La situation de notre pays est difficile, mais elle n’est pas sans espoir. Les Ivoiriens souffrent. Les mouvements sociaux se multiplient et ils sont légitimes. L’Etat est ébranlé par des affaires. Le système actuel a donc démontré ses limites.
Je suis sûr que les Ivoiriens ont pris conscience des dangers que court notre pays. L’heure n’est plus à la politique du «tout ou rien». La démocratie implique de nouveaux comportements responsables, respectueux, républicains tout simplement.
Si nous avons raté notre passé récent, nous pouvons réussir notre avenir proche.
La première étape consiste à organiser des élections propres et transparentes. C’est pourquoi, je demande à chacun d’y mettre du sien et de faire des concessions pour aller au bout du processus de sortie de crise. Tant que nous n’organiserons pas d’élections, tant que nous n’aurons pas mis fin à la crise politique, nous ne pourrons pas résoudre la crise sociale et économique. Allons donc aux élections et dotons notre pays d’institutions crédibles.
La seconde étape consiste à se mettre au travail. Il faudra un travail de longue haleine pour restaurer la confiance, faire revenir les investisseurs et redresser notre économie. Je suis prêt à le faire car je connais bien les problèmes de nos compatriotes.
J’ai des propositions de solutions. Des solutions pour sortir la Côte d’Ivoire de la crise et la faire entrer dans une nouvelle ère de prospérité. Des solutions pour la paix et la justice sociale, la santé, l’emploi, l’éducation, la sécurité… Des solutions pour les jeunes, les femmes, les paysans, les entreprises… Des solutions pour chaque Ivoirien, pour sa famille, pour sa région. Des solutions pour notre pays.
Ce projet de société, j’entends le mener à bien avec toutes les composantes de la nation, au-delà des clivages et des querelles du passé.
Nous ne pouvons réussir que si nous sommes tous unis. C’est ma priorité: rassembler toutes les énergies autour de l’essentiel, la paix et le bonheur de nos compatriotes.
Chers amis de Fraternité Matin, merci encore pour ce matin de fraternité ! Vous m’avez donné l’occasion de redire à tous les Ivoiriens et à toutes les Ivoiriennes que je les comprends et qu’ils peuvent compter sur moi.
J’aime la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, aujourd’hui, plus que jamais, je suis déterminé à ce que le pays d’Houphouët-Boigny redevienne la vitrine de l’Afrique.
Comme tous les Ivoiriens, je veux la paix et la tolérance et je nourris de grandes espérances pour notre chère Côte d’Ivoire.
Ensemble, nous pouvons réussir à relever tous ces défis.
Je vous remercie.
(source : Fraternité Matin)
Je suis sûr que les Ivoiriens ont pris conscience des dangers que court notre pays. L’heure n’est plus à la politique du «tout ou rien». La démocratie implique de nouveaux comportements responsables, respectueux, républicains tout simplement.
Si nous avons raté notre passé récent, nous pouvons réussir notre avenir proche.
La première étape consiste à organiser des élections propres et transparentes. C’est pourquoi, je demande à chacun d’y mettre du sien et de faire des concessions pour aller au bout du processus de sortie de crise. Tant que nous n’organiserons pas d’élections, tant que nous n’aurons pas mis fin à la crise politique, nous ne pourrons pas résoudre la crise sociale et économique. Allons donc aux élections et dotons notre pays d’institutions crédibles.
La seconde étape consiste à se mettre au travail. Il faudra un travail de longue haleine pour restaurer la confiance, faire revenir les investisseurs et redresser notre économie. Je suis prêt à le faire car je connais bien les problèmes de nos compatriotes.
J’ai des propositions de solutions. Des solutions pour sortir la Côte d’Ivoire de la crise et la faire entrer dans une nouvelle ère de prospérité. Des solutions pour la paix et la justice sociale, la santé, l’emploi, l’éducation, la sécurité… Des solutions pour les jeunes, les femmes, les paysans, les entreprises… Des solutions pour chaque Ivoirien, pour sa famille, pour sa région. Des solutions pour notre pays.
Ce projet de société, j’entends le mener à bien avec toutes les composantes de la nation, au-delà des clivages et des querelles du passé.
Nous ne pouvons réussir que si nous sommes tous unis. C’est ma priorité: rassembler toutes les énergies autour de l’essentiel, la paix et le bonheur de nos compatriotes.
Chers amis de Fraternité Matin, merci encore pour ce matin de fraternité ! Vous m’avez donné l’occasion de redire à tous les Ivoiriens et à toutes les Ivoiriennes que je les comprends et qu’ils peuvent compter sur moi.
J’aime la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, aujourd’hui, plus que jamais, je suis déterminé à ce que le pays d’Houphouët-Boigny redevienne la vitrine de l’Afrique.
Comme tous les Ivoiriens, je veux la paix et la tolérance et je nourris de grandes espérances pour notre chère Côte d’Ivoire.
Ensemble, nous pouvons réussir à relever tous ces défis.
Je vous remercie.
(source : Fraternité Matin)