents de la Mairie dont les locaux du Service technique sont situés non loin de là.
« Ils n’ont pas notre temps » tente d’expliquer un riverain offusqué par l’indifférence des autorités municipales.
Indisposés par la mauvaise odeur qui s’y repend, les animateurs du « parlement »- tribune de libre échange à la mode depuis le conflit du 19 septembre 2002- autres voisins de cette mare artificielle, ont déserté leurs sièges en grand nombre.
Pour les habitants du quartier Lem tout déplacement en voiture rime désormais avec des slaloms éprouvants et une perte de temps vu que les chauffeurs de taxis et mini cars entrent et sortent du quartier par un détour passant par le marché de la Sideci avant d’aboutir au carrefour SGBCI.
« Cette route nous fatigue beaucoup, révèle un transporteur, on en a parlé jusqu’à désespérer ».
Un sentiment de désespoir partagé par tous les usagers de la route dans cette commune aux qualificatifs évocateurs et face auquel le maire semble à cours d’idées.
Source : Goué Marius