Hamed Bakayoko (DCC chargé de la jeunesse) aux responsables RDR de l’Indénié : “Ensemble, vous serez imbattables”

Monsieur le directeur régional de campagne, Me Emmanuel Tanoh, Monsieur le directeur régional de campagne associé, le maire Adou Assalé, Monsieur le directeur de campagne d’Agnibilékrou, Yéboua Koffi, Monsieur le président du RJR, Monsieur le représentant de mon cher ami Bandama Maurice, M. Kouamé Norbert, chers militants et représentants des jeunesses nouvellement acquis à la cause du RDR et au docteur Alassane Dramane Ouattara, chers parents , chefs de canton, chefs religieux, chers pères , chères mères, chers jeunes frères, chers amis, représentants de Sa majesté,
Je voudrais avant tout propos, en votre nom et au nom du président Alassane Dramane Ouattara, dire merci au roi de l’Indénié, qui nous a reçus dignement comme ses petits-enfants avec sa protection et sa bénédiction. Le roi nous a accordé une audience hier après-midi pour nous dire Akwaba ! Mais, il ne s’est pas arrêté là. Hier nuit, le roi nous a invités à manger et à très bien manger dans sa cour royale. Je voudrais que tous, nous puissions prier pour la bonne santé et la longévité du roi Nanan Boua Kouassi III. Je veux ensuite féliciter tous les responsables du parti, car la progression du RDR dans l’Indénié est évidente. Je peux affirmer que la progression du RDR dans l’Indénié est très forte et puissante. Je vous invite à persévérer, car aujourd’hui, c’est le moment du RDR. C’est le temps du RDR. Hier, ce n’était pas encore notre temps. Mais aujourd’hui, c’est le moment du maître. C’est le moment du docteur Alassane Dramane Ouattara. Les jeunes ont faim. Les jeunes n’ont pas de travail. Les vieux sont malheureux, parce que les enfants ont faim. Leurs enfants qui doivent les supporter n’ont pas de travail. Les femmes pleurent. Elles sont malheureuses. Leurs maris n’ont pas de travail. Leurs maris souffrent. Donc, elles ont des soucis. Quand on a mal, qu’est-ce qu’on fait ? On appelle le docteur. Aujourd’hui, je vais vous dire franchement, il n’y a plus de débat. Le débat politique, ce n’est plus celui-là il est de telle ethnie, de telle race, de telle religion. Ce débat est dépassé. Ce sont ceux qui veulent vous tromper qui vous parlent de cela. Aujourd’hui, le pays est tellement en difficulté que le seul débat qui compte est de savoir qui peut faire quoi pour qui ? Aujourd’hui, on veut du concret. Qui peut nous arranger ? Qui peut nous aider ? On a vu déjà ceux qui sont à l’œuvre. Celui qui est à l’aise aujourd’hui, qu’il reste dedans. Mais celui qui ne l’est pas, qu’il prie Dieu et travaille pour le changement. Si tu n’es pas à l’aise aujourd’hui, il faut souhaiter le changement. Tu ne dois tenir compte d’aucune autre considération. On vous a trop menti. On vous dit, un tel est ceci ou cela. Mais c’est parce qu’on veut vous cacher la vérité. Quand ce pays était à genoux, le grand Houphouët-Boigny ne savait plus quoi faire et s’interrogeait sur l’avenir de la Côte d’Ivoire. Mais comme c’est le cas pour tous les grands hommes, Dieu l’a inspiré ; c’est ainsi qu’il est allé chercher le docteur Alassane Dramane Ouattara, le gouverneur de la BCEAO à Dakar. C’est grâce à lui que le président Houphouët a pu relever la tête. C’est grâce à lui que le pays n’a pas sombré. Le dire, c’est la vérité. Vous qui êtes rassemblés ici, vous avez cela vous aussi. Ce n’est pas une invention. C’est une affaire de contemporains comme le disent les Blancs. Le gouvernement a dit il, faut diminuer les salaires. Douanier est fâché, policier est fâché, pompier est fâché, syndicaliste est fâché, fonctionnaire est fâché. Grève par-ci, grève par-là. En ce moment, ce n’était pas une affaire d’ethnie et de religion. Il (Alassane Ouattara) est venu. Il a tapé un, deux, trois. Il a trouvé le système pour stabiliser le pays. C’est ainsi qu’Houphouët, notre père à tous, paix à son âme, est parti en paix. Après cela, on a commencé à le traiter de Burkinabé et on l’a obligé à s’exiler. Mais, les Occidentaux qui savent apprécier la valeur d’un homme, lui ont fait appel pour redresser l’économie du monde. Il est parti au FMI. Il s’est occupé de l’Inde, de la Corée, du Brésil, de la Chine… On a vu tout cela. Nous sommes des contemporains. Aujourd’hui, toute cette expérience et ce savoir-faire emmagasiné, il veut le mettre au service de la Côte d’Ivoire. Il y a certains pays développés, l’Allemagne, la France, qui n’attendent qu’une seule chose : qu’on dise que le président de la Côte d’Ivoire s’appelle le docteur Alassane Dramane Ouattara. Il y en a qui viendront construire des usines à Abengourou, Agnibilékrou, à Bonoua, à Bouna etc. Le pays sera en effervescence. Les affaires font marcher. C’est cela qui fait marcher un pays. Ce ne sont pas les paroles. C’est la crédibilité d’un président pour attirer les investisseurs, la crédibilité du savoir-faire que vous avez pour faire bouger l’économie. Le président Ouattara est prêt. Il m’a demandé ce matin, de vous saluer, de vous dire qu’il vous aime et vous respecte. Vous êtes ses frères. Il est déjà venu ici. Nous sommes ses messagers pour annoncer son grand retour à Abengourou pour le démarrage de sa campagne présidentielle. Jeunes, je vous demande de dire à vos amis que l’heure est arrivée pour une prise de conscience. Il ne