Les différentes crises survenues ces derniers temps dans le monde invitent les Etats à organiser des réponses qui prennent en compte les modes de production, les modes de consommation, et les échanges dans le domaine de l’énergie. Planifier devient donc une exigence pour faire face à la demande sans cesse croissante des populations. C’est le substrat de l’atelier de validation que le ministère des Mines et de l’Energie a organisé, les 2 et 3 avril derniers, à l’hôtel Tiama. Les participants ont identifié les besoins énergétiques de la Côte d’Ivoire, recensé les ressources énergétiques et développé les stratégies de leur exploitation aux fins de répondre aux besoins énergétiques sans cesse croissants des populations.
Selon le ministre des Mines et de l’Energie, Léon-Emmanuel Monnet, il est plus que nécessaire de disposer d’outils performants d’analyse et d’élaboration de stratégies. C’est dans ce cadre qu’il a été signé un partenariat avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Dans le même ordre d’idée, le présent projet de planification énergétique est un exemple d’anticipation de l’exploitation du Système d’informations énergétiques (SIE) national dont les résultats ont été présentés le 19 mars dernier, en partenariat avec l’Uemoa. «Mon vœu le plus cher est que ces résultats servent de catalyseur à la mise en place de stratégies sectorielles, et facilitent l’avènement d’un cadre de concertation sur les défis énergétiques, rassemblant les acteurs publics et privés», a-t-il indiqué.
Pour l’ambassadeur de Côte d’Ivoire en Autriche, Bamba Youssoufou, le présent projet est le début d’une coopération pleine et entière. «L’AIEA, en effet, soutient les Etats membres, qui le désirent, à améliorer leur développement par l’utilisation des techniques et technologies nucléaires. Ce soutien est matérialisé par les projets de coopération financés par l’Agence à hauteur de 95% du montant total du projet, les 5% étant à la charge de l’Etat bénéficiaire. Au travers de ces projets, l’Agence accorde aux Etats une assistance par des missions d’experts, des séminaires et ateliers de formation, l’octroi de bourses de formation à leurs ressortissants et diverses fournitures d’équipements spécialisés selon les besoins exprimés», a-t-il expliqué.
Le représentant de AIEA, Mark Howells, a reconnu que la Côte d’Ivoire est bien partie dans la planification énergétique.
La Côte d’Ivoire est membre de l’Agence internationale de l’énergie atomique depuis 1963. En sa qualité de membre, le pays bénéficie de la coopération technique de l’Agence dans divers domaines. A savoir, l’agriculture, la recherche, la santé, l’énergie et bien d’autres.
J-S Lia
Selon le ministre des Mines et de l’Energie, Léon-Emmanuel Monnet, il est plus que nécessaire de disposer d’outils performants d’analyse et d’élaboration de stratégies. C’est dans ce cadre qu’il a été signé un partenariat avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Dans le même ordre d’idée, le présent projet de planification énergétique est un exemple d’anticipation de l’exploitation du Système d’informations énergétiques (SIE) national dont les résultats ont été présentés le 19 mars dernier, en partenariat avec l’Uemoa. «Mon vœu le plus cher est que ces résultats servent de catalyseur à la mise en place de stratégies sectorielles, et facilitent l’avènement d’un cadre de concertation sur les défis énergétiques, rassemblant les acteurs publics et privés», a-t-il indiqué.
Pour l’ambassadeur de Côte d’Ivoire en Autriche, Bamba Youssoufou, le présent projet est le début d’une coopération pleine et entière. «L’AIEA, en effet, soutient les Etats membres, qui le désirent, à améliorer leur développement par l’utilisation des techniques et technologies nucléaires. Ce soutien est matérialisé par les projets de coopération financés par l’Agence à hauteur de 95% du montant total du projet, les 5% étant à la charge de l’Etat bénéficiaire. Au travers de ces projets, l’Agence accorde aux Etats une assistance par des missions d’experts, des séminaires et ateliers de formation, l’octroi de bourses de formation à leurs ressortissants et diverses fournitures d’équipements spécialisés selon les besoins exprimés», a-t-il expliqué.
Le représentant de AIEA, Mark Howells, a reconnu que la Côte d’Ivoire est bien partie dans la planification énergétique.
La Côte d’Ivoire est membre de l’Agence internationale de l’énergie atomique depuis 1963. En sa qualité de membre, le pays bénéficie de la coopération technique de l’Agence dans divers domaines. A savoir, l’agriculture, la recherche, la santé, l’énergie et bien d’autres.
J-S Lia