Mourir. L’Eburnie l’a expérimenté dans l’intolérance. Et la guerre. Sa splendeur d’antan a foutu le camp. Et le pays est dans la nasse. Errant à la recherche de la sortie de crise. Les armes se sont tues. Mais le bout du tunnel n’est pas encore là. Revenir à la vie. C’est l’espoir. Toujours attendu. En ces temps de Pâques, la résurrection est dans la place. Pour l’Eburnie, elle passe par des élections. Même si elles peuvent coûter le fauteuil. Comme le Christ, aucun sacrifice n’est de trop. Pour le peuple !
Al Seni
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