faut pas vous tromper. Il ne s’agit pas de dire : je suis de tel ou tel parti, alors que tu ne peux rien faire pour quelqu’un. Je vous exhorte à suivre la démarche du jeune Kouamé Luc Dominique et du jeune Houphouët. Je vous donne rendez-vous dans six mois et vous allez voir ce qu’ils vont devenir. Ils seront propres. Nous au RDR, on est comme cela, concrets. On montre l’exemple. (…) Lorsque le docteur Alassane Dramane Ouattara sera au pouvoir, il sera reconnaissant à l’Indénié. Parce qu’étape par étape, il vous a vu souffrir depuis votre arrivée au RDR. Il faut vous vivre en harmonie entre les communautés ; l’union, l’entente et l’amour qui fait la force. Au RDR, nous arborons un visage uni. Tous les partis sont minés par la division. Nous devons marquer la différence. Et chez nous, c’est l’entente et l’amour. Et s’il y a l’entente et l’amour, vous verrez comment le RDR va progresser davantage dans votre région. S’il y a une région qui a connu en premier la prospérité en Côte d’Ivoire, c’est l’Indénié, l’ancienne boucle du café-cacao. Mais aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Mais avec le docteur Alassane Dramane Ouattara, l’Indénié va retrouver sa splendeur, sa grandeur et sa prospérité. Comment ici, ne peut-on pas faire une politique pour créer des usines de transformation de cacao et de torréfaction de café ? C’est une question de savoir-faire, d’approche, de gouvernance, de relation et de sécurisation des investissements. Mais tout cela, c’est le travail du docteur Alassane Dramane Ouattara. La dernière fois, il a annoncé à la convention du RDR, 10000 milliards en cinq ans pour financer son projet pour la Côte d4voire, les gens ont commencé à trembler. Parce que c’est impressionnant pour eux (…) Mais ADO est un banquier qui sait de quoi il parle. Il n’a pas été un banquier des petites banques. Mais de la banque qui prête aux Etats, le FMI. Durant toutes ces années passées au FMI, il n’a fait qu’étudier les dossiers des pays qui sollicitaient des prêts auprès du FMI. Sur la base de présentation des dossiers, il acceptait ou rejetait un dossier. Donc, il sait comment présenter un dossier pour un pays. Il sait comment monter un dossier pour que le banquier qu’il est, l’accepte (…) Donc pour nous aujourd’hui, c’est une chance de l’avoir pour qu’il nous en donne. Le plus important, c’est que le pays marche. Ce n’est que le président soit mon frère ou mon cousin. Combien de personnes mangent chez un président ? Si le président est de la même religion et même de ma ethnie que toi, qu’est-ce que cela t’apporte ? Rien. Ce que l’on veut, c’est une politique globale qui arrange tout le monde. Et ça, c’est le domaine de Alassane Ouattara. Moi, en tant que fils de la région, car mon épouse est d’ici, je voudrais vous accompagner. Ce matin déjà, j’ai offert des engins motorisés à la direction régionale de campagne .Très bientôt, je mettrai à la disposition de la direction de campagne d’Abengourou un véhicule 4x4 et je vais accompagner cela par une enveloppe de cinq millions de FCFA. Je demande aux organisateurs, mon frère de Bétié ici présent avec le départemental et le régional de suivre les jeunes pour qu’on puisse résoudre leurs problèmes d’argent. En tant que leur parrain, je vais financer leur programme d’actions. Mais maintenant, il faut qu’il rentre dans les villages, dans les quartiers. Si on s’arrête à cette cérémonie seulement, on se blague. Je suis content d’être venu constater l’unité qui est chez vous. Je demande à Me Tanoh de venir avec Adou Assalé, avec Cissé et Yéboua pour offrir l’image de l’unité au peuple de l’Indénié et à toute la Côte d’Ivoire. Tenez vous par la main (les quatre se tiennent la main). Evoluez ensemble et que l’image de l’unité chère au président Alassane Dramane Ouattara demeure. Ensemble, vous serez imbattables et vous ferez un travail formidable pour le RDR et le président Alassane Dramane Ouattara. Le président vous encourage. Moi je serai à vos côtés. Le président également sera à vos côtés. Nous allons tout faire pour que l’Indénié devienne un bastion du RDR. Et vous allez voir, il faut y croire. Mêmes les sceptiques verront l’évolution du RDR. Aujourd’hui, on est présent partout et on avance. Pendant que moi je suis à Abengourou, d’autres sont à Bouna, Bondoukou, Séguela, Korhogo, Abidjan, Abobo, Anyama. On avance. On touche les réalités des populations et notre ambition est d’arrêter la pauvreté et la souffrance en Côte d’Ivoire. Merci pour toutes les actions et attentions dont nous avons été l’objet. Aujourd’hui, nous partons. Mais ce n’est qu’un au revoir. Parce que prochainement, nous nous retrouverons pour d’autres moments de fraternité, de vie de parti de la marche de la victoire du docteur Alassane Dramane Ouattara. Soutenir ADO, c’est soutenir le pays. Soutenir ADO, c’est aider sa patrie. Soutenir ADO et le RDR, c’est être patriote. Soyez patriotes. Le mot « patriote », certains prennent cela pour jouer, pour faire leur mode. Un patriote, c’est un homme qui aime son pays. Mais aujourd’hui, si tu aimes la Côte d’Ivoire, si tu as pitié de ce pays, mets quelqu’un qui a un sens de travail et de gestion pour relever le pays. Soutenir ADO, c’est être patriote. Aider et soutenir ADO, c’est aimer sa patrie, c’est aider son pays. C’est être patriote.
Je vous remercie !