Le Premier ministre Alassane Dramane Ouattara, président du RDR était hier, l’invité de la Rédaction du Quotidien Fraternité Matin. La rencontre entre les journalistes et le leader politique était essentiellement consacrée à un échange sur les questions brûlantes de l’actualité. Après avoir ouvert la rencontre par un propos liminaire, ADO s’est prêté aux questions de ses hôtes avant de terminer par une conclusion. Avec l’aimable collaboration de la Rédaction du Quotidien gouvernemental, nous publions dans cette parution, les extraits des propos introductifs du président du RDR ainsi que la conclusion de sa conférence.
Mon introduction sera brève car j’ai hâte de dialoguer avec vous. Depuis de nombreuses années, l’occasion ne s’était pas présentée. Je pense donc que nous avons beaucoup de choses à nous dire !
Je tiens, tout d’abord, à vous remercier de m’avoir invité. C’est un grand plaisir d’être reçu ce matin par le premier quotidien ivoirien.
Je tiens aussi à vous féliciter. En effet, en m’ouvrant ses colonnes, Fraternité Matin pose un acte républicain. Un acte guidé par deux grands principes qui me sont chers et qui sont le fondement de toute démocratie digne de ce nom : la liberté d’expression et la liberté de la presse.
Permettez-moi d’inviter vos confrères à suivre votre exemple. J’encourage tous les journalistes, qu’ils soient de la presse écrite, des chaînes de télévision et des stations de radio, à ouvrir le débat à toutes les sensibilités politiques. Vous devez proposer à tous les Ivoiriens de découvrir des idées différentes, des opinions contradictoires. Bref, permettre à l’opinion publique de se faire en quelque sorte son «opinion privée» grâce à vous.
La liberté, l’ouverture, l’écoute, le respect de l’autre… sont très important pour notre pays. En cette année électorale, tous les leaders politiques doivent pouvoir s’exprimer pour apporter leur pierre à la reconstruction de la maison Côte d’Ivoire. Les Ivoiriens attendent de nous un débat apaisé et de qualité; ils ne veulent pas d’invectives; ils ne veulent pas de querelles stériles. Les Ivoiriens veulent des réponses à leurs questions; ils veulent des propositions. Nos compatriotes ont droit à une campagne digne et constructive sur tous les sujets qui nous préoccupent : la paix et l’unité, la santé, l’éducation, l’emploi, la cherté de la vie, la sécurité…
En ce qui me concerne, je m’engage personnellement, à faire progresser le débat sur tous ces points fondamentaux.
Aujourd’hui, je suis donc heureux d’être parmi vous pour répondre à toutes vos questions sur :
Mon évaluation du processus de sortie de crise
Mon analyse de la situation socio-économique
Mon programme et mes ambitions pour la Côte d’Ivoire de demain.
Je suis prêt à vous répondre en toute transparence.
Chers amis, je suis à vous !
Mon introduction sera brève car j’ai hâte de dialoguer avec vous. Depuis de nombreuses années, l’occasion ne s’était pas présentée. Je pense donc que nous avons beaucoup de choses à nous dire !
Je tiens, tout d’abord, à vous remercier de m’avoir invité. C’est un grand plaisir d’être reçu ce matin par le premier quotidien ivoirien.
Je tiens aussi à vous féliciter. En effet, en m’ouvrant ses colonnes, Fraternité Matin pose un acte républicain. Un acte guidé par deux grands principes qui me sont chers et qui sont le fondement de toute démocratie digne de ce nom : la liberté d’expression et la liberté de la presse.
Permettez-moi d’inviter vos confrères à suivre votre exemple. J’encourage tous les journalistes, qu’ils soient de la presse écrite, des chaînes de télévision et des stations de radio, à ouvrir le débat à toutes les sensibilités politiques. Vous devez proposer à tous les Ivoiriens de découvrir des idées différentes, des opinions contradictoires. Bref, permettre à l’opinion publique de se faire en quelque sorte son «opinion privée» grâce à vous.
La liberté, l’ouverture, l’écoute, le respect de l’autre… sont très important pour notre pays. En cette année électorale, tous les leaders politiques doivent pouvoir s’exprimer pour apporter leur pierre à la reconstruction de la maison Côte d’Ivoire. Les Ivoiriens attendent de nous un débat apaisé et de qualité; ils ne veulent pas d’invectives; ils ne veulent pas de querelles stériles. Les Ivoiriens veulent des réponses à leurs questions; ils veulent des propositions. Nos compatriotes ont droit à une campagne digne et constructive sur tous les sujets qui nous préoccupent : la paix et l’unité, la santé, l’éducation, l’emploi, la cherté de la vie, la sécurité…
En ce qui me concerne, je m’engage personnellement, à faire progresser le débat sur tous ces points fondamentaux.
Aujourd’hui, je suis donc heureux d’être parmi vous pour répondre à toutes vos questions sur :
Mon évaluation du processus de sortie de crise
Mon analyse de la situation socio-économique
Mon programme et mes ambitions pour la Côte d’Ivoire de demain.
Je suis prêt à vous répondre en toute transparence.
Chers amis, je suis à vous !