A avril 1990 – 08 avril 2009, le Parti ivoirien des travailleurs a 19 ans.
Le PIT, notre parti souffle sa 19ème bougie alors que depuis bientôt 7 ans, notre pays vit la plus grave crise de son histoire. Une crise qui a affecté tous les secteurs de notre système de production et donc de notre développement. Le plus grave, c’est que l’issue de cette crise est encore incertaine.
Dès le début des événements, en septembre 2002, le PIT a condamné cette attaque dont les auteurs sont restés pendant longtemps inconnus, tout en offrant sa disponibilité aux autorités ivoiriennes pour aider à résoudre la crise. Toutes nos démarches, auprès du Premier ministre d’alors et du chef de l’Etat lui-même, sont restées sans suite.
Or pour le PIT, une fois les acteurs connus, il aurait fallu tout mettre en œuvre pour trouver une solution entre Ivoiriens au lieu de s’offrir à l’extérieur. Notre parti n’a pas été suivi, (compris ?). Aujourd’hui, nous en sommes là ! Mieux qu’hier assurément ! Mais espérons-le, mieux demain, peut-être, qui sait ?
Depuis sa création, comme chacun le sait, le PIT n’a cessé d’appeler au dialogue et à la concertation afin de prévenir les conflits mais aussi et surtout de régler par consensus les litiges pendants.
Les nombreux soubresauts que vit notre pays nous interpellent et indiquent clairement que nous sommes allés au pluralisme démocratique que de la plus mauvaise des manières. Les réflexes de parti unique nous menacent, même au sein de l’opposition, hier comme aujourd’hui.
Hier comme aujourd’hui, le PIT se sent interpellé et ne peut se taire. Le PIT reste convaincu que ce pays peut être géré autrement. Les travailleurs ivoiriens, après avoir tout donné pour construire leur pays ne méritent pas de continuer à peiner aussi durement pour se nourrir, se soigner, pour scolariser leurs enfants ainsi que nous le constatons aujourd’hui.
Bientôt 50 ans d’indépendance, dont 30 ans de parti unique, 19 ans de multipartisme, 7 ans de crise. En clair, depuis environ 20 ans, les populations ivoiriennes sont à la recherche de lendemains meilleurs. Les Ivoiriens errent comme des âmes en peine.
Le Parti ivoirien des Travailleurs, qui veut valoriser le travail et honorer les travailleurs, déplore la situation faite aux travailleurs, qui sont loin de jouir des fruits de leur labeur et des énormes potentialités que devrait leur offrir leur pays. La Côte d’Ivoire est riche, les Ivoiriens ne méritent pas de vivre si pauvrement. Le PIT est convaincu que si les Ivoiriens s’associent, se retrouvent, pour chercher, d’un commun accord, des solutions à leurs problèmes, il n’ y a pas de raison qu’ils n’y parviennent pas; les Ivoiriens sont un peuple intelligent, mettons-le à l’épreuve. C’est cela le combat du PIT qu’on refuse de comprendre.
Aujourd’hui, la crise s’aggrave, et les principaux acteurs ont montré leur incapacité à sauver la Côte d’Ivoire. Voilà pourquoi le PIT réclame une autre, une nouvelle transition avec des acteurs nouveaux, sans aucune ambition électoraliste pour s’engager résolument dans un programme de sortie de crise véritable.
La crise relève de notre responsabilité commune, et c’est par notre volonté commune que nous pourrons trouver les solutions appropriées.
Pour le Parti ivoirien
des travailleurs
Le Secrétaire général
Kouablan François
N.B : Le surtitre
et le titre sont de la Rédaction
Le PIT, notre parti souffle sa 19ème bougie alors que depuis bientôt 7 ans, notre pays vit la plus grave crise de son histoire. Une crise qui a affecté tous les secteurs de notre système de production et donc de notre développement. Le plus grave, c’est que l’issue de cette crise est encore incertaine.
Dès le début des événements, en septembre 2002, le PIT a condamné cette attaque dont les auteurs sont restés pendant longtemps inconnus, tout en offrant sa disponibilité aux autorités ivoiriennes pour aider à résoudre la crise. Toutes nos démarches, auprès du Premier ministre d’alors et du chef de l’Etat lui-même, sont restées sans suite.
Or pour le PIT, une fois les acteurs connus, il aurait fallu tout mettre en œuvre pour trouver une solution entre Ivoiriens au lieu de s’offrir à l’extérieur. Notre parti n’a pas été suivi, (compris ?). Aujourd’hui, nous en sommes là ! Mieux qu’hier assurément ! Mais espérons-le, mieux demain, peut-être, qui sait ?
Depuis sa création, comme chacun le sait, le PIT n’a cessé d’appeler au dialogue et à la concertation afin de prévenir les conflits mais aussi et surtout de régler par consensus les litiges pendants.
Les nombreux soubresauts que vit notre pays nous interpellent et indiquent clairement que nous sommes allés au pluralisme démocratique que de la plus mauvaise des manières. Les réflexes de parti unique nous menacent, même au sein de l’opposition, hier comme aujourd’hui.
Hier comme aujourd’hui, le PIT se sent interpellé et ne peut se taire. Le PIT reste convaincu que ce pays peut être géré autrement. Les travailleurs ivoiriens, après avoir tout donné pour construire leur pays ne méritent pas de continuer à peiner aussi durement pour se nourrir, se soigner, pour scolariser leurs enfants ainsi que nous le constatons aujourd’hui.
Bientôt 50 ans d’indépendance, dont 30 ans de parti unique, 19 ans de multipartisme, 7 ans de crise. En clair, depuis environ 20 ans, les populations ivoiriennes sont à la recherche de lendemains meilleurs. Les Ivoiriens errent comme des âmes en peine.
Le Parti ivoirien des Travailleurs, qui veut valoriser le travail et honorer les travailleurs, déplore la situation faite aux travailleurs, qui sont loin de jouir des fruits de leur labeur et des énormes potentialités que devrait leur offrir leur pays. La Côte d’Ivoire est riche, les Ivoiriens ne méritent pas de vivre si pauvrement. Le PIT est convaincu que si les Ivoiriens s’associent, se retrouvent, pour chercher, d’un commun accord, des solutions à leurs problèmes, il n’ y a pas de raison qu’ils n’y parviennent pas; les Ivoiriens sont un peuple intelligent, mettons-le à l’épreuve. C’est cela le combat du PIT qu’on refuse de comprendre.
Aujourd’hui, la crise s’aggrave, et les principaux acteurs ont montré leur incapacité à sauver la Côte d’Ivoire. Voilà pourquoi le PIT réclame une autre, une nouvelle transition avec des acteurs nouveaux, sans aucune ambition électoraliste pour s’engager résolument dans un programme de sortie de crise véritable.
La crise relève de notre responsabilité commune, et c’est par notre volonté commune que nous pourrons trouver les solutions appropriées.
Pour le Parti ivoirien
des travailleurs
Le Secrétaire général
Kouablan François
N.B : Le surtitre
et le titre sont de la Rédaction