L’assemblée générale élective de la Chambre nationale des agents d’affaires judiciaires (CNAAJ-CI) a reconduit à sa tête, pour les quatre prochaines années, M. Bamba Mamadou, candidat unique à sa propre succession, à 97,5 % des voix. Cette AG qui a eu lieu le 28 mars dernier, au Conseil économique et social, Plateau, a vu également l’élection de M. Toh Maurice au poste de commissaire aux comptes.
Le président réélu a d’abord fait le bilan de son mandat qui, dit-il, a été laborieux pour lui et son bureau car ils ont travaillé d’arrache-pied en vue d’obtenir les statuts et le règlement intérieur de leur profession. «Le combat a été rude. Nos autorités n’avaient pas une oreille attentive à nos doléances car ils étaient plutôt préoccupés par les problèmes de sortie de crise en Côte d’Ivoire. La Chambre a enregistré et consigné dans un procès-verbal, les activités qu’elle a menées durant tout son mandat. Cependant, elle reste sur sa faim sur le décret d’application de la loi sur la profession, la prestation de serment et l’ouverture du compte de la Chambre», a-t-il dit. M. Bamba Mamadou a placé son mandat sous le signe de la vérité et de la défense du serment prêté.
Selon lui, c’est dans l’union et la cohésion que les agents d’affaires judiciaires arriveront à sortir définitivement leur profession de la léthargie. «L’Etat nous a nommés pour faire des recouvrements simplifiés. Nous ne faisons pas de saisies. Nous menons des actions comme des avocats. Comme ces derniers, nous instruisons les dossiers que nous remettons ensuite aux huissiers pour exécution. Mais, quelquefois, nous oeuvrons pour que les clients nous payent directement», a-t-il renseigné.
Pour le représentant du ministre de la Justice, M. Soro Fanvongo, sous-directeur des professions judiciaires, cette réélection est la preuve que le bureau sortant a mené à bien le mandat qui lui a été confié. Il a encouragé le président réélu à continuer dans la voix tracée, tout en insistant sur la formation des membres et sur le répertoire des actes par des formulaires en vue de les mettre à l’abri des erreurs. «Le Garde des sceaux mettra tout en œuvre pour examiner les propositions et faire adopter les textes adéquats à la satisfaction de vos préoccupations. C’est dire que l’espoir est permis», a rassuré M. Soro Fanvongo.
Djè Abel
Le président réélu a d’abord fait le bilan de son mandat qui, dit-il, a été laborieux pour lui et son bureau car ils ont travaillé d’arrache-pied en vue d’obtenir les statuts et le règlement intérieur de leur profession. «Le combat a été rude. Nos autorités n’avaient pas une oreille attentive à nos doléances car ils étaient plutôt préoccupés par les problèmes de sortie de crise en Côte d’Ivoire. La Chambre a enregistré et consigné dans un procès-verbal, les activités qu’elle a menées durant tout son mandat. Cependant, elle reste sur sa faim sur le décret d’application de la loi sur la profession, la prestation de serment et l’ouverture du compte de la Chambre», a-t-il dit. M. Bamba Mamadou a placé son mandat sous le signe de la vérité et de la défense du serment prêté.
Selon lui, c’est dans l’union et la cohésion que les agents d’affaires judiciaires arriveront à sortir définitivement leur profession de la léthargie. «L’Etat nous a nommés pour faire des recouvrements simplifiés. Nous ne faisons pas de saisies. Nous menons des actions comme des avocats. Comme ces derniers, nous instruisons les dossiers que nous remettons ensuite aux huissiers pour exécution. Mais, quelquefois, nous oeuvrons pour que les clients nous payent directement», a-t-il renseigné.
Pour le représentant du ministre de la Justice, M. Soro Fanvongo, sous-directeur des professions judiciaires, cette réélection est la preuve que le bureau sortant a mené à bien le mandat qui lui a été confié. Il a encouragé le président réélu à continuer dans la voix tracée, tout en insistant sur la formation des membres et sur le répertoire des actes par des formulaires en vue de les mettre à l’abri des erreurs. «Le Garde des sceaux mettra tout en œuvre pour examiner les propositions et faire adopter les textes adéquats à la satisfaction de vos préoccupations. C’est dire que l’espoir est permis», a rassuré M. Soro Fanvongo.
Djè Abel
